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Blog VOM : Géopolitique - Mondialisation - Société- Religions - Spiritualité - Actualité...
12 juin 2015

Témoignages de scientifiques (1)




Témoignages docteurs - Médecin en Inde

 
 http://www.nderf.org/French/india_physician's_emi.htm
EMI d’un médecin en Inde
TÉMOIGNAGE :
Salutations ! Et merci pour l’estime véritable. Je suis doyen médecin homéopathe, je pratique depuis plus de trente ans. Sous mon message initial, j’envoie le détail de mon EMI personnelle pour publication. Vous pouvez également mettre mon adresse mail. Que les personnes avec le même état d’esprit se rassemblent et parlent de ce sujet important qui a impliqué la conscience collective indienne pendant des milliers d’années. Avec mes chaleureuses salutations.
En Inde, avec nos traditions philosophiques vieilles de plus de sept mille ans et les expériences de milliers de saints et de sages, nous croyons en la philosophie Holistique de la Vie.
Aucune expérience menée sur des « critères expérimentaux moyens » ou des études objectives du cerveau ne peuvent expliquer le fonctionnement de la conscience. L’expérience de chaque homme sera différente tout comme aucune empreinte digitale n’est identique.
L’EMI d’une âme évoluée sera transcendentale. C’est comme un saut quantique. Tandis que les expériences de nombreuses personnes ordinaires peuvent être imputées à des stress ou des facteurs émotionnels. Dans le domaine de la conscience, on entre dans le domaine quantique où la science moderne n’a pas de ligne de conduite.
J’étais également sceptique au sujet des expériences transcendantales jusqu’à ce que j’aie une EMI en 1969. Après avoir subi une attaque de dysenterie sévère et une perte de sang, j’approchais de la fin. Soudain, j’ai quitté le corps et depuis le plafond j’ai pu regarder mon propre corps en bas. Dans cet état, je pouvais instantanément connaître tout ce à quoi je pensais. J’ai pensé à ma mère. J’ai pu la voir courir paniquée sur un quai pour prendre un train. Plus tard, quand par chance j’ai guéri, j’ai pu corroborer le fait qu’à ce moment précis, elle courait sur un quai à des centaines de kilomètres de là afin de prendre un train pour venir me voir, après avoir reçu un télégramme indiquant la gravité de mon état.
Toute EMI qui peut s’avérer vis à vis de la réalité est stupéfiante ! Comment l’esprit peut-il voyager dans l’espace et dans le temps ? L’esprit est réalité transcendantale. Une entité quantique. La science n’a pas encore atteint ce niveau de compréhension.
Comme le dit Shakespeare : « Il existe sous le ciel des Vérités dont on ne peut rêver ! »
Détails
L’incident s’est en fait produit en septembre 1969. Malgré cela, comme l’EMI est une expérience profonde, elle est fortement gravée dans ma mémoire. Je me souviens même instantanément de petits détails , bien que trois décennies se soient écoulées.
J’avais trente sept ans à l’époque, un homme solide. J’étais agnostique et sceptique vis à vis de la religion ou de tout ce qui n’était pas strictement scientifique. Ma famille venait juste de déménager dans une petite ville appelée Eluru dans l’Andhrapradesh en Inde. En raison des conditions non hygiéniques là-bas, j’ai subi un accès de dysenterie grave. Evitant un auto traitement, je me suis fait soigner par mon ami à l’Hôpital Général. En dépit d’un traitement antibiotique vigoureux, la dysenterie ne s’est pas amoindrie. J’ai perdu une grande quantité de sang. En plus de cela, une fièvre sévère s’est développée. Après quelques jours, mon état s’est détérioré très rapidement. Le pouls est devenu très faible et à peine palpable. Le troisième jour de pleine lune à minuit, le médecin a été appelé, car mon état se détériorait rapidement et je m’effondrais. Tandis qu’il auscultait mon cœur, j’ai tout à coup quitté mon corps. Depuis le plafond je regardais mon propre corps ! La visibilité était très faible, comme si un nuage de fumée m’avait séparé du reste de l’environnement. La douleur sévère que je subissais juste avant de quitter le corps avait disparu. J’étais calme et tranquille. Soudain, j’ai réalisé que j’étais mort ! Mon Dieu ! J’ai amené mes jeunes enfants et ma famille et je les ai laissés dans un endroit étranger sans aucune protection financière ou autre ! La visibilité n’était pas claire. Tout était brumeux. Mais c’était comme si je pouvais voir sans la vue, entendre sans son. J’étais dans une autre dimension de l’existence. Je pouvais entendre les lamentations des femmes en dessous et les conversations chuchotées. Une pensée s’est imposée à moi. A quel point la vie est absurde ! Au matin le corps serait brûlé. Est-ce là tout ce qu’est la vie. Quelle fin vide de sens à une chaîne de merveilles sans limites et d’opportunités potentielles. C’est comme une bulle flottant sur la mer. Alors qu’est-ce que la mort ? Une entrée vers une autre dimension ? Je réfléchissais calmement et objectivement tandis que mon cerveau et mon corps gisaient en bas ! Comme si je n’étais pas cette personne touchée par la mort. L’évolution donne à la matière des niveaux de conscience de plus en plus élevés et la mort semble les saisir. Pendant que je méditais, j’ai pris conscience d’une présence. En une communication sans parole CELA m’a informé que je pouvais retourner dans mon corps si tel était mon désir. Mais il ne fallait pas perdre de temps. Cependant, en cet instant critique, j’ai demandé une réponse à l’énigme de la Vie car cette pensée m’avait totalement absorbé. Il y a eu une belle vision d’étoiles passant près de moi dans un bruit de tonnerre. Au centre de tout ce tumulte se trouvait une lumière étincelante. Chaque étoile semblait être un petit centre de conscience. Elle fusionnait dans la conscience centrale et en émergeait selon le désir de cette VOLONTE cosmique qui resplendissait comme un soleil immensément énorme ! La vision a disparu et j’ai remarqué que le médecin baissait les yeux vers moi avec stupéfaction. J’ai souri faiblement et je lui ai dit que j’allais bien. Dans cet état hors-du-corps, je pouvais accomplir tous mes souhaits comme si j’étais omnipotente, omniscient. J’ai pensé à ma mère et je l’ai vue paniquée courir sur un quai de gare à des centaines de kilomètres de distance. Quand je suis entré dans le corps, l’infection virulente avait disparu et j’ai pu récupérer en quelques jours. Ma mère a confirmé plus tard, qu’en effet, elle courait éperdument dans la gare de Vijayavada recherchant un train pour Eluru, après avoir reçu un télégramme au sujet de mon état critique. L’EMI ne peut être expliquée en termes objectifs ordinaires. J’ai subi une modification positive de ma personnalité. Toute mon arrogance a disparu.




Témoignages docteurs - Marc (scientifique)

 
 http://www.paranormal-info.com/NDE-d-un-scientifique.html
NDE d’un scientifique
Le témoignage d’un scientifique, Marc
Avant de reproduire ce témoignage, Marc tient à préciser les points suivant :
« Du fait de sa brièveté, la relation de cette expérience de sortie hors du corps peut donner l’impression qu’il s’agit là de quelque chose d’assimilable à une NDE. En vérité, il s’agit d’une expérience des plus banales par son contenu, mais dont les conditions de réalisation, dans un lieu et un temps bien déterminés, eurent la chance inouïe d’y regrouper tous les éléments physiques et psychologiques précis et mesurables, tels que le temps, la distance, la vitesse, les forces, les masses et qui me permirent, par des calculs et observations simples, d’avoir la certitude scientifique absolue de l’authenticité de mon expérience. Je rappelle que je suis ingénieur formé en physique générale, mathématiques et métrologie, pratique et théorique au Conservatoire National des Arts et Métiers à Paris. Je suis agnostique et cartésien ouvert.
Je tiens à préciser que durant l’expérience, je n’apercevais aucune partie de mon corps. Lorsque j’ai « réintégré » mon corps matériel resté dans la voiture, j’ai eu la sensation progressive d’avoir mon dos collé au siège. »
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L’extraordinaire aventure dont je fus l’involontaire acteur en 1983, roulant à tombeau ouvert vers ... fut d’une brièveté qui n’égale que sa banalité.
Cela aurait pu arriver à n’importe lequel d’entre nous, mais cela m’est arrivé. Cela n’a pas duré plus de 20 secondes et, au bout de ce temps, à une fraction de seconde près, ma mort inéluctable aurait dû survenir dans un fracas de voiture disloquée.
Le récit de ces 20 secondes est très simple. Seul avec mon chien Ghessi, je roulais, pied au plancher, direction ... La semaine avait été lourde d’activités et j’étais assez fatigué. Une fois de plus, c’est avec un grand besoin de sommeil que je pris la route. Je sais que se conduire ainsi est d’une grande imprudence. Surtout que déjà, par deux fois, il m’était arrivé de m’endormir au volant et d’échapper au dernier moment à un fatal accident, grâce à un déroulement incroyablement chanceux des faits. ... Mais peut-on toujours compter sur la bienveillante sollicitude de son “ange gardien” ? 
Cette fois-ci, à 160 km/h, le pied tétanisé sur l’accélérateur, je sentais la fatigue m’engourdir et attaquant, pour la première fois de ma vie, cette route de montagne que je ne connaissais pas, je sentis sous moi la voiture qui commençait à doucement tanguer. Devant moi s’étendait une longue portion de route, dont l’extrémité sortait de ma vision par un virage sur la droite, tranchant l’extrémité de la montagne. Sur ma gauche, j’avais la pente de la montagne qui grimpait. A ma droite, s’étalait un terre-plein construit par les déblais du taillage de cette route de montagne. Ce terre-plein assez large me cachait donc ce qui aurait dû être, logiquement, au pied de cette montagne, une vallée.
Et là s’arrêtent mes souvenirs d’avant. Et une nouvelle cassette de souvenirs différents s’enregistre.
Je suis dans un état de sérénité totale. Tous les bruits se sont estompés. C’est toujours le même ciel, le même soleil, les mêmes paysages en couleur qui m’entourent. Mais, je ne suis plus dans ma voiture et je ne me déplace plus horizontalement à grande vitesse mais verticalement à la vitesse tranquille d’un vieil ascenseur poussif. Curieux et dans un état de paix parfaite, je regarde autour de moi le paysage : à ma gauche, je m’élève par rapport à la pente de la montagne, à ma droite, m’élevant au dessus du terre-plein, la vallée se découvre au fur et à mesure. Devant moi, enfin, c’est le paysage que je connais d’avant : on approche de midi et sur le long ruban de cette route, à vive allure, vers la tranchée dans la montagne, se déplace une voiture qui n’attire pas particulièrement mon intérêt. Maintenant, je suis arrivé dans mon ascension à un point suffisamment élevé pour découvrir le fond de la vallée. J’y vois deux cours d’eau, reflétant le bleu du ciel, avec des rives de sable doré, s’y rejoindre dans un dessin assez caractéristique d’une forme d’Y. C’est un très beau spectacle que j’apprécie beaucoup. Mais maintenant, c’est ce que je vois au loin devant moi sur la route qui mobilise mon attention. Cette voiture de tout à l’heure zigzague de plus en plus et chacune de ses oscillations la rapproche de plus en plus des parois bordant sa gauche et là, c’est inéluctable, au bout de cette dernière oscillation qui commence, encore plus ample que les précédentes, cela va être une catastrophe tout sera broyé. Et là, stupéfaction, je m’écrie : “Mais, c’est ma voiture, Ghessi, mon chien est dedans, il est foutu ! Je dois le sauver”
Coupure de la cassette des souvenirs différents.
Instantanément, je me retrouve au volant de ma voiture, collé dos au siège, comme si je venais de subir une accélération, avec la sensation d’une fusée aux fesses qui me faisait me propulser dans ce virage étroit tranché dans la montagne, à 160 km/h, dans ce couloir où la prudence minimum aurait voulu qu’on plaçât un panneau indicateur : 50 km/h maxi !
Bref, j’en sortis vivant, je ne sais comment et sans une égratignure, mais anéanti de sommeil. Je m’arrêtai toutes glaces ouvertes sur le premier bas-côté disponible. Ghessi veilla sur mon sommeil pendant lequel, m’étant affalé sans précautions, comme une masse, je fus gratifié d’un imposant et cuisant coup de soleil sur tout le visage.
Telle fut mon aventure. Avais-je rêvé ? Était-ce une hallucination ? Étais-je devenu fou et incapable de discerner la réalité de l’illusion ? Étais-je mort ou ressuscité ?
Je pourrais remplir des pages et des pages de mon questionnement sur ces 20 secondes. L’essentiel de la question était : ceci s’est-il réellement passé ? Où était ce lieu ? Comment prouver la réalité de ce qui s’est passé là ? Ces questions m’obsédèrent pendant trois ans. Trois ans de recherches, de réflexion, de route, la même que je refis trois fois et finalement je trouvai : oui, toute cette histoire est vraie. Ce lieu existe. Cet embranchement de rivière en Y caractéristique existe vraiment. Et il ne peut être vu que d’un point largement situé au-dessus de la route, car de la route, un conducteur assis sur son siège ne peut rien voir du fond de la vallée.
Et la conclusion inéluctable s’imposa :
Tout ceci est vrai, voulu (et par qui et dans quelle intention, s’il vous plaît ?) ou fortuit et preuve d’un dysfonctionnement à une fraction de seconde près d’un dispositif de recueil dans un autre monde (après tout, existe-t-il seulement quelque part des dispositifs ou êtres absolument parfaits ?). C’était donc vrai, la MORT c’est cela : c’est la porte à travers laquelle on s’élance, où on s’élève paisiblement vers un au-delà inconnu mais réel. 
Et cela, qui était mon destin, ce jour là, à cette heure là, à cette fraction de seconde près, CELA ne s’est pas produit ! Et pour en retrouver la logique, il n’y a, après retournement du problème dans tous les sens, qu’une seule solution : dans la patrie du Saint fraternel de tous les animaux, mon devoir de salut envers mon chien Ghessi m’a valu X années supplémentaires de services sur cette planète Terre. Je sais, disant cela, que je vais en faire bondir plus d’un. Et bien, je vais enfoncer le clou : je suis ingénieur de formation scientifique donc, ce jour là, sur cette “autoroute de l’Eglise” au lieu-dit ..., tous les éléments et paramètres mesurables étaient réunis pour tout connaître de la vitesse, de la position et de tous autres éléments de l’environnement du phénomène et de rigoureux calculs donnent ceci :
1) Du point où je m’exclamais “Ghessi va être écrabouillé”, à celui, où, fusée aux fesses, je parvenais à franchir la trouée de la montagne sans accident et par miracle, la vitesse de réintégration de l’observateur curieux, situé au début de la route à quelques 30 m de hauteur du corps du conducteur rivé sur son siège, à l’autre bout de la route, quelques km plus loin, et bien cette vitesse est d’environ 7 000 km/heure minimum, quant au maximum, sans être de la mécanique quantique, je n’ai pas les moyens de l’apprécier. Ces quelques 20 secondes aux portes de l’éternité ont peut-être moins duré que l’éclat d’une bombe nucléaire, je suis pourtant persuadé que si ce qu’elles laissent entrevoir peut suffire, avec l’appui d‘autres preuves du même genre, à faire voler en éclat le mur d’ignorance et ce manque de lucidité qui cimente notre monde clos, renfermé stupidement sur lui-même. Alors, l’éclat de ces 20 secondes sera plus ravageur que celui de 1 000 bombes atomiques réunies.
2) Le résultat d’une longue chaîne d’amour
Car ces 20 secondes sont le résultat d’une longue chaîne d’amour : il a d’abord fallu, pour exhumer tout cela de l’oubli et le porter à la connaissance de mes semblables, qu’un ami très cher, perdu de vue depuis 20 ans, en état de coma prolongé à la suite d’une accident de voiture, parle à son fils d’un ami perdu qu’il appelait de ses vœux (cet ami, c’était moi). Et l’ayant ainsi retrouvé, c’est lui qui m’engagea à raconter cette histoire. Sans cette amitié, un des plus beaux aspects de ce qu’est l’Amour, jamais ce récit n’aurait vu le jour.
Le second miracle d’Amour, mais n’était-ce pas le lieu privilégié pour cela, c’est celui qui relie l’animal fidèle à son maître et vice-versa. Qui fait que les deux ne forment qu’un à leur mutuel service, quelqu’en soit le prix. Et cet amour, je l’avais de mon chien Ghessi comme de tous les animaux que je ressens comme mes frères.
Et enfin, si cette humble créature dont je ne suis que l’enveloppe terrestre, peut s’adresser à vous pour vous raconter cette édifiante histoire, c’est bien parce que l’infini amour de Dieu (donnez lui tous les noms et qualificatifs que vous voulez, il faut bien parler de “celui qu’on appelle Dieu” user d’un mot simple compris de tous !) envers sa “créature” fait que votre serviteur s’est donc vu infliger la nécessité d’agir sur cette Terre dans l’esprit de Service, dont toute cette histoire rappelle ainsi les éléments fondamentaux qu’elle permet de découvrir.
(...)
En conclusion, notre civilisation, comme toute civilisation technique en perpétuel accroissement de ses pouvoirs, est arrivée à l’orée des chemins. Deux voies s’offrent à nous :
- ou bien les haines et dissensions des peuples se régleront par des affrontements de plus en plus destructeurs et ce sera la fin de notre civilisation humaine. Voire la fin de toute vie sur notre planète
- ou bien les sentiments d’assistance, de solidarité et d’amour, prévaudront et dans ce cas, notre civilisation rejoindra dans l’éternel COSMOS toutes celles qui nous ont déjà précédées sur la voie d’un fabuleux destin digne des Dieux créateurs.



Témoignages docteurs - L’énigme de la mémoire

 
http://perso.orange.fr/adelin/

Les expériences de mort imminentede Daniel Maurer
L’énigme de la mémoire
Le modèle scientifique actuel ne permet pas le décryptage des éléments paranormaux énumérés ci-dessus. Toute argumentation rationnelle sur ce sujet étant bannie du cadre officiel, l’enquêteur mesure rapidement l’ampleur du dilemme à résoudre. Il peut opter pour le paradoxe du sceptique, ainsi que je qualifie cette attitude en réponse à la découverte des propriétés du gyrus angulaire. Celle-ci consiste à reconnaître la pertinence scientifique de l’électrostimulation corticale, la cause, en rejetant simultanément ses implications dérangeantes, l’effet, à savoir la vision autoscopique. Ce qui revient à nier l’évidence des faits et à se satisfaire du statu quo ; résignation qui ne résoudra rien d’un problème qui resurgira tôt ou tard. Mais ce même enquêteur peut également outrepasser les limites du cadre conventionnel et s’enhardir à examiner les hypothèses qui se présentent à lui. Au risque de passer pour un iconoclaste ou pour un illuminé, il sera alors amené à explorer des concepts que l’on qualifie volontiers d’exotiques. Personnellement, j’ai mesuré les conséquences de ce risque et je les accepte volontiers. Je n’en souhaite pas moins que les propos qui suivent soient accueillis avec un esprit ouvert, dégagé autant qu’il est possible des a priori préjudiciables à une honnête évaluation.
Ces précautions formulées, considérons les points 4 et 5 de l’inventaire des caractéristiques paranormales. On y constate que lors de ces états modifiés de conscience transcendants les fonctions intellectuelles, affectives et mnésiques se situent hors du corps simultanément au sentiment d’identité. Cette notion de conscience extracorporelle, à laquelle s’ajoute une inexplicable fonction visuelle, est en contradiction totale avec notre façon d’appréhender le fonctionnement cérébral. Aucun modèle conventionnel n’expliquera jamais la mémorisation d’une expérience de mort imminente par un sujet inconscient, parfois plongé dans un coma profond ou présentant les signes majeurs de la mort biologique. Certaines enquêtes de grande envergure, particulièrement celle de Sam Parnia et celle de Pim Van Lommel, recensent des sujets pour lesquels il est avéré que l’activité cérébrale était nulle au moment de leur expérience de mort imminente ; à l’instar du cas de Pam Reynolds évoqué au premier chapitre. Si aucune activité électrique cérébrale n’était décelable dans leur cerveau, comment le souvenir de ce vécu, dont la vision autoscopique n’est pas le moindre élément, pouvait-il s’y graver ?
La neurophysiologie, sans avoir pu déchiffrer l’ensemble des mécanismes en cause, souligne que les fonctions de la mémoire à court terme se situent au niveau du cortex, dans les aires associatives. L’hippocampe est également l’une des diverses formations corticales directement concernée par le processus mnésique. Pourtant, on a découvert que l’ablation de ce même hippocampe n’empêchait pas la mémorisation de nouveaux apprentissages ! Ce qui est aussi inattendu que révélateur du rôle « subalterne », mais néanmoins vital, de notre cerveau. Expliquer cette étonnante faculté d’adaptation par l’exceptionnelle plasticité[1] du cerveau c’est déjà reconnaître que les choses sont plus complexes qu’il y paraît. Quant à la mémoire à long terme, si les neuroscientifiques se perdent en conjectures ils ne perdent pas foi, pour autant, dans leurs hypothèses électrochimiques.
La vision autoscopique semble pourtant démentir l’idée d’un fonctionnement exclusivement électrochimique de la mémoire. Elle laisse entendre que le cerveau est assurément utilisé dans le rappel du souvenir, mais certainement pas dans son acquisition et son stockage. Il est évident, toutefois, que ceux qui rapportent un vécu de décorporation le possèdent d’une quelconque façon en mémoire ; ne serait-ce que le temps d’y penser ou encore celui de l’exprimer. Mais cette évidence ne fournit aucune indication quant au siège où sont détenus les éléments du souvenir. Cette mémorisation d’informations provenues d’une conscience extracorporelle, donc située hors du cerveau, s’avère un problème insoluble du point de vue des neurosciences. D’autant que le destinataire de l’information est présumé inconscient et que, parfois, les événements qu’il décrit après son épisode de décorporation sont corroborés par des tiers alors présents sur les lieux.
On se rend bien compte que pour sortir de cette impasse il est nécessaire de contourner le modèle de référence habituel, celui qui nous sert à appréhender les lois de la matière. La solution s’impose alors d’elle-même : la gestion de la mémoire n’est pas assurée par le cerveau ! Autrement dit, il n’y a pas d’aire de stockage de la mémoire à long terme au cœur des circonvolutions cérébrales. Pas davantage, par exemple, que la mémoire d’un ordinateur de bureau ne se trouve à l’intérieur de l’écran sur lequel s’affiche les informations contenues dans le disque dur. On peut cependant concevoir le cerveau comme un magasin de stockage annexe, éventuellement doté d’une bibliothèque de données limitée à la mémoire à court terme. Mais il n’assure ni l’acquisition, ni l’analyse, ni le classement des informations recueillies par son « propriétaire » dans le but de les conserver sur une longue période.
Poursuivant cette logique, complètement saugrenue aux yeux des gens de raison, on en vient à se dire que si le processus de mémorisation ne dépend pas du cerveau il relève forcément d’une structure située ailleurs. Cette lapalissade pour souligner à nouveau que la « mécanique » de la mémoire, à l’instar de celle de la conscience, est indépendante de l’organe qui en permet la restitution. Mais alors, cet « ailleurs de la mémoire » où se trouve-t-il ?
Le véritable support de nos facultés mnésiques, auxquelles s’ajoutent certainement les aptitudes extrasensorielles, ne peut se situer que dans un type d’univers dont les dimensions cachées englobent le nôtre[2]. Dans l’état ordinaire de conscience ces dimensions sont inaccessibles à nos sens et aux instruments d’investigation qui les prolongent. Inutile, donc, de rechercher un support physique observable, apte à l’investigation scientifique. Il faut le souligner encore, même si cette proposition paraît complètement loufoque, aucune alternative ne permet d’expliquer, à ce jour, la mémorisation du vécu d’une expérience de mort imminente, y compris la décorporation, chez un sujet dont le tracé EEG était plat à ce moment-là. Une telle hypothèse amène à penser qu’il existe quelque part ailleurs un métasystème d’où proviennent toutes les informations inhérentes à la conscience humaine, voire animale, végétale et même minérale, données mnésiques et affectives incluses. Ce métasystème sera dénommé icisupraconscience.
[1] La recherche neuroscientifique a mis au jour les surprenantes capacités adaptatives du cerveau. Cet organe est capable de surmonter certaines déficiences résultant d’une atteinte fonctionnelle, par le développement de nouvelles structures qui prennent progressivement le relais de la fonction défaillante. C’est le cas, par exemple, lors d’un grave traumatisme qui lèse irréversiblement une aire motrice dont la fonction est assurée, après rééducation, par une autre formation de neurones ; a l’instar de ce qui se passe avec l’ablation de l’hip­pocampe lorsque la fonction mnésique est récupérée par la suite. Il n’empêche que le développement de nouveaux réseaux synaptiques, moteur de cette plasticité, relève d’une « mécanique » inconnue jusqu’à présent (les synapses sont des connexions électrochimiques qui assurent la transmission de l’influx nerveux d’un neurone à l’autre).
[2] Ce type d’univers s’apparente à celui que décrit la théorie de la cinquième dimension, élaborée par le docteur Jean-Pierre Jourdan ; voir La vie à corps perdu, page 264.



Témoignages docteurs - Dr X


http://perso.orange.fr/iands-france.org/FRAMES/frame_front.html 
Témoignages de médecins

Le docteur X, qui a occupé de hautes fonctions dans une faculté de médecine et de pharmacie provinciale, a vécu il y aura bientôt 48 ans une expérience de type NDE sans avoir frôlé la mort. A la suite d'une piqûre destinée à soigner une maladie sans gravité, il a perdu connaissance. Sa perte de conscience n'a pas dû excéder 30 secondes, mais les impressions ressenties dans cet instant sont très similaires à celles décrites dans les autres cas : tout d'abord une sensation d'arrachement qu'il qualifie lui-même d'"inhumaine", comme s'il subissait une éviscération, ensuite une sensation d'allégement comme s'il flottait dans l'air, contemplant son corps immobile et son visage cadavérique ; des sensations lumineuses de noir et d'intense lumière avec des images colorées kaléidoscopiques reproduisant plusieurs scènes de son enfance ; enfin réintégration dans son corps avec sentiment de se retrouver "à l'étroit". Très pudique, le Dr X ne parle pas de ses éventuelles émotions associées à son expérience et ne veut pas se positionner sur sa nature.

Toute autre est l'approche du Dr D. dont l'expérience est arrivée il y a 25 ans à l'occasion d'une situation beaucoup plus critique : infection aiguë à la suite de complications opératoires entraînant un coma profond de deux semaines.

Ayant l'intuition que sa mort était imminente, le Dr D. demanda à être extrêmonctié.
Dans les quelques jours qui suivirent, il se sentit glisser vers une mort inéluctable et entra dans un état précomateux au cours duquel se produisit "un phénomène assez exceptionnel". Le Dr D. s'est senti dans un état de conscience tout à fait particulier, dans un autre monde. Il se trouvait tout à coup "branché" sur un univers spirituel, sur le cosmos.

C'est alors que tous les événements de sa vie ont défilé au ralenti, comme un film, avec la perception aiguë et proprement extraordinaire du bien et du mal, de la raison des épreuves subites, aussi bien pour lui que pour les autres personnes apparaissant dans ces scènes. Il se revit, entre autres, enfant, tirer sa langue à sa mère. Le Dr D. n'a pas ressenti de culpabilité, sa vision était plutôt comme un diagnostic (terme approprié en l'occurrence, mais qu'utilisent d'autres témoins non médecins). « Tout cela se déroulait dans une atmosphère apaisante, j'étais extrêmement lucide et je pouvais apprécier à leur juste valeur tous les actes. Je ressentis profondément qu'on me faisait faire un bilan afin que j'en tire des conclusions et je sentis que nous étions dans la Création avec l'assistance du créateur. » L'évidence qui se proposait à lui était qu'une infinie puissance divine présidait à cette évaluation, accompagnée d'une infinie miséricorde et d'une très grande justice. Depuis, sa croyance s'est transformée en foi. Sa peur de la mort a disparu, car avant son expérience sa croyance en une survie ne suffisait pas à supprimer sa peur de la mort, qu'elle soit la sienne, celle de ses patients ou de ses proches. Le Dr D. a cherché à comprendre de façon scientifique son expérience et ses implications. Il pense qu'il s'agit du domaine de l'esprit plutôt que de la matière et que nous ne disposons pas actuellement de science adéquate. Les notions de spiritons et de théons de Georges Morrannier l'ont séduit comme celle de l'énergie radiale et axiale de Theillard de Chardin ainsi que les développements sur l'espace-temps de Stephen Hawking.

En tant que médecin, le Dr D. commente ainsi son expérience : « il est très important pour un médecin et pour tous ceux qui s'occupent de la santé de savoir de quoi est composé l'être humain. Ou bien il s'agit d'un ensemble de tissus organiques et matériels et la mort est une étape ultime où tout s'arrête en décomposition définitive ; ou bien l'être humain est composé d'un corps et d'une âme-esprit qui est d'une composition que nous ignorons et qui peut persister après la mort. Cela change tout »




Témoignages docteurs - Dr Rolland

 
http://www.paranormal-info.com/NDE-d-un-medecin.html
NDE d’un médecin
Entretien avec le Docteur Rolland
ONDES - A la suite d’un accident de voiture, en 1988, vous avez vécu une expérience que vous rapprochez de la NDE. Pouvez-vous la décrire ?
Dr Rolland - Dès la fin du premier choc assez violent, je me suis retrouvé sur la chaussée après avoir quitté le véhicule. L’impact de la voiture contre le camion ne permettait pas de dégager la chaussée par la droite sans être obligé de faire le tour du véhicule par l’arrière et donc d’affronter un danger (...) Ma passagère se trouvait au niveau de la porte arrière gauche (les portes étaient restées ouvertes). J’étais à cet instant précis face au rail de sécurité, car je m’apprêtais à le franchir. C’est alors que j’effectuais une rotation sur la gauche. Dès ce moment j’ai vu les phares d’un camion (phare bas, éclairage de cabine, feux de remorque). J’ai su immédiatement que le danger était pour moi et que je me trouvais exactement sur son passage (...) A cette fraction de seconde, j’ai effectué un roulé boulé poussant ma passagère ; j’ai été heurté par le camion. J’avais alors effectué un demi-tour en l’air. Ma jambe gauche a été heurtée en extension au niveau du genou. J’ai perdu mes lunettes alors que j’avais ma tête vers le bas et mentalement sur un mode humoristique, je me suis dit " c’est idiot, tu ne verras rien car tu es myope ". Un souffle tel un express passant devant un objet sur le bord d’un quai de gare m’a surpris.
ONDES - Qu’avez-vous ressenti lors de ce choc ?
Dr Rolland - Une très forte accélération, fulgurante. A partir de cet instant, j’étais dans un noir absolu ayant l’impression (non de flotter hors de moi-même) que tout mon corps baignait dans un souffle immatériel doux, sans chaleur, sans froideur, sans douleur physique, sans sensation cinesthésique. Je baignais dans un silence que je qualifierais de vibratoire fait de fréquence très grave proche de l’infrason et d’une vibration plus tenue sans être aiguë, sans être agressive. Ceci a duré une seconde, une minute, un siècle, je ne pourrais le dire. J’étais bien, très bien dans un bonheur incomparable, jamais connu ou rencontré, une vibration de tout l’être de l’intérieur et de l’extérieur de la partie physique et mentale sans aucun aspect terrestre connu. Je me suis alors senti glissé sans douleur dans un mouvement de haut en bas, perpendiculairement à l’axe de la route J’ai ressenti un mouvement de glissement sans douleur. Un sentiment de plénitude m’a envahi comme si quelque chose me parlait ; mais c’était différent ; c’était une plénitude de confiance sur l’Avenir. Cet envahissement de confiance m’assurait que je remarcherai sans canne au mois de mai et la deuxième que je devais refuser mon orientation de carrière. La raison n’était pas fixe, mais c’était un sentiment de danger (cela s’est révélé exact quatre mois plus tard). J’ai réalisé alors la position dans laquelle j’étais à tel point que je pensais que le camion m’avait écrasé les deux jambes. L’ensemble était arrêté. Je n’ai jamais perdu connaissance, ni ma lucidité qui permit le guidage, l’évacuation des secours pour m’extraire de cette position. La douleur alors m’envahit.
ONDES - Une autre expérience tout aussi inexpliquée est survenue par la suite. Pourriez-vous la décrire ?
Dr Rolland - Dans la nuit, j’ai vécu une expérience tout aussi étonnante en effet. (...)
ONDES - Quelle analyse faites-vous de cette expérience ?
Dr Rolland - En situation extrême je n’ai jamais eu la notion de fin, de mort. Du moins cette notion n’a jamais été raisonnée. Je suis certain que si cette question m’avait effleuré, cela m’aurait probablement entraîné vers une attitude de paralysie. Mon sentiment était plutôt un sentiment global de danger majeur. J’étais alors en situation d’hyper vigilance, avec l’impression que mon cerveau avait atteint une prodigieuses capacité d’analyse. Le corps, les mémorisations, tous mes apprentissages depuis mon enfance (âge de 3 ans) sont repassés en séquences d’analyse pour concourir à la seule attitude permettant la SURVIE. Sont-ce mes capacités personnelles ? Je ne puis y répondre. Je n’ai pas trouvé à ce jour de réponse.
ONDES - Pourriez-vous préciser les sensations que vous avez ressenties lors du choc, particulièrement cette musique ?
Dr Rolland - (...)
ONDES - Pourquoi ne pensez-vous pas que cette expérience était une hallucination ?
Dr Rolland - Mon expérience se rapproche des descriptions faites par Albert Helm en 1876** ; on y retrouve un certain nombre de points communs. (...)
ONDES - Cette expérience a-t-elle eu un impact dans votre vie ?
Dr Rolland - Cette expérience a fait irruption dans ma vie et tel un coup de tonnerre dans un ciel serein, toutes mes notions de certitudes ont brutalement vacillées. Tout cela entre le moment du choc et mon arrivée au sol. Mon attitude de vie en fut instantanément bouleversée, comme si en un instant se produisait une fulgurante maturation de l’être. Cette expérience m’a entraîné dans un processus d’évolution avec cette remise en cause des valeurs et des sentiments. La peur de la mort m’a quitté, faisant place à une attitude de vie nouvelle toute empreinte de joie et de sérénité. La remise en cause des principes et des attitudes dogmatiques, les aspects nouveaux de ma propre sensibilité me donnent une connaissance plus agrandie du monde et une approche différente de la réalité. Il me reste une nostalgie de l’approche de l’absolu, mais en aucune façon je ne tente de me soustraire à la vie que j’apprécie encore plus intensément. (...) Cette expérience a réellement changé mon attitude fondamentale de l’approche de la vie. Je n’ai pas peur. J’ai acquis une certitude qu’il existe autre chose ; une autre vision du monde. Je sais au fond de moi même que j’ai rencontré l’absolu. Cette intime conviction est mienne. Elle me conforte dans ma vie de tous les jours. Cette analyse doit s’inscrire dans une longue recherche personnelle qui a commencé brutalement il y a bientôt... huit années.
*Pseudonyme. Ce médecin, âgé de 47 ans, souhaite, pour des raisons professionnelles, conserver l’anonymat. En revanche, il accepte de rencontrer tous les chercheurs intéressés par son expérience.
**Alpiniste suisse ayant décrit son expérience de chute de montagne


 

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