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12 juin 2015

Introduction

INTRODUCTION

Beaucoup de chrétiens tour à tour :
_ Perdent la foi.
_ Se tournent vers le bouddhiste ou hindouisme ;ou encore vers les religions et philosophies d’orient occidentalisées.
_ Se créent leur propre cocktail en mélangeant savamment selon leurs besoins : christianisme, bouddhisme, réincarnation, résurrection, spiritisme, etc.
Tout cela parce que la plupart des confessions chrétiennes ne donnent pas la bonne réponse concernant les questions clé de la vie :
_ D’où venons-nous ?
_ Quel est le but de notre vie sur la terre ?
_ Où allons-nous après la mort ?
_ Pourquoi Dieu permet-il l’injustice, les malheurs, la souffrance, la guerre, etc.
_ Quelle est l’origine de la vie ? Pourquoi la mort ?
Les religions d’orient répondent apparemment d’une manière logique à ces questions. Cependant, est-ce, parce qu’un concept est logique qu’il est un fait et exprime la Vérité ?Quand on se plonge dans l’étude de l’hindouisme tout paraît évident au début ; pourtant quand on l’approfondit, on finit par se trouver dans une impasse avec le néant tout autour.
J’étais athée, j’ai cru et j’ai longtemps cherché les réponses à ces questions fondamentales dans les religions d’Orient. J’ai fini par les trouverdans la pleinitude de l’Evangile de Jésus-Christ.
Il est connu que l’herbe chez le voisin est toujours plus verte et beaucoup de chrétiens déçus vont chercher ailleurs ce qu’ils ont dans l’Evangile du Christ.
Les religions d’orient parlent de Libération, Nivarna, Réincarnation ; l’Evangile de Jésus-Christ, de Salut, de Grâce, de Vie éternelle, de Résurrection, de Sacrifice expiatoire.
Bien qu’ayant le témoignage vivant que cette Vérité est contenue dans pleinitude de l’Evangile de Jésus-Christ, le but de ce livre n’est pas de le démontrer[1] ;mais celui :
_ de raconter le cheminement d’un homme parmi les hommes sincèrement poussé à la recherche de la Vérité.
_ d’examiner honnêtement, au moyen d’un dialogue de maître à élève, les bonnes choses de l’Hindouisme ; mais également ses contradictions et pourquoi selon moi, il ne détient pas la Vérité et n’apporte pas le Salut.
Extraits « Candide et l’Hindouisme » de Victor OJEDA

L'Après Bouddha

Après la mort du Bouddha, de nombreuses communautés se constituèrent pour continuer son œuvre. À l’époque seul l’enseignement oral perpétuait la parole du Maître défunt car aucun texte ayant valeur « canonique » ne circulait.
Quatre conciles au cours des 400 ans qui suivirent la mort du Bouddha s’organisèrent. Ils aboutirent à des schismes qui séparèrent le Bouddhisme en 3 principaux types :
_ Le Theravada ou Hinayana ou Petit Véhicule ou Voie des anciens : Voulant intégrer dans son enseignement uniquement la Bonne Loi ou paroles du Bouddha. Cette tendance à l’époque rassemblait une vingtaine d’écoles : il n’en subsistera qu’une : celle du Théravada.
_ Le Mahayana ou Grand Véhicule : Acceptant une évolution du Bouddhisme. Celle-ci, produisit une multitude d’écoles.
_Le Vajrayana ou Véhicule du Diamant : C’est le Bouddhisme tibétain né au VII ième siècle. Sa spécificité est d’avoir intégré la religion autochtone : Le bön constitué de pratiques chamaniques et le Mahayana.
La tradition bouddhiste accorde au Bouddha des milliers de sermons sans pour autant assurer formellement être de lui, de ses premiers disciples ou maîtres continuateurs de son oeuvre.
La complexité des divers types de bouddhisme pourrait s’expliquer par ce principe : « Tout ce qu’a dit le Bouddha est bien dit » ;et en fonction du contexte culturel, religieux, social, politique, … des pays conquis, par cet autre : « Tout ce qui est bien dit est parole du Bouddha. »
Ce texte confirme la réalité de ces deux axiomes :
"Car quoi que le Jina, le Guide du Dharma, ait enseigné,
ses élèves, s’ils sont sincères, y auront été bien formés.
Partant de l’expérience directe, dérivée de leur formation, ils l’enseignent,
leur enseignement vient de la puissance des Bouddhas, et non de leur propre puissance."
Si je comprends bien : le disciple qui par sa propre expérience atteint l’Eveil, parle en lieu et place du Bouddha.
Mais qu’est-ce l’Eveil ? Les Bouddhismes l’expliquent différemment et souvent si contradictoirement.
Le prophète de l’Ancien Testament parle au nom de Dieu annonçant : « Ainsi parle l’Eternel… ». Mais lorsqu’il ne parle pas au nom de Dieu, il redevient un homme, sujet à l’erreur. Il n’est en aucun cas prophète 24 heures sur 24.
Or le Bouddhisme ne croit pas en un Dieu éternel, omniscient, omnipotent. Il croit en l’homme, et l’homme ne comptant que sur l’homme et sur sa seule sagesse fut-elle grande est toujours sujet à l’erreur.
Alors ?! Voici quelques observations à la suite ...
Extraits « Candide et le Bouddhisme » de Victor OJEDA
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