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18 juin 2015

Les Etats-Unis ont placé le fondateur de Wikileaks dans leur liste d’ennemis d’Etat, aux côtés, notamment, d’Al-Qaïda.

Le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, au balcon de l’ambassade d’Equateur

 


Les Etats-Unis ont placé le fondateur de Wikileaks dans leur liste d’ennemis d’Etat, aux côtés, notamment, d’Al-Qaïda.

Une nouvelle étape est franchie dans l’affaire Wikileaks. Selon le site Internet du journal australien The Sydney Morning Herald, l’armée américaine a placé, mercredi, le site Wikileaks et son fondateur Julian Assange sur la liste des "ennemis d’Etat" des Etats-Unis. Une mesure qui l’inscrit au même rang qu’Al-Qaïda et que les terroristes talibans.

Le journal dit s’appuyer sur des documents déclassifiés du contre-espionnage américain.

Quelle conséquence a ce "classement" au rang d’ennemi d’Etat ? Concrètement, si un militaire contacte désormais Wikileaks ou ses sympathisants, il sera accusé de "communication avec l’ennemi". Un fait considéré comme "crime militaire" et passible de la peine de mort Outre-Atlantique. 

Réfugié dans l’ambassade d’Equateur. 

Depuis le 19 juin dernier, Julian Assange est réfugié dans l’ambassade équatorienne à Londres, pour éviter son tranfert vers la Suède, où il doit être interrogé sur une affaire de viol, qu’il nie. Julian Assange redoute d’être ensuite extradé vers les Etats-Unis et d’y risquer la peine de mort, pour la diffusion de 250.000 télégrammes diplomatiques sur Wikileaks.

Le gouvernement équatorien, qui soutient Assange, lui a offert l’asile politique le 16 août mais la Grande-Bretagne refuse de le laisser quitter librement la mission diplomatique.

Mercredi soir, le ministre équatorien des Affaires étrangères Ricardo Patiño a affirmé depuis l’ONU, à New York, que la seule solution pour sortir de l’impasse dans l’affaire Assange était de lui accorder un "sauf-conduit" afin qu’il puisse quitter l’ambassade d’Equateur à Londres.

Source : BFMTV 


 
 
 

Le fondateur de WikiLeaks a pris la parole mercredi par vidéoconférence lors d’une séance aux Nations unies à New York. Il a appelé les Etats-Unis à cesser "leurs persécutions" à l’égard de son organisation.

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