Voici une série de 13 vidéos de l’ami Guillemin à déguster en douceur, en prenant son temps. Le métier d’historien, c’est faire du complotisme, au sens où l’entendent nos bien-pensants d’aujourd’hui, et Henri Guillemin est un vrai historien qui démonte tout ce qui a été ingurgité de l’Histoire officielle. Dans cette série, vous apprendrez par exemple, dès la première vidéo, ce que signifie réellement la République dont sont si fiers les Français, et quels étaient ses véritables objectifs. Il ne faut pas que ces vidéos restent confidentielles. Faites-les connaître et faites découvrir Henri Guillemin à ceux qui ne le connaissent pas encore. Les mensonges actuels prennent leurs racines dans l’Histoire telle qu’il nous la présente. RI
La République des banquiers : conférences d’Henri Guillemin sur l’avant-1914
« Croire à l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole. »
Simone Weil (Philosophe)
« Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire. »
Chateaubriand
« En réalité, pour dire les choses telles qu’elles sont, et sous une apparence peut-être véhémente mais pourtant exactement fidèle à la vérité, la IIIe République était, sous une apparence de démocratie, pratiquement une oligarchie financière. Et je sais bien qu’il n’y a pas très longtemps encore, un journal sérieux disait : ‘C’est une rengaine de parler de la toute-puissance de l’argent.’ Il est facile d’appeler rengaine la constatation obstinée d’une évidence. »
Henri Guillemin, La République bourgeoise
« En dépit des apparences démocratiques en France, le peuple ne contrôle pas ses gouvernements. Un groupe étroit s’est emparé des conseils d’administration des grandes sociétés financières. Ces quelques hommes tiennent entre leurs mains les banques, les mines, les chemins de fer, les compagnies de navigation, bref, tout l’outillage économique de la France. Sans oublier la sidérurgie et les fabriques d’armes d’où ils tirent de croissants profits. Ils dominent le parlement et ont à leur solde la grande presse. La guerre ne leur fait pas peur, ils la considèrent même avec intérêt. (…) Nos banques ont gardé le souvenir des bénéfices énormes réalisés par elles en 1871. »
Francis Delaisi, La guerre qui vient, 1911