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15 juin 2015

LE CARLYLE GROUP Le Coeur de la Pieuvre occulte Maître du Monde

LE CARLYLE GROUP Le Coeur de la Pieuvre occulte Maître du Monde

   

CARLYLE GROUP est une société privée basée à Washington D.C. aux USA, qui est spécialisée dans l’investissement et la défense, et qui a été fondée en 1987 par William E. Conway, Jr., Daniel A. D’Aniello, Stephen L. Norris, Greg A. Rosenbaum, et David M. Rubenstein (ancien conseiller de Jimmy Carter, membre de la Commission Trilatérale), Le groupe possède 89,3 milliards de dollars de capitaux propres et il emploie plus de 515 professionnels de l'investissement dans 21 pays. CARLYLE ne vend pas de parts boursières, et donc n’existe pas à la Bourse. Le nom Carlyle vient d’un hôtel situé dans l’est de New York, ou pour la première fois, les fondateurs se sont rencontrés pour parler de l’idée. L’actuel président de Carlyle estLou Gerstner qui est aussi le PDG d’IBM et de Nabisco.Carlyle sort de l’ombre malgré lui le 11 septembre 2001. Ce jour-là, le groupe organise au Ritz Carlton de Washington une réunion avec cinq cents de ses plus importants investisseurs. Frank Carlucci et James Baker jouent les maîtres de cérémonie. George Bush père fait un passage éclair en début de journée. La présentation est rapidement interrompue, mais un détail n’échappe à personne. Un des invités porte sur son badge le nom de Ben Laden. Il s’agit de Shafiq Ben Laden, un des nombreux demi-frères d’Oussama. Les médias américains découvrent CARLYLE. Un journaliste, Dan Briody, écrit un livre sur la face cachée du groupe, The Iron Triangle, et s’intéresse notamment aux relations étroites entre le clan Bush et les dirigeants saoudiens. Certains s’interrogent sur l’influence de George Bush père sur la politique étrangère américaine. En janvier 2001, lorsque George Bush fils rompt des négociations avec la Corée du Nord sur les missiles, les Coréens du Sud, consternés, interviennent auprès de son père. CARLYLE a des intérêts importants à Séoul. En juin 2001, Washington reprend les discussions avec Pyongyang.Une société d'armement aussi puissante que discrète, au coeur du lobby millitaro-industriel américain. Le Carlyle Group est l'un des grands bénéficiaires de la guerre en Irak et de l'augmentation sans précédent du budget militaire américain. Le CARLYLE GROUP est très lié à la famille Bush, aux familles règnantes d'Arabie Saoudite et aussi à la famille Ben Laden. Le CARYLE GROUP est présent dans de nombreux domaines d'activités, comme l'aéronautique, la défense, l'industrie automobile et des transports, l'énergie, les télécommunications et les médias. Ses investissements sont essentiellement situés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-Est. Plus de 450 institutions lui font confiance, et non des moindres : banques d’affaires internationales, compagnies d’assurance, fortunes privées des émirats pétroliers, fonds de pension publics et privés tels CalPERS, le fonds des retraités californiens qui, en février 2001, a déboursé 175 millions de dollars pour prendre 5% du capital de CARLYLE, avec une option lui permettant d’investir 675 millions supplémentaires. Jusqu’en 1998, le CARLYLE GROUP était inconnu en France. Il y contrôle pourtant une grande partie de la presse professionnelle et quelques fleurons industriels.Carlyle n’est pas coté en Bourse, et n’est donc non tenu de communiquer à la Securities and Exchange Commission (la commission américaine chargée de veiller à la régularité des opérations boursières) le nom des associés, des actionnaires, pas plus que le nombre de leurs parts respectives. Tous n'ont pas eu une part active au sein du groupe, certains noms célèbres de la politique et des affaires étant garants de la notoriété de l'entreprise dans le but d'attirer des investisseurs. Via la société United Defense Industries, CARLYLE fabrique des missiles, des véhicules de transport et, en Californie, le blindé léger Bradley. CARLYLE affectionne les paradis fiscaux. L’étude des différents investissements LBO réalisés sur le territoire français met à jour des cascades de holdings et de filiales domiciliées au Luxembourg, à Guernesey et aux Iles Cayman.CARLYLE est un modèle unique, construit à l’échelle planétaire sur le capitalisme de relations ou le » capitalisme d’accès » pour reprendre l’expression du magazine Americain New Republic, en 1993. Le groupe incarne aujourd’hui, malgré ses dénégations, le « complexe militaro-industriel » contre lequel le président républicain Dwight Eisenhower mettait en garde le peuple américain en quittant ses fonctions, en 1961.

  

Le 11 septembre 2001, le jour de l'attaque terroriste contre le World Trade Center à New York et le Pentagone à Washington, le CARLYLE GROUP réunit dans cette même ville plusieurs centaines d'investisseurs liés au groupe. Parmi les invités figurent entre autres George H. W. Bush, 41e président des États-Unis et père du président George W. Bush, et Shafiq Ben Laden, un demi-frère d'Oussama Ben Laden, l'homme à la tête d'Al-Qaida, la structure accusée de l'agression. La proximité des noms Bush et Ben Laden en ce jour précis frappe les consciences, et révèle CARLYLE au grand public. Après les évènements du 11 septembre, le seul avion à pouvoir survoler et quitter les USA sera celui des saoudiens ...
FRANCK CARLUCCI
Six jours après avoir officiellement quitté le Pentagone, le 6 janvier 1989, Frank Carlucci devient directeur général de Carlyle. Il emmène avec lui des hommes de confiance, anciens de la CIA, du département d’Etat et du ministère de la défense. Surnommé « M. Clean » il a une réputation sulfureuse. Ce diplomate était en poste dans les années 1970 dans des pays comme l’Afrique du Sud, le Congo, la Tanzanie, le Brésil et le Portugal où les Etats-Unis et la CIA ont joué un rôle politique douteux. Il était le numéro deux de l’ambassade américaine au Congo belge, en 1961, et a été soupçonné d’être impliqué dans l’assassinat de Patrice Lumumba. Il a toujours fermement démenti. La presse américaine l’a aussi accusé d’être impliqué dans plusieurs trafics d’armes dans les années 1980, mais il n’a jamais été poursuivi. Il a dirigé un tempsWackenhut, une société de sécurité à la réputation détestable, impliquée dans l’un des plus grands scandales d’espionnage, le détournement du logiciel Promis. Frank Carlucci a eu pour mission de faire le ménage dans l’administration Reagan au moment de l’affaire Iran-Contra et a succédé alors au poste de conseiller à la sécurité nationale à John Pointdexter. En entrant en fonctions, il avait pris comme adjoint un jeune général qui deviendra célèbre plus tard lors de la campagne d'Irak, le général Colin Powel.Sur son nom, Frank Carlucci attire les capitaux chez CARLYLE. En octobre 1990, le groupe s’empare de BDM International qui participe au programme de « guerre des étoiles », et en fait une tête de pont. En 1992,Frank Carlucci s’allie avec le groupe français Thomson-CSF pour reprendre la division aérospatiale de LTV. L’opération échoue, le Congrès s’oppose à la vente à un groupe étranger. Carlyle trouve d’autres associés, Loral et Northrop, et met la main sur LTV Aerospace rapidement rebaptisé Vought Aircraft qui participe à la fabrication des bombardiers B1 et B2. Dans le même temps, le fonds multiplie les acquisitions stratégiques, telles Magnavox Electronic Systems, pionnier en matière d’imagerie radar, et DGE qui détient la technologie des cartes en relief électroniques pour les missiles de croisière. Suivent trois sociétés spécialisées dans la décontamination nucléaire, chimique et bactériologique (Magnetek, IT Group et EG G Technical services). Puis, via BDM International, une firme liée à la CIA, Vinnell, laquelle est parmi les premières à fournir à l’armée américaine et ses alliés des contractants privés. C’est-à-dire des mercenaires. Ceux de Vinnell encadrent les forces armées saoudiennes et protègent le roi Fahd. Ils ont combattu lors de la première guerre du Golfe aux côtés des troupes saoudiennes. En 1997, CARLYLE revend BDM et surtout Vinnell, trop dangereux. Le groupe n’en a plus besoin. Il est devenu le onzième fournisseur du Pentagone en mettant la main la même année sur United Defense Industries.
OLIVIER SARKOZY
Depuis avril 2008 Olivier Sarkozy (demi-frère de Nicolas Sarkozy), copilote l’activité mondiale des services financiers de Carlyle Group. Le demi-frère du président de la République française, aurait réalisé en 2007, selon le classement Dealogic, des opérations pour un montant total de 514 milliards de dollars. Il s’est illustré dans plusieurs rachats d’envergure, notamment celui de l’émetteur de cartes de crédit MBNA par Bank of America en 2006 (35 milliards de dollars), ou celui de Sallie Mae par un consortium de banques et de sociétés de capital-investissement (25 milliards). Il a aussi conseillé ABN Amro et Barclays dans leur fusion. Il passe désormais à la vitesse supérieure. Oliver Sarkozy avait organisé la rencontre entre le président Bush et son demi-frère lorsque celui-ci n’était encore que ministre de l’Intérieur. Christine de Nagay, mère d’Oliver Sarkozy, s’est remariée en seconde noces. Dans les années 50, son beau-père avait engagé Frank Carlucci(directeur honoraire de Carlyle) au département des opérations de la CIA.
INVESTISSEMENTS STRATEGIQUES
CARLYLE investit prioritairement dans les technologies duales, à finalité civile et militaire. Son entrée sur le marché des nanotechnologies, des biotechnologies à commencer par les antiviraux génétiques et la capitalisation de sociétés comme Indigo System ou Conexant, spécialisées dans le guidage laser et les caméras à infra-rouge, lui permettrait d’acquérir les procédés les plus pointus composant les systèmes d’armes de demain. CARLYLE signe de juteux contrats avec le ministère américain de la défense. Même constat pour l’informatique, l’Internet et les télécoms, les trois plus gros domaines d’investissements du fonds depuis le milieu des années 90.Côté hardware, Carlyle contrôle Matrics Inc , une société d’identification par radiofréquence fondée par d’anciens ingénieurs de la NSA, ainsi que CPU Tech et ISR Solutions, deux firmes spécialisées dans le développement d’applications électroniques de sécurité sous contrat avec le Pentagone6. Côté réseaux, le fonds a fait son entrée dans le développement du backbone, des routeurs, de la fibre optique, des câbles, de la boucle radio et même de l’Internet par satellite. Il capitalise des sociétés aussi connues que NextelGlobal Crossing ou Nortel Networks ; possède des parts significatives dans SOLSOFTINFRAWORKS et BNX SYSTEM trois acteurs majeurs de la sécurité informatique et s’intéresse de près aux puces et aux semi-conducteurs qui composeront les nouvelles générations d’ordinateurs.CARLYLE détient 33,8 % du capital de QINEQIQ, la filiale privée de DERA, qui joue le rôle de conseiller du gouvernement britannique. Et demeure l’un des principaux centres de recherche militaires européens ainsi qu’un partenaire de premier plan de l’aéronautique communautaire. Autant de conflits d’intérêts potentiels qui ne devraient pas arranger l’état des relations transatlantiques. D’autant que la firme qui développe des systèmes de guidage et d’imagerie par infrarouge pourrait rapidement devenir un élément clé de l’industrie européenne de missiles tactiques. QINEQIQ et SIPPICAN, une autre filiale du groupe, planchent sur l’infodominance et la guerre électronique (C4ISR).En Europe, CARLYLE sécurise ses investissements. Dans l’immobilier tout d’abord, par l'achat d’hôtels, de buildings commerciaux ou de centres d’affaires et dans l’industrie, particulièrement vrai en France où il s’est emparé du groupe Genoyer avant d’entrer au capital du ,papetier Otor.En décembre 2001, le fonds s’est allié à Intel Capital pour entrer au tour de table d’Ebis Company Ltd. Cette société informatique orientée sécurité compte les principales entreprises publiques et agences gouvernementales chinoises parmi sa clientèle. Depuis 1998, le fonds a investi en Asie plusieurs centaines de millions de dollars dans le développement des infrastructures de communication, tous supports et tous réseaux confondus. Depuis l'achat du Figaro en 1999, puis sa revente au groupe Dassault trois ans plus tard, le fonds montre une attention particulière pour les leaders d’opinion. Pas n’importe lesquels : avec 28% des actifs du pôle « presse professionnelle et santé » de Vivendi Universal Publishing, CARLYLE gère un empire de plus de 70 titres et 1,5 million d’abonnés comprenant le groupe Tests leader de l’information sur l’informatique professionnelle, le groupe Moniteur leader de l’information sur les BTP et les marchés publics et le groupe Gisi, numéro un de l’information technologique industrielle grâce à son titre phare, l’Usine nouvelle. Des postes d’observation essentiels car GT Labs, le laboratoire d’expérimentation du groupe Tests figure parmi les premiers centres européens de tests informatiques. Quant aux rédactions de l’Usine nouvelle, elles rendent compte chaque semaine des avancées de la recherche dans les domaines les plus pointus et publient « l'annuaire France R&D », le premier annuaire des laboratoires et centres de recherche français
INVESTISSEURS - AFFILIES - EMPLOYES - RESEAUX
Nous retouvons le CARLYLE, la nébuleuse opaque au service du complexe militaro-industriel et disposant de “conseillers” prestigieux (Bush père, John Major, Henri Martre, Etienne Davignon, etc.) dans le monde entier, ainsi que dans plusieurs scandales et faillites célèbres (Erron, Iran gate, etc.). CARLYLE possède des capitaux dans de nombreuses entreprises du monde et des liens avec plusieurs organisations, fondations, gouvernements et Agences de renseignements (CIA, MI6, etc.). Plusieurs de ces groupes et compagnies sont inter-connectés et il n'est pas rare de retrouver les mêmes personnages dans les directions de ces entités:Binladen Group (famille Ben Laden), Matrics (puces RFID), Bioport (fabricant de vaccins militaires dont les vaccins contre l’anthrax), Northpoint Technology (automatisation et de contrôle de système), D P World(Ben Laden Construction), Westinghouse Electric Company (compagnie de CBS dont Frank Carlucci est membre des conseils d'administration des deux sociétés), Dubai Investment Corp. (), Thomas H. Lee Partners LP (), Dunkin' Doughnuts (), United Soybean Board (), Frankenfood (Tabac et chimie),Baskin-Robbins (restauration), Thaksin Shinawatra (), ITT (Réseaux et communication), China Pacific Insurance Group CPIC (Assurances), Biotech Brigade (), Bain Capital (), CSX Corporation (), Vought Aircraft Industries (aéronautique), Northrop Grumman (), Crimes and Lawbreakers (Who's Who des firmes de rachat), Equity Club (Bonesman business), Upjohn Pharmacia Corporation (Vaccins et médicaments), Monsanto (Semences, PCB, Chimie ...) Temasek Holdings (), Greenhill & Co., Inc. (), J.P. Morgan Partners(), Howard Hughes Medical Institute (), United Defense Industries (), U.S. Investigative Services (), The Washington Center (Office national consultatif honoraire), Casema BV (),Beckett Brown International (), Dex Media, Inc. (), Bankruptcy Filers (), Kinder Morgan Inc. () Nielsen Media Research (), Vinnell Corporation (), Topaz Power Group (), Sempra Energy Trading, etc.Parmis es acteurs financiers nous trouvons le groupe russe Menatep, les autorités financières d’Abu Dhabi et du Koweït, les fonds de pension publics de l’Ohio, du Texas, de la Floride et de New York ont investi des centaines de millions de dollars dans les différents fonds Carlyle. Les banques Goldman SachsSalomon Smith BarneyCitibankJP Morgan Chase, le Crédit Suisse ou First Boston sont des partenaires d’affaires réguliers. De même que la Deutsche Bank, la Royal Bank of ScotlandABN amro, le Crédit Agricole, la financière Edmond de Rothschild ou le Crédit LyonnaisEn 2000, le fonds a investi 300 millions de dollars pour prendre le contrôle de KorAm Bank, l’une des plus grandes banques privées de Corée.La collection de personnages influents qui travaillent, ont travaillé, ou ont investi dans ce groupe laisse les théoriciens de conspiration incrédules. Cela inclut avant tout autre, John Major: Ancien Premier Ministre du Royaume-Uni avant Tony Blair; Fidel Ramos: Président des Philippines; Park Tae Joon: Ancien Premier Ministre Sud Coréen; Le Prince d’Arabie Saoudite, Al-Walid; le général Colin Powell, le Secrétaire d’Etat durant l’administration Bush Junior de 2000 à 2004; James Baker, l'ancien Secrétaire d’Etat; Caspar Weinberger: le Secrétaire d’Etat à la Défense; Richard Darman; le Directeur du Budget de la Maison Blanche; Le Milliardaire George Soros et quelques membres de la famille Ben Laden.Carlyle recrute les meilleurs, au meilleur prix. Une retraite en or pour les anciens responsables des autorités de régulation financières. Tel Arthur Levitt, ancien patron de la Securities and Exchange Commission devenu « senior advisor » du groupe en mai 20018 ; mais également Karl Otto Pöhl, ancien président de la Bundesbank ; Afsaneh Masheyekhi Beschloss, ancien responsable des investissements de la Banque mondiale ; Liu Hong Ru, jadis président de la Commission chinoise de régulation du marché ou Arifin Siregar, ex-président de la Banque centrale d’Indonésie, tous consultants ou associés. La liste est longue. Couplée aux bataillons de fiscalistes et de juristes qui accompagnent le fonds, elle permet à CARLYLE de réaliser des opérations complexes sur tous les marchés du monde. Toujours dans la légalité. Toujours dans les failles de la loi. Cette liste est une liste officielle provenant du site de CARLYLE, et a tendance à changer régulièrement …- George H. Walker Bush, Ex-président des États-Unis d’Amérique et père de l’actuel président américain. Retiré du groupe en Octobre 2003. - George W. Bush Junior, Directeur d’une des premières acquisitions de Carlyle qui était un business sur la nourriture pour les vols d’avion commerciaux, que Carlyle a vendu pour cause de perte d’argent en 1992. George Bush Junior quitte Carlyle pour devenir Gouverneur du Texas en 1992. - James Baker, Ancien secrétaire à la Défense. Retiré du groupe en 2005. - John Major, Ancien Premier Ministre Britannique conservateur. Retiré du groupe en 2005. - Karl Otto Pà¶hl, Ex-président de la Bundesbank - Arthur Levitt, Ex-président de la Securities and Exchange Commission sous le reigne du Président Clinton - Fidel Ramos, Ex-président des Philippines - Henri Martre, Transfuge de Matra Aérospatiale - Merrill Lynch, Société Financière Américaine - Fonds de pension de General Motors - George Soros, Financier - Frank C. Carlucci, Secrétaire à la Défense Américaine de 1987 à 1989 sous Reaggan. Président de Carlyle et de Emeritus de 1989 à 2005. Retiré du groupe en Mars 2005. - Richard Darman, Directeur du U.S. Office of Management and Budget sous le reigne de George H. W. Bush, Conseiller Sénior et Président de Carlyle de 1993 jusqu’à aujourd’hui - Allan Gotlieb, Ambassadeur Canadien aux USA (1981-89) et membre du Canadian Advisory Board de Carlyle - Liu Hong-Ru, Président du Securities Regulatory Commission du gouvernement Chinois - William Kennard, Président du U.S. Federal Communications Commission (FCC) sous le reigne du président Bill Clinton - Peter Lougheed, Premier ministre de l’Alberta (1971-85) - Frank McKenna, Ambassadeur Canadien aux USA - Mack McLarty, Chef de Staff sous le Président Clinton, Président du Kissinger McLarty Associates, Conseiller Sénior de Carlyle de 2003 jusqu’à aujourd’hui - Anand Panyarachun, Premier Ministre de Thailande (2 fois) - Fidel Ramos, Président des Philippines - Dan Senor, Consultant Politique - Thaksin Shinawatra, Premier Ministre de la Thailande (2001 – 2006) - Luis Téllez Kuenzler, Economiste Méxicain - Etienne D’Avignon, président de la Belgian Generale Holding Company - Olivier Sarkozy (demi-frère de Nicolas Sarkozy), copilote depuis avril 2008 l’activité mondiale des services financiers de Carlyle Group.Egalement cité comme partenaires et employés de CARLYLE : Alice Albright (la fille de Madeleine Albright), Arthur Lewitt, William Kennard. Et aussi les Européens: Karl Otto Poehl (Président du Bundesbank); Henri Martre (aujourd'hui décédé), etc
PENTAGONE STORY
Le 4 janvier 1989, George Bush père devient le 41ème président des Etats-Unis. La même année, en décembre, le Carlyle Group rachète à Marriot Corporation la société Caterair International, une firme texane spécialisée dans la restauration aérienne. Moins d’un an plus tard, George W. Bush Jr entre au conseil d’administration de Caterair. C’est le premier gros coup du Carlyle Group, il est signé Fred Malek. Avant de conseiller le fonds d’investissement, cet ancien assistant de Richard Nixon dirigeait l’une des filiales de Marriot Corp. Il a surtout été l’un des piliers de la campagne présidentielle républicaine avant de démissionner de son poste après que le Washington Post eut révélé son implication dans le scandale de la « liste juive » établie sous l’administration Nixon14. En 1992, Fred Malek dirigera la seconde campagne présidentielle deGeorge Bush père. Dès cet instant, les liens entre la famille Bush et le fonds d’investissement Carlyle ne se relâcheront plus.Obtenir l’écoute du chef de l’exécutif n’est qu’une première étape. En octobre 1990, Franck Carlucciconvainc ses partenaires de racheter BDM International, l’un des principaux centres de recherche et développement de l’industrie de défense américaine. Ses arguments sont imparables : depuis le milieu des années 80, les experts de BDM International ont enlevé plusieurs contrats gouvernementaux hautement confidentiels. Parmi eux, des études portant sur la mise en oeuvre d’un vaste bouclier antimissiles, plus connu sous le nom d’Initiative de Défense Stratégique (IDS). Ce projet, l’administration Reagan l’a porté à bout de bras, Carlucci en tête. Personne mieux que lui ne connaît l’état d’avancée du système ni les rouages décisionnels du ministère de la défense. Or l’IDS figure toujours sur l’agenda du président Bush senior et le nouveau secrétaire d’Etat à la défense n’est autre que James Baker, le vieux camarade de Franck Carlucci15. Dans ces conditions, n’est-il pas raisonnable de penser que BDM sera bientôt grandement profitable ?Franck Carlucci emporte la mise. En 1997, le Carlyle Group revendra BDM à la firme TRW, empochant plus de 400 millions de dollars. Quelques années plus tard, George Bush fils remettra la défense anti-missiles au goût du jour.Franck Carlucci avait d’autres raisons d’acquérir BDM : la société figure à la pointe de la recherche et développement (R & D) de l’industrie de défense américaine. Les meilleurs ingénieurs et experts en technologie militaire du pays rêvent d’y travailler. Des années durant Carlyle va utiliser leurs compétences pour identifier les technologies émergentes et repérer ses futures cibles. Entre 1990 et 1993 le fonds rachète GDE et Magnavox Eletronic Systems, deux firmes « sensibles » spécialisées dans le traitement du signal et l’imagerie radar. Suivront LTV Aircraft Division, Elgar Electronics et Dynamic Corp. Puis Magnetek Inc, IT Group et EG&G Technical Services, trois spécialistes de la décontamination nucléaire, biologique et chimique.Très vite le rachat d’entreprises en difficultés momentanées devient bien plus qu’un créneau de niches : au milieu des années quatre-vingt dix, le CARLYLE GROUP est un acteur majeur du mouvement de concentration du secteur militaro-industriel nord-américain. Il en a les moyens : non seulement la première guerre du Golfe a dopé ses dividendes, mais le fonds poursuit son recrutement des plus hauts dignitaires de l’administration Bush : en 1993, James Baker III, ex-secrétaire d’Etat et Richard Darman, ancien directeur du Budget à la Maison Blanche, rejoignent sa direction. Cette année-là, le financier George Soros - l’homme dont la biographie est parvenue le même jour dans toutes les agences de presse du monde - place 100 millions de dollars dans Carlyle Partners, le tout nouveau fonds d’investissement du groupe.En 1997, Carlyle rachète United Defense. Cette acquisition achève sa stratégie : en moins de dix ans, le fonds est devenu le onzième fournisseur d’armes du Pentagone. Etroitement connectés à l’administration, ses experts sont capables d’anticiper et de répondre à n’importe quel appel d’offre, des véhicules de combat aux canons de destroyers en passant par les missiles ou l’électronique de défense. Cette réussite, CARLYLE la doit à une stratégie de réseau sans failles et sans états d’âme, la société proposera une retraite confortable aux anciens responsables démocrates de l’administration Clinton. A l’instar de Brian Bailey, conseiller spécial du président devenu viceprésident du fonds d’investissement en 1996.
[Le++++++++++++++++++ Mon- 30 avril 2004]Le plus grand investisseur privé du monde, bien implanté dans le secteur de l’armement, est un groupe discret, qui cultive les accointances avec les hommes influents, dont les Bush, père et fils.Il y a un an, le 1er mai 2003, George Bush atterrissait, sanglé dans une combinaison de pilote de chasse, sur le porte-avions USS Abraham-Lincoln au large de la Californie. L’image est devenue célèbre. Sous une banderole proclamant “Mission accomplished” (mission accomplie), le président annonçait prématurément la fin des opérations militaires en Irak et sa victoire.Le lendemain, de retour sur la terre ferme, il prononçait un autre discours martial, non loin de San Diego, dans une usine d’armement d’United Defense Industries.Cette entreprise est l’un des principaux fournisseurs du Pentagone. Elle fabrique, entre autres, des missiles, des véhicules de transport et, en Californie, le blindé léger Bradley. Son principal actionnaire est le plus grand investisseur privé au monde. Un groupe discret, baptisé Carlyle.Il n’est pas coté en Bourse et n’a de comptes à rendre qu’à ses 550 investisseurs - milliardaires ou fonds de pension. Carlyle gère aujourd’hui 18 milliards de dollars, placés dans les secteurs de la défense et de la haute technologie (biologie notamment), le spatial, l’informatique liée à la sécurité, les nanotechnologies, les télécommunications. Les entreprises qu’il contrôle ont pour caractéristique commune d’avoir pour clients principaux des gouvernements et administrations. Comme la société l’a écrit dans une brochure : ” Nous investissons dans des opportunités créées dans des industries fortement affectées par des changements de politique gouvernementale.”Carlyle est un modèle unique, construit à l’échelle planétaire sur le capitalisme de relations ou le ” capitalisme d’accès” pour reprendre l’expression du magazine Americain New Republic, en 1993. Le groupe incarne aujourd’hui, malgré ses dénégations, le “complexe militaro-industriel” contre lequel le président républicain Dwight Eisenhower mettait en garde le peuple américain en quittant ses fonctions, en 1961.Cela n’a pas empêché George Bush père d’occuper pendant dix ans, jusqu’en octobre 2003, un poste de conseiller de Carlyle. C’était la première fois dans l’histoire des Etats-Unis qu’un ancien président travaillait pour un fournisseur du Pentagone. Son fils, George W. Bush connaît aussi très bien Carlyle. Le groupe lui a trouvé un emploi en février 1990, alors que son père occupait la Maison Blanche : administrateur de Caterair, une société texane spécialisée dans la restauration aérienne. L’épisode ne figure plus dans la biographie officielle du président. Quand George W. Bush quitte Caterair, en 1994, avant de devenir gouverneur du Texas, l’entreprise est mal en point.“Il n’est pas possible d’être plus proche de l’administration que l’est Carlyle“, affirme Charles Lewis, directeur du Centre pour l’intégrité publique, une organisation non partisane de Washington. “George Bush père a gagné de l’argent provenant d’intérêts privés qui travaillent pour le gouvernement dont son fils est le président. On peut même dire que le président pourra un jour bénéficier financièrement, via les investissements de son père, de décisions politiques qu’il a prises”, ajoute-t-il.La collection de personnages influents qui travaillent, ont travaillé ou ont investi dans le groupe ferait l’incrédulité des adeptes les plus convaincus de la théorie du complot. On y trouve entre autres : John Major, ancien premier ministre britannique, Fidel Ramos, ancien président philippin, Park Tae Joon, ancien premier ministre de la Corée du Sud, le prince saoudien Al-Walid, Colin Powell, actuel secrétaire d’Etat, James Baker III, ancien secrétaire d’Etat, Caspar Weinberger, ancien secrétaire à la défense, Richard Darman, ancien directeur du budget à la Maison Blanche, le milliardaire George Soros et même des membres de la famille Ben Laden. On peut ajouter à cette liste Alice Albright, la fille de Madeleine Albright, ancienne secrétaire d’Etat, Arthur Lewitt, ancien président de la SEC (le gendarme de Wall Street), William Kennard ex-patron de l’autorité des télécommunications (FCC). Enfin, il faut ajouter, parmi les Européens, Karl Otto Pöhl, ancien président de l! a Bundesbank, feu Henri Martre, qui a été président de l’Aerospatiale, et Etienne Davignon, ancien président de la Générale de Belgique.Carlyle n’est pas seulement une collection d’hommes de pouvoir. Il possède des participations dans près de 200 sociétés et surtout, la rentabilité annuelle de ses fonds dépasse 30 % depuis une décennie. “Par rapport aux cinq cents personnes que nous employons dans le monde, le nombre d’anciens hommes d’Etat est très faible, une dizaine tout au plus, explique Christopher Ullmann, vice-président de Carlyle, responsable de la communication. On nous accuse de tous les maux. Mais personne n’a jamais apporté la preuve d’une quelconque malversation. Aucune procédure judiciaire n’a jamais été lancée contre nous. Nous sommes une cible commode pour qui veut s’en prendre au gouvernement américain et au président.”Carlyle a été créé en 1987, avec 5 millions de dollars, dans les salons du palace new-yorkais du même nom. Ses fondateurs, quatre juristes, dont David Rubenstein (ancien conseiller de Jimmy Carter), ont alors pour ambition - limitée - de profiter d’une faille de la législation fiscale. Elle autorise les sociétés détenues en Alaska par des Eskimos à céder leurs pertes à des entreprises rentables qui payent ainsi moins d’impôts. Le groupe végète jusqu’en janvier 1989 et l’arrivée à sa tête de l’homme qui inventera le système Carlyle, Frank Carlucci. Ancien directeur adjoint de la CIA, conseiller à la sécurité nationale puis secrétaire à la défense de Ronald Reagan, M. Carlucci compte à Washington. Il est l’un des amis les plus proches de Donald Rumsfeld, actuel ministre de la défense. Ils ont partagé une chambre quand ils étaient étudiants à Princeton. Ils se sont ensuite croisés dans de nombreuses administrations et ont même travaillé, un temps, pour la même entreprise, Se! ars Robuck.Six jours après avoir officiellement quitté le Pentagone, le 6 janvier 1989, Frank Carlucci devient directeur général de Carlyle. Il emmène avec lui des hommes de confiance, anciens de la CIA, du département d’Etat et du ministère de la défense. Surnommé “M. Clean” (”M. Propre”), Frank Carlucci a une réputation sulfureuse.Ce diplomate était en poste dans les années 1970 dans des pays comme l’Afrique du Sud, le Congo, la Tanzanie, le Brésil et le Portugal où les Etats-Unis et la CIA ont joué un rôle politique douteux. Il était le numéro deux de l’ambassade américaine au Congo belge, en 1961, et a été soupçonné d’être impliqué dans l’assassinat de Patrice Lumumba. Il a toujours fermement démenti. La presse américaine l’a aussi accusé d’être impliqué dans plusieurs trafics d’armes dans les années 1980, mais il n’a jamais été poursuivi. Il a dirigé un temps Wackenhut, une société de sécurité à la réputation détestable, impliquée dans l’un des plus grands scandales d’espionnage, le détournement du logiciel Promis. Frank Carlucci a eu pour mission de faire le ménage dans l’administration Reagan au moment de l’affaire Iran-Contra et a succédé alors au poste de conseiller à la sécurité nationale à John Pointdexter. En entrant en fonctions, il avait pris comme adjoint un jeune général… Colin Powe! ll. Sur son nom, Frank Carlucci attire les capitaux chez Carlyle. En octobre 1990, le groupe s’empare de BDM International qui participe au programme de “guerre des étoiles”, et en fait une tête de pont. En 1992, Frank Carlucci s’allie avec le groupe français Thomson-CSF pour reprendre la division aérospatiale de LTV. L’opération échoue, le Congrès s’oppose à la vente à un groupe étranger. Carlyle trouve d’autres associés, Loral et Northrop, et met la main sur LTV Aerospace rapidement rebaptisé Vought Aircraft qui participe à la fabrication des bombardiers B1 et B2. Dans le même temps, le fonds multiplie les acquisitions stratégiques, telles Magnavox Electronic Systems, pionnier en matière d’imagerie radar, et DGE qui détient la technologie des cartes en relief électroniques pour les missiles de croisière. Suivent trois sociétés spécialisées dans la décontamination nucléaire, chimique et bactériologique (Magnetek, IT Group et EG G Technical services). Puis, via BDM International, une firme liée à la CIA, Vinnell, laquelle est parmi les premières à fournir à l’armée américaine et ses alliés des contractants privés. C’est-à-dire des mercenaires. Ceux de Vinnell encadrent les forces armées saoudiennes et protègent le roi Fahd. Ils ont combattu lors de la première guerre du Golfe aux côtés des troupes saoudiennes. En 1997, Carlyle revend BDM et surtout Vinnell, trop dangereux. Le groupe n’en a plus besoin. Il est devenu le onzième fournisseur du Pentagone en mettant la main la même année sur United Defense Industries. Carlyle sort de l’ombre malgré lui le 11 septembre 2001. Ce jour-là, le groupe organise au Ritz Carlton de Washington une réunion avec cinq cents de ses plus importants investisseurs. Frank Carlucci et James Baker III jouent les maîtres de cérémonie. George Bush père fait un passage éclair en début de journée. La présentation est rapidement interrompue, mais un détail n’échappe à personne. Un des invités porte sur son badge le nom de Ben Laden. Il s’agit de Shafiq Ben Laden, un des nombreux demi-frères d’Oussama.. Les médias américains découvrent Carlyle. Un journaliste, Dan Briody, écrit un livre sur la face cachée du groupe, The Iron Triangle, et s’intéresse notamment aux relations étroites entre le clan Bush et les dirigeants saoudiens. Certains s’interrogent sur l’influence de George Bush père sur la politique étrangère américaine. En janvier 2001, lorsque George Bush fils rompt des négociations avec la Corée du Nord sur les missiles, les Coréens du Sud, consternés, interviennent auprès de son père. Carlyle a des intérêts importants à Séoul. En juin 2001, Washington reprend les discussions avec Pyongyang. Autre exemple, en juillet 2001, selon le New York Times, George Bush père téléphone au prince saoudien Abdallah mécontent des prises de position du président sur le conflit israélo-palestinien. George Bush père assure alors au prince que son fils “fait de bonnes choses” et que “son coeur est du bon côté”. Larry Klayman, directeur de Judicial Watch, une organisation résolument conservatrice, demande au ” père du président de démissionner de Carlyle. Le groupe a des conflits d’intérêts qui peuvent créer des problèmes à la politique étrangère américaine”. Finalement en octobre 2003, George Bush père quitte Carlyle. Officiellement, car il approche les 80 ans. Carlyle a beau mettre fin à toute relation avec la famille Ben Laden en octobre 2001, le mal est fait. Le groupe devient avec Halliburton la cible des opposants à l’administration Bush. ” Carlyle a remplacé la Commission trilatérale dans les théories du complot”, reconnaissait David Rubenstein, en 2003, dans une interview au Washington Post. Pour la première fois, le groupe nomme un responsable de la communication et change de patron. Frank Carlucci devient président honoraire et Lou Gerstner, dirigeant respecté qui a sauvé IBM, prend officiellement les rênes. L’opération semble surtout cosmétique. M. Gerstner ne passe pas beaucoup de temps à son bureau. Mais Carlyle veut devenir respectable. Le groupe crée un site Internet. Il ouvre certains fonds à des investisseurs apportant “seulement” 250 000 dollars (210 000 euros). Il aurait réduit sa participation dans United Defense Industries, et affirme que la défense et l’aérien ne représentent plus que 15 % de ses investissements. Mais Carlyle fait toujours un usage intensif des paradis fiscaux et il est difficile de connaître son périmètre et le nom des sociétés qu’il contrôle. Carlyle multiplie aussi les efforts en Europe. En septembre 2000, il prend le contrôle du groupe suédois d’armement Bofors via United Defense. Il tente ensuite, sans succès, de mettre la main sur Thales Information Systems et, début 2003, sur les parts de France Télécom dans Eutelsat, qui joue un rôle important dans le système européen de positionnement par satellite Galileo - concurrent du GPS américain. De 1999 à 2002, il gère une participation dans Le Figaro. En Italie, il fait une percée en reprenant la filiale aéronautique de Fiat, Fiat Avio. Cette société fournit Arianespace et permet à Carlyle d’entrer au Conseil de la fusée européenne. Autre coup, en décembre 2002 Carlyle achète un tiers de Qinetic, la filiale privée du Centre de recherche et développement militaire britannique. Qinetic occupe une position unique de conseil du gouvernement britannique. “Anticiper sur les technologies du futur et les entreprises qui les développeront est notre premier rôle d’investisseur. Les fonds de pension nous apportent leur argent pour cela. On ne peut tout de même pas nous reprocher de chercher à prendre des positions stratégiques”, souligne M. Ullmann.

  

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