14 juin 2015
ISRAEL (1)
11-Septembre : Inside Job ou Mossad Job ?
Le rôle d’Israël dans les événements du 11 Septembre 2001 — qui déterminent le 21ème siècle — fait l’objet d’âpres controverses, ou plutôt d’un véritable tabou au sein même du « Mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre » (9/11 Truth Movement) provoquant la mise à l’écart de l’homme par qui le scandale arriva, Thierry Meyssan. La plupart des associations militantes, mobilisées derrière le slogan « 9/11 was an Inside Job » (Le 11-Septembre était une opération intérieure), restent discrètes sur les pièces à conviction mettant en cause les services secrets de l’État hébreux. Laurent Guyénot fait le point sur quelques données aussi incontestables que méconnues, et analyse les mécanismes du déni.
Tandis que le rôle d’Israël dans la déstabilisation du monde post-11-Septembre devient de plus en plus évident, l’idée qu’une factions de likoudniks, aidés par leurs alliés infiltrés dans l’appareil d’Etat US, sont responsables de l’opération sous fausse bannière du 11-Septembre devient plus difficile à refouler, et quelques personnalités ont le courage de l’énoncer publiquement. Francesco Cossiga, président d’Italie entre 1985 et 1992, déclara le 30 novembre 2007 au quotidien Corriere della Sera : « On nous fait croire que Ben Laden aurait avoué l’attaque du 11 septembre 2001 sur les deux tours à New York — alors qu’en fait les services secrets américains et européens savent parfaitement que cette attaque désastreuse fut planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad, dans le but d’accuser les pays arabes de terrorisme et de pouvoir ainsi attaquer l’Irak et l’Afghanistan [1]. » Alan Sabrosky, ancien professeur du U.S. Army War College et à la U.S. Military Academy, n’hésite pas à clamer sa conviction que le 11-Septembre est « une opération classiquement orchestrée par le Mossad » réalisée avec des complicités au sein du gouvernement états-unien, et sa voix est relayée avec force par quelques sites de vétérans de l’armée U.S., dégoutés par les guerres ignobles qu’on leur a fait faire au nom du mensonge du 11-Septembre ou de celui des armes de destruction massives de Saddam Hussein [2].
Les arguments en faveur de l’hypothèse du Mossad ne tiennent pas seulement à la réputation du service secret le plus puissant du monde, qu’un rapport de la U.S. Army School for Advanced Military Studies (cité par le Washington Times la veille du 11-Septembre), décrit comme : « Sournois. impitoyabe et rusé. Capable de commettre une attaque sur les forces américaines et de les déguiser en un acte commis par les Palestiniens/Arabes [3]. » L’implication du Mossad, associé à d’autres unités d’élite israéliennes, est rendue évidente par un certain nombre de faits peu connus.
- Le livre électronique de Hicham Hamza, Israël et le 11-Septembre : le Grand Tabou (2013) réunit l’ensemble du dossier à charge d’Israël, avec une rigueur irréprochable et l’ensemble des sources aisément accessibles.
Les Israéliens dansants
Sait-on par exemple que les seules personnes arrêtées le jour même et en relation avec les attaques terroristes du 11-Septembre sont des Israéliens [4] ? L’information a été rapportée dès le lendemain par le journaliste Paulo Lima dans The Record, quotidien du comté de Bergen dans le New Jersey, d’après des sources policières. Immédiatement après le premier impact sur la tour Nord, trois individus furent aperçus par divers témoins sur le toit d’un van stationné à Liberty State Park dans Jersey City, « en train d’exulter » (celebrating), de « sauter de joie » (jumping up and down), et de se photographier avec les tours jumelles en arrière-plan. Ils déplacèrent ensuite leur van sur un autre parking de Jersey City, où d’autres témoins les virent se livrer aux mêmes réjouissances ostentatoires. La police émit aussitôt une alerte BOLO (be-on-the-look-out) : « Véhicule possiblement lié à l’attaque terroriste de New York. Van blanc Chevrolet 2000 avec une plaque du New Jersey et un signe ‘Urban Moving Systems’ à l’arrière, a été vu au Liberty State Park, Jersey City, NJ, au moment du premier impact d’avion de ligne dans le World Trade Center. Trois individus avec le van ont été vus se réjouissant après l’impact initial et l’explosion qui s’en suivit [5]. » Le van fut intercepté par la police quelques heures plus tard, avec à son bord cinq jeunes Israéliens : Sivan et Paul Kurzberg, Yaron Shmuel, Oded Ellner et Omer Marmari. Contraint physiquement de sortir du véhicule et plaqué à terre, le conducteur, Sivan Kurzberg, lança cette phrase étrange : « On est Israéliens. On n’est pas votre problème. Vos problèmes sont nos problèmes. Les Palestiniens sont le problème [6]. » Les sources policières qui informèrent Paulo Lima étaient convaincues de l’implication de ces Israéliens dans les attentats de la matinée : « Il y avait des cartes de la ville dans le van avec certains points surlignés. On aurait dit qu’ils étaient au courant, […] qu’ils savaient ce qui allait se passer lorsqu’ils étaient à Liberty State Park [7]. » On trouva également sur eux des passeports de nationalités diverses, près de 6 000 dollars en espèces et des billets d’avion open pour l’étranger. Les frères Kurzberg furent formellement identifiés comme agents du Mossad. Les cinq Israéliens travaillaient officiellement pour une compagnie de déménagement nomméeUrban Moving Systems, dont les employés étaient majoritairement israéliens. « J’étais en pleurs. Ces types blaguaient et ça me perturbait [8], » révéla au Record un des rares employés non-israéliens. Le 14 septembre, après avoirreçu la visite de la police, le propriétaire de l’entreprise, Dominik Otto Suter, quittait le pays pour Tel-Aviv.
L’information divulguée par le Record, confirmée par le rapport de police, a été reprise par des sites d’investigation comme le Wayne Madsen Report (14 septembre 2005) etCounterpunch (7 février 2007). Elle fut aussi rapportée dansquelques grands médias comme mais d’une façon qui minimisait sa portée : le New York Times (21 novembre 2001) omettait de préciser la nationalité des individus, tout comme Fox News et l’agence Associated Press. Le Washington Post (23 novembre 2001) disait bien qu’ils étaient Israéliens, mais passa sous silence leur apparente préconnaissance de l’événement. En revanche, The Forward (15 mars 2002), magazine de la communauté juive new-yorkaise, révéla, d’après une source anonyme du renseignement états-unien, qu’Urban Moving Systems était une antenne sous couverture du Mossad (ce qui ne l’empécha pas de bénéficier d’un prêt fédéral de 498 750 dollars, comme le révèlent les archives du fisc [9].
Le FBI diligenta sur cette affaire une enquête consignée dans un rapport de 579 pages, partiellement déclassifié en 2005 (il le sera totalement en 2035). Le journaliste indépendant Hicham Hamza a analysé ce rapport en détail dans son livre : Israël et le le 11-Septembre : le Grand Tabou. Il en ressort plusieurs éléments accablants. Tout d’abord, les photos prises par ces jeunes Israéliens les montrent effectivement dans des attitudes de célébration devant la tour Nord en feu : « Ils souriaient, ils s’embrassaient et ils se tappaient mutuellement dans les mains. » Pour expliquer cette attitude, les intéressés dirent qu’ils s’étaient simplement réjoui « que les États-Unis auraient maintenant à prendre des mesures pour arrêter le terrorisme dans le monde » (alors que, à ce point, une majorité de gens pensait à un accident plutôt qu’à un acte terroriste). Plus grâve, un témoin au moins les a vus positionnés dès 8 heures, soit avant qu’un avion ne percute la première tour, tandis que d’autres certifient qu’ils prenaient déjà des photos cinq minutes après, ce que confirment leurs photos. Un ancien employé confirma au FBI l’ambiance fanatiquement pro-israélienne et anti-américaine qui régnait dans l’entreprise, prêtant même à son directeur Dominik Otto Suter ces paroles : « Donnez-nous vingt ans et nous nous emparerons de vos médias et détruirons votre pays. » Les cinq Israéliens arrêtés étaient en contact avec une autre entreprise de déménagement dénommée Classic International Movers, dont quatre employés avaient été interrogés indépendamment pour leur liens avec les dix-neufs pirates de l’air présumés. L’un d’eux avait téléphoné à « un individu en Amérique du Sud possédant des liens authentiques avec les militants islamiques au Moyen Orient. » Enfin, « un chien renifleur donna un résultat positif pour la présence de traces d’explosifs dans le véhicule [10]. »
Comme le remarque Hamza, la conclusion du rapport laisse sonjeur : le FBI informe la police locale, qui détient les suspects, « que le FBI n’a plus aucun intérêt à enquêter sur les détenus et qu’il convient d’entamer les procédures d’immigration appropriées [11]. » Une lettre du Service fédéral de l’immigration et de la naturalisation prouve qu’en fait la direction du FBI avait recommandé la clôture de l’enquête dès le 24 septembre 2001. Les cinq Israéliens passèrent cependant 71 jours dans une prison de Brooklyn, au cours desquels ils refusèrent puis échouèrent plusieurs fois au détecteur de mensonge. Puis ils furent rapatriés sous la simple charge de visa violations.
Omer Marmari, Oded Ellner et Yaron Shmuel, trois des cinq « Israéliens dansants », sont invités à témoigner dans une émission israélienne dès leur retour en novembre 2001. Niant être membres du Mossad, l’un d’eux déclara candidement : « Notre but était d’enregistrer l’événement. »
On doit, pour finir, évoquer un détail essentiel de cette affaire, qui apporte peut-être une explication supplémentaire au comportement exhubérant de ces jeunes Isréaliens : certains témoins précisent, dans leurs appels à la police, que les individus se réjouissant sur le toit de leur van semblaient « arabes » ou « Palestiniens ». En particulier, peu après l’effondrement des tours, un appel anonyme à la police de Jersey City, rapporté le jour même par NBC News, signale « un van blanc, avec deux ou trois types à l’intérieur, ils ressemblent à des Palestiniens et ils tournent autour d’un bâtiment » ; l’un d’eux « mélange des choses et il a cet uniforme ‘sheikh’. […] Il est habillé comme un arabe [12]. » Tout porte à croire que ces individus étaient précisément les cinq Israéliens arrêtés plus tard. Deux hypothèses viennent à l’esprit : ou bien nos faux déménageurs se sont effectivement livrés à une mise en scène pour apparaître comme arabes/Palestiniens, ou bien le ou les témoins les ayant décrits comme tels étaient des complices. Dans un cas comme dans l’autre, il ressort que leur but était d’initier la rumeur médiatique qu’on avait repéré des musulmans qui non seulement se réjouissaient des attentats, mais en avaient préconnaissance. L’information fut effectivement diffusée sur certaines radios dès midi, et sur NBC News dans l’après-midi. Je penche personnellement pour la seconde hypothèse (les informateurs complices plutôt que de vrais déguisement arabes), car le rapport de police ne signale pas de vêtement exotique trouvé dans le van, mais surtout parce que l’informateur cité plus haut, qui insiste sur ce détail vestimentaire, semble avoir voulu induire en erreur la police sur la localisation exacte du van ; ce dernier ne fut intercepté que parce que la police, au lieu de se contenter de cette localisation, barra tous les ponts et souterrains entre New Jersey et New York. Mais l’important est ceci : Si les Israéliens n’avaient pas été interpelés en fin d’après-midi, l’histoire aurait probablement fait la une des journaux sous le titre : The Dancing Arabs. Au lieu de ça, elle fut totalement étouffée et ne circula que confidentiellement, sous le titre the dancing Israelis,ou the highfivers.
- Ehud Barak, ancien chef du Renseignement militaire israélien (Sayeret Matkal), était premier ministre de juillet 1999 à mars 2001. Remplacé par Ariel Sharon, il s’installe aux États-Unis comme conseiller pour Electronic Data Systems et pour SCP Partners, une compagnie écran du Mossad spécialisée dansles questions de sécurité qui, avec ses partenaires Metallurg Holdings et Advanced Metallurgical, avait la capacité de produire de la nano-thermite. SCP Partners disposait d’un bureau à moins de dix kilomètres d’Urban Moving Systems. Une heure après la désintégration des tours, Ehud Barak est sur le plateau de BBC World pour désigner Ben Laden comme principal suspect(Bollyn, Solving 9-11, p. 278-280).
200 espions experts en explosifs
Peu de gens, même parmi les 9/11 Truthers, connaissent cette histoire d’ « Israéliens dansants » (on attend toujours, par exemple, que l’association Reopen 9/11 en parle sur son site francophone, pourtant très pointus sur tous les autres aspects du dossier). Peu de gens également savent qu’à la date des attentats, les polices fédérales US étaient occupées à démanteler le plus vaste réseau d’espionnage israélien jamais identifié sur le sol états-unien. En mars 2001, le National CounterIntelligence Center (NCIC) avait posté ce message sur son site web : « Durant les dernières six semaines, des employés des bureaux fédéraux situés dans tout les États-Unis ont signalé des activitées suspectes liées à des individus se présentant comme des étudiants étrangers vendant ou livrant des œuvres d’art. » Le NCIC précise que ces individus, de nationalité israélienne, « se sont également rendus aux domiciles privés d’officiers fédéraux sous le prétexte de vendre des objets artistiques [13]. »
Puis dans l’été, la Drug Enforcement Agency (DEA), aprèsavoir été visée par un grand nombre d’incidents de ce type, compila un rapport qui sera révélé au public par le Washington Post le 23 novembre 2001, puis dans Le Monde le 14 mars 2002, avant d’être rendu entièrement accessible par le magazine français Intelligence Online. Ce rapport liste 140 Israéliens appréhendés depuis mars 2001. Âgés entre 20 et 30 ans et organisés en équipes de 4 à 8 membres, ils ont visité au moins « 36 sites sensibles du Département de la Défense ».Nombres d’entre eux furent identifiés comme membres du Mossad ou du Aman (renseignement militaire israélien), et six étaient en possession de téléphones payés par un ancien vice-consul israélien. Soixante arrestations eurent encore lieu après le 11-Septembre, ce qui porte à 200 le nombre d’espions Israéliens arrêtés. Tous furent finalement relâchés.
- Michael Chertoff, citoyen israélien, fils d’un rabbin orthodoxe et d’une pionnière du Mossad, dirigeait la Criminal Division du Department of Justice en 2001, et fut à ce titre responsable de la rétention et destruction de toutes les preuves concernant le 11-Septembre — des caméras du Pentagone aux poutres du World Trade Center. C’est à lui également que les « Israéliens dansants » doivent leur discret rapatriement. En 2003, il fut nommé à la tête du nouveau Department of Homeland Security, chargé du contre-terrorisme sur le territoire états-unien, ce qui lui permet de contrôler la dissidence tout en continuant à restreindre l’accès au dossier du 11-Septembre à travers la loi Sensitive Security Information.
Le rapport de la DEA conclut que « la nature des comportements des individus […] nous conduit à penser que les incidents constituent peut-être une activité de collecte de renseignement [14]. » Mais la nature des renseignements collectés reste inconnue. Il se pourrait qu’en fait l’espionnage n’ait été qu’une couverture secondaire — un sous-vêtement — de ces Israeli art students, si l’on considère les formations militaires reçues par certains commedemolition/explosive ordnance expert, combat engineer, bomb disposal expert, electronic signal intercept operator, selon la DEA. L’un des agents arrêtés, Peer Segalovitz, « a reconnu qu’il était capable de faire exploser des bâtiments, des ponts, des voitures, et tout ce qu’il voulait [15]. » Pourquoi ces agents israéliens auraient-ils fait diversion sur leur véritable mission par une campagne d’espionnage aussi ostentatoire qu’improductive, curieusement concentrée sur laDrug Enforcement Agency ? La réponse à cette question est suggérée par un lien troublant, de nature géographique, entre ce réseau et les attentats du 11-Septembre.
Selon le rapport de la DEA, « La localité d’Hollywood en Floride semble être le point focal de ces individus [16]. » En effet, plus d’une trentaine des faux étudiants-espions israéliens arrêtés peu avant le 11 septembre vivaient dans ou près de la ville d’Hollywood en Floride, où s’étaient précisément regroupés 15 des 19 prétendus pirates de l’air islamistes (9 à Hollywood même, 6 à proximité). L’un d’eux, Hanan Serfaty, par qui transita au moins 100 000 dollars en trois mois, avait loué deux appartements à Hollywood à proximité immédiate de l’appartement et de la boite postale loués par Mohamed Atta, qu’on nous présentera comme le chef de la bande des pirates de l’air. Quels étaient les rapports entre les « espions israéliens » et les « terroristes islamistes » ? Selon l’explication embarrassée des médias alignés, les premiers ne faisaient que surveiller les seconds. Écoutons par exemple David Pujadas introduisant l’article d’Intelligence Online au journal télévisé du 5 mars 2002 sur France 2 : « Toujours à propos d’Israël, mais concernant l’Afghanistan maintenant, cette affaire d’espionnage, qui sème le trouble : un réseau israélien a été démantelé aux États-Unis, notamment en Floride : l’une de ses missions aurait été de pister les hommes d’Al-Qaïda (c’était avant le 11 septembre). Certaines sources vont même plus loin : elles indiquent que le Mossad n’aurait pas livré toutes les informations en sa possession. » Cette explication euphémique est un bel exemple dedamage control. Israël en ressort à peine entachée, puisqu’on ne peut raisonnablement blâmer un service d’espionnage de ne pas partager ses informations. Tout au plus Israël pourra-t-il être accusé d’avoir « laissé faire », ce qui lui garantit l’impunité. Ainsi s’explique, à mon avis, la sous-couverture d’espions des faux étudiants israéliens, en réalité experts en attentats sous fausse bannière. En fait, leur couverture volontairement grossière d’étudiants était faite pour attirer l’attention sur leur couverture secondaire, celle d’espions, qui servirait d’alibi à leur proximité avec les pirates supposés.
Pourquoi Pujadas (propulsé au journal télévisé de France 2 tout juste une semaine avant le 11-Septembre) évoque-t-il l’Afghanistan, qui n’a aucun rapport avec l’information qu’il introduit ? Le lapsus ne peut être que volontaire et illustre « le grand tabou » dont parle Hicham Hamza : ne jamais mentionner le 11-Septembre et Israël dans la même phrase.
La vérité est probablement qu’ils n’espionnaient pas ces pirates, mais qu’ils les manipulaient, les finançaient, et probablement les ont éliminés peu avant le 11-Septembre. Un article du New York Times du 18 février 2009 a établi qu’Ali al-Jarrah, cousin d’un pirate présumé du vol UA93, Ziad al-Jarrah, avait été pendant 25 ans espion pour le Mossad, infiltré dans la résistance palestinienne et dans le Hezbollah depuis 1983. Il est actuellement en prison au Liban. Rappelons également que le Mohamed Atta de Floride était un faux. Le vrai Mohamed Atta, qui téléphona à son père au lendemain des attentats (comme ce dernier le confirma au magazine allemand Bild am Sonntag fin 2002), est décrit par sa famille comme réservé, pieux, évitant les femmes et ayant la phobie des avions. Il s’était fait voler son passeport en 1999 alors qu’il étudiait l’architecture à Hambourg. Le faux Mohamed Atta de Floride vivait avec une strip-teaseuse, mangeait du porc, aimait les voitures rapides, les casinos et la cocaïne. Comme l’a rapporté le South Florida Sun-Sentinel dès le 16 septembre (sous le titre « Suspects’ Actions Don’t Add Up » (« Les comportements des suspects ne collent pas »), suivi par de nombreux quotidiens nationaux, ce Atta s’est saoulé, drogué et a payé les services de plusieurs prostituées dans les semaines et les jours précédant le 11-Septembre, et quatre autres des terroristes suicidaires ont eu des comportements similaires peu compatibles avec des islamistes se préparant à la mort [17].
Le réseau new-yorkais
Selon l’agent renégat Victor Ostrovsky (By Way of Deception, 1990), le Mossad tire son efficacité de son réseau international desayanim (« collaborateurs »), terme hébreu désignant des juifs vivant hors d’Israël et prêts à accomplir sur demande des actions illégales, sans nécessairement connaître leur finalité. Ils se comptent par milliers aux États-Unis, et particulièrement à New York, où se concentre la communauté juive US. Larry Silverstein, titulaire du bail des tours jumelles depuis avril 2001, apparaît comme l’archétype du sayan du 11-Septembre. Il est membre dirigeant de la United Jewish Appeal Federation of Jewish Philanthropies of New York, le plus grand leveur de fonds américains pour Israël (après l’État US, qui verse chaque année trois milliards d’aide à Israël). Silverstein était aussi, au moment des attentats, l’ami intime d’Ariel Sharon et de Benjamin Netanyahou, avec qui il est en conversation téléphonique chaque dimanche, selon le journal israélien Haaretz. Le partenaire de Silverstein dans le bail du WTC était, pour le centre commercial du sous-sol, Frank Lowy, un autre « philanthrope » sioniste proche d’Ehud Barak et Ehud Olmert, ancien membre de la Haganah. Le chef de la New York Port Authority, qui privatisa le WTC en concédant le bail à Silverstein et Lowy, était Lewis Eisenberg, également membre de la United Jewish Appeal Federation et ancien vice-président de l’AIPAC. Silverstein, Lowy et Eisenberg furent sans aucun doute trois hommes clés dans la planification des attentats contre les tours jumelles.
Lucky Larry ! Chaque matin, sans exception, Larry Silverstein prenait son petit-déjeuner au Windows on the World au sommet de la tour Nord du WTC. Jusqu’au matin du 11 septembre, où il avait rendez-vous chez le dermatologue.
D’autres membres du réseau new-yorkais peuvent être identifiés. Selon le rapport du NIST, le Boeing qui s’encastra dans la tour Nord « a fait une entaille de plus de la moitié de la largeur du bâtiment et qui s’étendait du 93ème au 99ème étage. Tous ces étages étaient occupés par Marsh & McLennan, une compagnie d’assurance internationale qui occupait également le 100ème étage [18]. » Le PDG de Marsh & McLennan est alors Jeffrey Greenberg, membre d’une richissime famille juive qui contribua massivement à la campagne de George W. Bush. Les Greenberg étaient aussi les assureurs des tours jumelles et, le 24 juillet 2001, ils avaient pris la précaution de réassurer leur contrat auprès de concurrents, qui durent indemniser Silverstein et Lowy. Et comme le monde des néoconservateurs est petit, en novembre 2000, le conseil d’administration de Marsh & McLennan accueille Paul Bremer, président de la National Commission on Terrorism au moment des attentats, et nommé en 2003 à la la tête de la Coalition Provisional Authority (CPA) en 2003
Paul Bremer intervient le 11 septembre 2001 sur le plateau de NBC, calme et détendu, tandis que 400 employés de sa compagnie sont portés disparus (au final, 295 employés et plus de 60 collaborateurs du groupe seront officiellement dénombrés parmi les victimes).
Des complicités devront aussi être cherchées dans les aéroports et les compagnies aériennes impliquées dans les attentats. Les deux aéroports d’où sont partis les vols AA11, UA175 et UA93 (l’aéroport Logan à Boston et l’aéroport Newark Liberty près de New York) sous-traitaient leur sécurité à la compagnie International Consultants on Targeted Security(ICTS), une firme à capital israélien présidée par Menahem Atzmon, un des trésoriers du Likoud. Une enquêteapprofondie permettrait certainement de remonter à d’autres complicités. Elle devrait par exemple s’intéresser à Zim Israel Navigational, un géant du transport maritime détenu à 48 % par l’État hébreu (connu pour servir occasionnellement de couverture aux services secrets israéliens), dont l’antenne états-unienne quitta ses bureaux du WTC avec ses 200 employés le 4 septembre 2001, une semaine avant les attentats — « comme par un acte de Dieu [19] », commente le PDG Shaul Cohen-Mintz.
It’s the oil, stupid !
Tous ces faits donnent un sens nouveau aux propos du membre de la Commission sur le 11-Septembre Bob Graham, qui citait dans son interview à PBS en décembre 2002, « des preuves que des gouvernements étrangers ont contribué à faciliter les activités d’au moins certains des terroristes aux États-Unis [20]. » Graham, bien sûr, voulait parler de l’Arabie saoudite. Pourquoi la famille Saoud aurait-elle aidé Oussama Ben Laden, après l’avoir déchu de sa nationalité saoudienne et avoir mis sa tête à prix pour ses attentats sur leur sol ? La réponse de Graham, formulée en juillet 2011, est : « la menace de soulèvements sociaux contre la monarchie, conduits par Al-Qaïda [21]. » Les Saoud auraient aidé Ben Laden sous sa menace de fomenter une révolution. Cette théorie ridicule (que Graham, à court d’argument, développa dans un roman) [22] n’a qu’un seul but : détourner les soupçons loin du seul « gouvernement étranger » dont les liens avec les terroristes présumés sont démontrés, Israël, vers son ennemi l’Arabie Saoudite. On sourit pareillement en lisant, dans le résumé du livre La Guerre d’après (2003) de l’anti-saoudien Laurent Murawiec, que « Le pouvoir royal [saoudien] a réussi au fil des ans à infiltrer des agents d’influence au plus haut niveau de l’administration américaine et à organiser un efficace lobby intellectuel qui contrôle désormais plusieurs universités du pays parmi les plus prestigieuses [23]. »
En affirmant en outre que la piste saoudienne a été étouffée en raison de l’amitié entre les Bush et les Saoud, Graham et ses amis néconservateurs se servent de George W. Bush comme fusible ou paratonnerre. La stratégie paye, puisque le 9/11 Truth movement, dans son ensemble, s’acharne contre lui et renacle à prononcer le nom d’Israël. On reconnaît l’art de Machiavel : faire accomplir le sale boulot par un autre, puis diriger la vindicte populaire contre lui.
- Comme je l’ai montré ailleurs, une dénomination plus appropriée pour les « néo-conservateurs » serait « machiavelo-sionistes ». Michael Ledeen en donne la preuve dans un article de la {Jewish World Review} du 7 juin 1999, où il défend la thèse que Machiavel était « secrètement juif » comme l’étaient à l’époque des milliers de familles nominalement converties au catholicisme sous menace d’expulsion (principalement les Marranes issus de la péninsule ibérique). « Écoutez sa philosophie politique et vous entendrez la musique juive » Par définition, le machiavélisme avance masqué par un discours vertueux (c.a.d. droit-de-l’hommiste), mais un nombre croissant de sionistes s’en réclament ouvertement : un autre exemple avec le livre d’Obadiah Shoher, "Samson Blinded : A Machiavellian Perspective on the Middle East Conflict".
Le jour où, sous la pression de l’opinion publique, les grands médias seront forcés d’abandonner la thèse officielle, le mouvement constestataire aura déjà été soigneusement infiltré, et le slogan 9/11 is an inside jobaura préparé les esprits à un déchaînement contre Bush, Cheney et quelques autres, tandis que les néonconservateurs resteront hors d’atteinte de toute Justice. Et si, par malheur, le jour du grand déballage, les médias sionisés ne parvenaient pas à maintenir Israël hors d’atteinte, l’État hébreu pourra toujours jouerla carte chomskienne :America made me do it.Noam Chomsky [24], qui campe à l’extrême gauche depuis que le trotskiste Irving Kristol virait à l’extrême droite pour former le mouvement néoconservateur, continue en effet d’asséner sans relâche la thèse éculée qu’Israël ne fait qu’exécuter la volonté des États-Unis, dont elle ne serait que le 51ème État et le gendarme au Proche-Orient.
Selon Chomsky et les figures médiatisées de la gauche radicale états-unienne comme Michael Moore, la déstabilisation du Proche-Orient serait la volonté de Washington avant d’être celle de Tel-Aviv. La guerre d’Irak ? Pour le pétrole évidemment : « Bien sûr que c’était les ressources énergétiques de l’Irak. La question ne se pose même pas [25]. » Signe des temps, voilà Chomsky rejoint dans ce refrain par Alan Greenspan, directeur de la Réserve Fédérale, qui dans son livre Le Temps des turbulences (2007) fait mine de concéder « ce que tout le monde sait : l’un des grands enjeux de la guerre d’Irak était le pétrole de la région ».
- « Je crois personnellement qu’il y a une relation profonde entre les événements du 11-Septembre et le pic pétrolier, mais ce n’est pas quelque-chose que je peux prouver, » énonce déjà Richard Heinberg, spécialiste de la déplétion énergétique, dans le documentaire {Oil, Smoke and Mirrors}{.} Autant dire que la thèse relève de la foi irrationnelle.
À cela il faut répondre, avec James Petras (Zionism, Militarism and the Decline of US Power), Stephen Sniegoski (The Transparent Cabal) ou Jonathan Cook (Israel and the Clash of Civilizations) : « Big Oilnon seulement n’a pas encouragé l’invasion, mais n’a même pas réussi à contrôler un seul puits de pétrole, malgré la présence de 160 000 soldats états-uniens, 127 000 mercenaires payés par le Pentagone et le Département d’ État, et un gouvernement fantoche corrompu [26] ». Non, le pétrole n’explique pas la guerre en Irak, pas plus qu’il n’explique la guerre en Afghanistan, pas plus qu’il n’explique l’agression de la Syrie par mercenaires interposés, pas plus qu’il n’explique la guerre programmée contre l’Iran. Et ce n’est certainement pas le lobby du pétrole qui a le pouvoir d’imposer le « grand tabou » sur toute la sphère médiatique (de Marianne auxÉchos, pour ce qui concerne la France).
La culture israélienne de la terreur sous fausse bannière
Un petit rappel s’impose ici, pour mieux situer le 11-Septembre dans l’histoire. Les Etats-uniens ont une longue pratique dans la fabrication des faux prétextes de guerre. On pourrait remonter à 1845 avec la guerre expansionniste contre le Mexique, déclenchée par des provocations américaines sur la zone contestée de la frontière avec le Texas (la rivière Nueces selon le Mexique, le Rio Grande selon les Texans) jusqu’à ce que des affrontements donnent au président James Polk (un Texan) l’occasion de déclarer que les Mexicains « ont versé le sang américain sur le sol américain. » Après la guerre, un député du nom d’Abraham Lincoln fit reconnaître par le Congrès le caractère mensonger de ce casus belli. Par la suite, toutes les guerres entreprises par les États-Unis l’ont été sous de faux prétextes : l’explosion du USS Maine pour la guerre contre l’Espagne à Cuba, le torpillage duLusitania pour l’entrée dans la Première Guerre mondiale, Pearl Harbor pour la seconde, et le Golfe du Tonkin pour l’embrasement du Nord-Vietnam. Cependant, seule l’explosion duUSS Maine, qui fit peu de morts, relève à proprement parler du stratagème de fausse bannière ; encore n’est-ce pas certain.
- Le paquebot transatlantique {RMS Lusitania} fut torpillé le 7 mai 1915 par les Allemands, alors qu’il naviguait dans une zone de guerre. C’est par le slogan {Remember the Lusitania} que le président Woodrow Wilson mobilisa ensuite l’opinion US en faveur de l’entrée en guerre. Le fait qu’une seule torpille ait suffi à couler le navire en quinze minutes suscite des questions. Dans son journal, le colonel Mendel Edward House, conseiller de Wilson, rapporte une conversation qu’il eut peu avant avec le ministre des Affaires étrangères britannique Edward Grey (qui deviendra en 1919 ambassadeur aux États-Unis). « Que feraient les Américains si les Allemands coulait un transatlantique avec des passagers américains à bord ? » demanda Grey. House lui répondit : « Je pense qu’un feu d’indignation balaierait les États-Unis et que cela suffirait à nous entraîner dans la guerre »
En revanche, c’est un fait qu’Israël a un passé chargé et une grande expertise des attaques et attentats sous faux drapeaux. Une histoire mondiale de ce stratagème devrait sans doute consacrer la moitié de ses pages à Israël, pourtant la plus jeune des nations modernes. Le pli a été pris avant même la création d’Israël, avec l’attentat du King David Hotel, quartier-général des autorités britanniques à Jérusalem. Le 22 juillet 1946 au matin, six terroristes de l’Irgun (la milice terroriste commandée par Menahem Begin, futur premier ministre) habillés en Arabes pénètrent dans le bâtiment et déposent autour du pillier central du bâtiment 225 kg d’explosif TNT cachés dans des bidons de lait, tandis que d’autres miliciens de l’Irgun répandent des explosifs le long des routes d’accès à l’hôtel pour empêcher l’arrivée des secours. Quand un officier britannique se montre suspicieux, une fusillade éclate dans l’hôtel et les membres du commando s’enfuient en allumant les explosifs. L’explosion tua 91 personnes, majoritairement des Britanniques, mais aussi 15 juifs.
Le stratagème fut répété en Égypte durant l’été 1954, avec l’Opération Susannah, dont le but était de compromettre le retrait des Britanniques du Canal de Suez exigé par le colonel Abdul Gamal Nasser avec le soutien du président Eisenhower. Cette opération fut également éventée et reste connu comme « l’Affaire Lavon », du nom du ministre israélien qui fut porté responsable. La plus célèbre et la plus calamiteuse des attaques israéliennes sous fausse bannière est celle du navire américain de la NSA USS Liberty, le 8 juin 1967 au large de l’Égypte, deux jours avant la fin de guerre des Six Jours ; on y voit déjà à l’œuvre une collaboration profonde entre Israël et les USA, l’administration Johnson ayant couvert et peut-être même incité ce crime contre ses propres ingénieurs et soldats. J’ai évoqué ces deux affaires dans un précédent article et n’y reviens pas [27].
En 1986, le Mossad a tenté de faire croire qu’une série d’ordres terroristes était transmise depuis la Libye à diverses ambassades libyennes dans le monde. Selon l’ancien agent Victor Ostrovsky (By Way of Deception, 1990), le Mossad utilisa un système spécial de communication nommé « Cheval de Troie » implanté par des commandos à l’intérieur du territoire ennemi. Le système agit comme station relais pour de fausses transmissions émises depuis un navire israélien et réémises instantanément sur une fréquence utilisée par l’État libyen. Ainsi que le Mossad l’avait espéré, la NSA capta et déchiffra les transmissions, qui furent interprétées comme une preuve que les Libyens soutenaient le terrorisme, ce que des rapports du Mossad venaient opportunément confirmer. Israël comptait sur la promesse de Reagan de représailles contre tout pays surpris en flagrant délit de soutien au terrorisme. Les États-uniens tombèrent dans le piège et entraînèrent avec eux les Britanniques et les Allemands : le 14 avril 1986, cent soixante avions US lâchèrent plus de soixante tonnes de bombes sur la Libye, ciblant principalement les aéroports et les bases militaires. Parmi les victimes civiles du coté libyen se trouvait la fille adoptive de Kadhafi, âgée de quatre ans. La frappe fit capoter un accord pour la libération des otages états-uniens détenus au Liban, ce qui permettait de conserver le Hezbollah comme ennemi numéro un aux yeux de l’Occident.
- Isser Harel, fondateur des services secrets israéliens, aurait prédit au chrétien sioniste Michael Evans en 1980 que le terrorisme islamique finirait par frapper les USA. « Dans la théologie islamique, le symbole phallique est très important. Votre plus gros symbole phallique est New York City et le plus haut bâtiment sera le symbole phallique qu’ils frapperont » En rapportant cet entretien dans une interview en 2004, Evans, auteur de "The American Prophecies, Terrorism and Mid-East Conflict Reveal a Nation’s Destiny", espère faire passer Harel pour un prophète. Les esprits rationnels y verront plutôt l’indice que le 11-Septembre mûrissait depuis 30 ans au sein de l’État profond israélien.
La capacité de manipulation du Mossad à cette époque peut encore être illustrée par deux histoires analysées par Thomas Gordon. Le 17 avril 1986, une jeune irlandaise du nom d’Ann-Marie Murphy embarque, à son insue, 1,5 kilos de Semtex dans un vol Londres-Tel-Aviv. Son fiancé, un Pakistanais du nom de Nezar Hindaoui, est arrêté alors qu’il tente de se réfugier à l’ambassade de Syrie. Tous deux ont en fait été manipulés par le Mossad, qui obtient ainsi le résultat souhaité : le gouvernement Thatcher rompt ses relations diplomatiques avec la Syrie. Mais la manipulation est éventée en haut lieu (comme Jacques Chirac le confiera au Washington Times) [28].
En janvier 1987, le Palestinien Ismaïl Sowan, une taupe du Mossad ayant infiltré l’OLP à Londres, se voit confier, par un inconnu soit-disant envoyé par son chef à l’OLP, deux valises bourrées d’armes et d’explosifs. Ismaïl en fait part à ses contacts au Mossad, qui lui font faire un aller-retour à Tel-Aviv, puis le dénonce à Scotland Yard comme suspect dans un projet d’attentat islamiste à Londres. Ismaïl est cueilli à son retour à l’aéroport d’Heathrow et inculpé sur la base des armes trouvées chez lui. Résultat : le Mossad rentre dans les faveurs du gouvernement Thatcher [29]. Après l’attentat du 26 février 1993 contre le WTC, le FBI arrêta le Palestinien Ahmed Ajaj et l’identifia comme un terroriste lié au Hamas, mais le journal israélien Kol Ha’ir démontra qu’Ajaj n’avait jamais été mêlé au Hamas ou à l’OLP. Selon le journaliste Robert Friedman, auteur d’un article dans The Village Voice le 3 août 1993, Ajaj n’était en réalité qu’un petit escroc arrêté en 1988 pour fabrication de faux dollars, condamné à deux ans et demi de prison et libéré au bout d’un an après un marché avec le Mossad, pour le compteduquel il devait infiltrer les groupes palestiniens. À sa libération, Ajaj subit un sheep-dipping classique en étant à nouveau brièvement emprisonné, cette fois pour avoir tenté de passer des armes en Cisjordanie pour le Fatah. On a donc, avec l’attentat de 1993 contre le WTC, un précédent et prototype du 11-Septembre, dans lequel sont démontrées la responsabilité d’Israël dans le terrorisme et sa volonté de faire accuser les Palestiniens.
- L’attentat contre l’ambassade d’Israël à Buenos Aires en 1992, qui fit 29 morts et 242 blessés, fut instantanément mis sur le compte de kamikazes du Hezbollah ayant utilisé un camion piégé. Mais le juge chargé de l’instruction révéla des pressions exercées par des délégués états-uniens et israéliens, ainsi que des manipulations de preuves et un faux témoignage destinés à orienter l’enquête vers l’hypothèse d’un camion piégé, alors que les faits indiquaient que l’explosion provenait de l’intérieur du bâtiment. Lorsque la Cour Suprême argentine confirma cette thèse, le porte-parole de l’ambassade d’Israël accusa les juges d’antisémitisme.
Il est intéressant de rappeler ce qu’écrivit Philip Zelikow avec John Deutch en décembre 1998 dans un article de Foreign Affairs intitulé « Catastrophic Terrorism », imaginant à propos de cet attentat de 1993 que la bombe fût nucléaire, et évoquant déjà un nouveau Pearl Harbor : « Un tel acte de ‘terrorisme catastrophique’ qui tuerait des milliers ou des dizaines de milliers et affecteraient les nécessités vitales de centaines de milliers, peut-être de millions, serait un point de non-retour dans l’histoire des États-Unis. Il pourrait provoquer des pertes humaines et matérielles sans précédent en temps de paix et réduirait à néant le sentiment de sécurité de l’Amérique à l’intérieur de ses frontières, d’une manière similaire au test atomique des Soviétique en 1949, ou peut-être pire. […]. Comme Pearl Harbor, cet événement diviserait notre histoire entre un avant et un après. Les États-Unis pourraient répondre par des mesures draconniennes, en réduisant les libertés individuelles, en autorisant une surveillance plus étroite des citoyens, l’arrestation des suspects et l’emploi de la force létale [30]. »
Le 12 janvier 2000, selon l’hebdomadaire indien The Week,des officiers des Renseignements indiens ont arrêté à l’aéroport de Calcutta onze prêcheurs islamistes qui s’apprêtaient à embarquer sur un vol à destination du Bengladesh. Ils étaient soupçonnés d’appartenir à Al-Qaïda et de vouloir détourner l’avion. Ils se présentèrent comme des Afghans ayant séjourné en Iran avant de passer deux mois en Inde pour prêcher l’islam. Mais on découvrit qu’ils possédaient tous des passeports israéliens. L’officier des services de Renseignement indien déclara à The Week que Tel Aviv « exerted considerable pressure » sur New Delhi pour les faire libérer.
Le 12 octobre 2000, dans les dernières semaines du mandat de Clinton, le destroyer USS Cole, en route vers le Golfe persique, reçoit l’ordre depuis son port d’attache de Norfolk de faire le plein dans le port d’Aden au Yémen, une procédure inhabituelle puisque ces destroyers sont généralement approvisionnés en mer par un pétrolier de la Navy. Le commandant du navire exprima sa surprise et son inquiétude : leUSS Cole avait fait récemment le plein à l’entrée du Canal de Suez, et le Yémen est une zone hostile. Le USS Cole était en manœuvre d’amarrage lorsqu’il fut abordé par un dinghy destiné apparemment à l’évacuation des poubelles, qui explosa contre sa coque, tuant 17 marins et en blessant 50. Les deux « kamikazes » pilotant l’embarcation périrent aussi dans cet « attentat-suicide ». L’attaque fut aussitôt attribuée à Al-Qaïda, bien que Ben Laden ne l’ait pas revendiquée et que les Talibans nièrent que leur « hôte » ait pu être impliqué. L’accusation donna aux États-Unis un prétexte pour forcer le président yéménite Ali Abdullah Saleh à coopérer à la lutte contre l’islamisme anti-impérialiste, en fermant pour commencer treize camps paramilitaires sur son territoire. En plus de cela, quelques semaines avant les élections, l’attentat fut l’October Surprise qui porta Bush au pouvoir.
John O’Neill fut chargé de l’enquête. Au FBI depuis vingt ans, spécialiste expérimenté du contre-terrorisme, il avait déjàenquêté en 1993 sur l’attentat à la bombe au WTC. Son équipe en vint à soupçonner Israël d’avoir tiré un missile depuis un sous-marin : le trou était en effet indicatif d’une charge perforante et inexplicable par la seule explosion du dinghy. Les soupçons étaient partagés par le président Saleh, qui évoqua dans une interview à Newsweek la possibilité que l’attaque soit due à Israël, « essayant de nuire aux relations USA-Yémen [31]. » O’Neill et son équipe subirent l’hostilité de l’ambassadrice US, Barbara Bodine. Ils se virent interdire de plonger pour inspecter les dégâts. Finalement, profitant de leur retour à New York pour Thanksgiving, Bodine leur refusa l’entrée au Yémen. Les membres de l’équipage du Cole se virent ordonner de ne parler de l’attentat qu’au Naval Criminal Investigative Service (NCIS). En juillet 2001, O’Neill démissionna du FBI. Il se vit peu après offrir un poste de responsable de la sécurité au WTC, qu’il devait assurer à partir du 11 septembre 2001. Son corps fut retrouvé dans les décombres du WTC, après qu’il ait disparu depuis deux jours. Quant à Barbara Bodine, elle intégrera en 2003 l’équipe corrompue de la Coalition Provisional Authority (CPA) de Baghdad.
- Où s’arrête la liste du faux terrorisme islamique de conception sioniste ? Le « New York Times » et d’autres journaux rapportèrent que le 19 septembre 2005, deux agents des forces spéciales britanniques (SAS) furent arrêtés après avoir forcé un barrage à bord d’une voiture remplie d’armes, munitions, explosifs et détonateurs, qu’ils conduisaient déguisés en Arabes. On soupçonne qu’ils planifiaient de commettre des attentats meurtriers dans le centre de Bassora durant un événement religieux, pour attiser les conflits entre shiites et sunnites. Le soir même, une unité du SAS libéra les deux agents en détruisant la prison à l’aide d’une dizaine de tanks assistés par des hélicoptères. Le capitaine Masters, chargé de l’enquête sur cette affaire embarrassante, mourut à Bassora le 15 octobre.
[2] “Wildcard. Ruthless and cunning. Has capability to target U.S. forces and make it look like a Palestinian/Arab act” (Rowan Scarborough, « U.S. troops would enforce peace Under Army study », The Washington Times, 10 septembre 2001, ).
[3] Outre le livre de Hicham Hamza et celui de Christopher Bollyn, on consultera sur ce dossier : Justin Raimondo, The Terror Enigma : 9/11 and the Israeli Connection, iUniversal, 2003 ainsi qu’à un article de Christopher Ketcham, « What Did Israel Know in Advance of the 9/11 Attacks ? » CounterPunch, 2007, vol. 14, p. 1-10, ).
[4] « Vehicle possibly related to New York terrorist attack. White, 2000 Chevrolet van with New Jersey registration with ’Urban Moving Systems’ sign on back seen at Liberty State Park, Jersey City, NJ, at the time of first impact of jetliner into World Trade Center. Three individuals with van were seen celebrating after initial impact and subsequent explosion » (Raimondo,The Terror Enigma, p. xi).
[5] « We are Israelis. We are not your problem. Your problems are our problems. The Palestinians are your problem » (Hicham Hamza, Le Grand Tabou, ch. 2).
[6] « There are maps of the city in the car with certain places highlighted. It looked like they’re hooked in with this. It looked like they knew what was going to happen when they were at Liberty State Park » (Raimondo, The Terror Enigma, p. xi).
[7] « I was in tears. These guys were joking and that bothered me »(Raimondo, The Terror Enigma, p. 19 ). Hamza, Le Grand Tabou, ch. 2.
[8] « They smiled, they hugged each other and they appeared to ‘high five’ one another » ; « the United States will take steps to stop terrorism in the world » ; « Give us twenty years and we’ll take over your media and destroy your country » ; « an individual in South America with authentic ties to Islamic militants in the middle east » ; « The vehicule was also searched by a trained bomb-sniffing dog which yielded a positive result for the presence of explosive traces » (Hamza, Le Grand Tabou, ch. 2).
[9] « that the FBI no longer has any investigative interests in the detainees and they should proceed with the appropriate immigration proceedings »(Hamza, Le Grand Tabou, ch. 2).
[10] “Our purpose was to document the event” (voir sur Youtube, « Dancing Israelis Our purpose was to document the event »).
[11] « Yes, we have a white van, 2 or 3 guys in there, they look like Palestinians and going around a building. […] I see the guy by Newark Airport mixing some junk and he has those sheikh uniforms. […] He’s dressed like an Arab » (Bollyn, Solving 9-11, p. 278-80).
[12] « Yes, we have a white van, 2 or 3 guys in there, they look like Palestinians and going around a building. […] I see the guy by Newark Airport mixing some junk and he has those sheikh uniforms. […] He’s dressed like an Arab » (Bollyn, Solving 9-11, p. 278-80).
[13] “In the past six weeks, employees in federal office buildings located throughout the United States have reported suspicious activities connected with individuals representing themselves as foreign students selling or delivering artwork.” “these individuals have also gone to the private residences of senior federal officials under the guise of selling art.” Le rapport comlet de la DEA est sur
[14] “The nature of the individuals’ conducts […] leads us to believe the incidents may well be an organized intelligence gathering activity”(Raimondo, The Terror Enigma, p. x).
[15] “acknowledged he could blow up buildings, bridges, cars, and anything else that he needed to” (Bollyn, Solving 9/11, p. 159).
[16] The Hollywood, Florida, area seems to be a central point for these individuals” (Raimondo, The Terror Enigma, p. 3).
[17] David Ray Griffin, 9/11 Contradictions, Arris Books, 2008, p. 142-156, citant le Daily Mail, le Boston Herald, le San Francisco Chronicle et le Wall Street Journal.
[18] « The aircraft cut a gash that was over half the width of the building and extended from the 93rd floor to the 99th floor. All but the lowest of these floors were occupied by Marsh & McLennan, a worldwide insurance company, which also occupied the 100th floor » (p. 20). Ces éléments ont été analysés par Lalo Vespera dans La Parenthèse enchantée, chapitre 10.
[19] « Like an act of God, we moved » (USA Today, 17 septembre 2001).
[20] “evidence that there were foreign governments involved in facilitating the activities of at least some of the terrorists in the United States”(Raimondo, The Terror Enigma, p. 64).
[21] « the threat of civil unrest against the monarchy, led by al Qaeda » »(« Saudi Arabia : Friend or Foe ? », The Daily Beast, 11 juillet 2011).
[22] The Keys to the Kingdom, Vanguard Press, 2011.
[24] « Le contrôle des dégâts : Noam Chomsky et le conflit israélo-israélien » et « Contrairement aux théories de Chomsky, les États-Unis n’ont aucun intérêt à soutenir Israël », par Jeffrey Blankfort, Traduction Marcel Charbonnier, Réseau Voltaire, 30 juillet et 21 août 2006,
[25] “Of course it was Iraq’s energy resources. It’s not even a question” (cité dans Stephen Sniegoski, The Transparent Cabal : The Neoconservative Agenda, War in the Middle East, and the National Interest of Israel, Enigma Edition, 2008, p. 333).
[26] « ‘Big Oil’ not only did not promote the invasion, but has failed to secure a single oil field, despite the presence of 160,000 US troops, 127,000 Pentagon/State Department paid mercenaries and a corrupt puppet régime » (James Petras, Zionism, Militarism and the Decline of US Power,Clarity Press, 2008, p. 18).
[28] Gordon Thomas, Histoire secrète du Mossad : de 1951 à nos jours, Nouveau Monde éditions, 2006, p. 384-5.
[29] Thomas, Histoire secrète du Mossad, p. 410-41.
[30] “An act of catastrophic terrorism that killed thousands or tens of thousands of people and/or disrupted the necessities of life for hundreds of thousands, or even millions, would be a watershed event in America’s history. It could involve loss of life and property unprecedented for peacetime and undermine Americans’ fundamental sense of security within their own borders in a manner akin to the 1949 Soviet atomic bomb test, or perhaps even worse. […] Like Pearl Harbor, the event would divide our past and future into a before and after. The United States might respond with draconian measures scaling back civil liberties, allowing wider surveillance of citizens, detention of suspects and use of deadly force” (Griffin, 9/11 Contradictions, p. 295-6).
MOSSAD/ Israël - Démystifier le 11 septembre: Israël et la stratégie de l'erreur | |
Nous sommes sur la voie de la victoire, ce n'est pas le temps de se relâcher mais de frapper encore plus fort! Le 10e anniversaire du 11 septembre arrive à grands pas, alors nous devrons garder l'oeil ouvert, car le mouvement sera inévitablement attaqué par les médias et infiltré par de la désinfo. Notez bien que le 11 septembre est arrivé à peine 4 jours après la conférence de Durban sur le racisme, dans laquelle Israël a complètement perdu la face, délégitimé, se trouvant être la cible de la vindicte populaire mondiale. Israël n'avait plus aucune crédibilité, aucune légitimité. Puis advint 4 jours plus tard le 11 septembre, et la tendance s'est renversée radicalement, subitement, en un tourne-main. La conférence de Durban III est prévue en date du 21 septembre 2011... Il sera d'autant plus important cette fois de garder l'oeil ouvert et d'être prêt à répondre à la désinfo si jamais il arrive quelque chose de grave. Préparons-nous, soyons vigilants! C'est notre responsabilité à tous et surtout à nous qui sommes déjà au courant et bien réveillés. Dernière édition par Druide le Ven 16 Sep - 6:36, édité 4 fois |
MOSSAD/ Israël - Israël a-t-il commis le 9/11 ? (Frère Nathanaël) |
Mardi 11 septembre 2012
L'hypothèse que la tragédie du 9/11 a été planifiée, organisée et exécutée par des intérêts sionistes sous couverts d'attentats islamistes (hypothèse de la false flag, attaque sous fausse bannière) a de plus en plus cours parmi des personnalités comme le docteur Alan Sabrosky, ancien professeur de l'US Army college.
Extrait : "Il est certain à 100% que le 9/11 était une opération du Mossad" (Services secrets israéliens).
Dans son article qui fait date, intitulé "Trahison, traîtrise et fraude - 9/11 et au-delà", le Dr Sabrosky conclut que seule l'agence de renseignement israélienne, le Mossad, avait le savoir-faire, les ressources, l'opportunité et la protection politique pour perpétrer le 9/11 dans les airs et sur terre.
En cherchant à qui profite le crime, Sabrosky signale que la motivation du Mossad s'ajuste parfaitement au programme des Juifs néocons, pour un évènement catalyseur afin de mobiliser le public américain dans leurs guerres sionistes, utilisant la puissance militaire américaine pour détuire les ennemis du Lobby juif à l'étranger - Et, ajoute Frère Nathanaël, pour créer un Etat policier ici-même aux Etats-Unis et réprimer toute critique des activités du Lobby juif et de son programme.
Sabrosky fait également remarquer que les medias grands publics détenus par les Juifs s'intéressent davantage à la garde-robe de Sarah Palin qu'à diffuser les opinions dissidentes et accablantes qui contestent la version officielle du 9/11, d'experts de nombreuses disciplines, qu'ils soient architectes, ingénieurs, scientifiques, universitaires, pilotes ou pompiers.
Dans un article ultérieur, "Les faces cachées d'Israël", Sabrosky donne les preuves évidentes de la cupabilité du Mossad et la complicité de ses agents judaïques en Amérique de la tragédie du 9/11. Conjuguées aux propres recherches de Frère Nathanaël, ces preuves sont :
(1) La démolition contrôlée de la Tour 7 qu'aucun avion n'a frappée quand Larry Siverstein, propriétaire juif du World Trade center ordonna la destruction de la Tour quelques heures plus tard avec les mots : "Démolissez-la", prouve que si l'un des building était préparé pour une démolition contrôlée, alors tous les trois l'étaient.
(2) La compagnie assurant la sécurité du World Trade center, Kroll Associates, était apparemment dirigée par des sionistes.
(3) Les propriétaires et opérateurs de Kroll Associates et leurs parents proches étaient absents, hormis un gentil embauché récemment, le 9/11. Et seulement trois des quatre mille israéliens travaillant dans les tours étaient présents ce jour-là et moururent dans les explosions. Et Larry Silverstein, propriétaire du Worl Trade center, avait comme par hasard un rendez-vous avec le médecin ce matin-là.
(4) Cinq israéliens ont été vus filmant les explosions sur un toit près du New Jersey, et visiblement faisant la fête ... en ayant préparé leur caméra avant le premier impact. Aussitôt après leur arrestation, et malgré les preuves, ils furent relâchés, et l'affaire abandonnée par celui qui était à l'époque Chef du département US de justice, Division criminelle, et bientôt Secrétaire du Département de la Sécurité Intérieure, le Juif talmundique à la double nationalité israélienne, Michael Chertoff.
(5) La Commission du 9/11 a été remplie de candidats pro-Israël, avec le directeur exécutif Philip Zelikow, s'assurant que rien ne détourne l'attention d'Oussama Ben Laden et de ses "19 complices arabes" supposés, pour établir les conclusions.
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MOSSAD/ Israël - L'Etat juif est responsable de 9/11 |
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L'Etat juif est responsable de 9/11Pour une analyse plus approfondie de l'attaque de l'Etat juif en 9-11, il est recommandé de lire le livre de Christopher Bollyn Résolution 9-11: la tromperie qui ont changé le monde . Un autre exposé similaires des sionistes qui ont perpétré cet acte ignoble peut être lu ici . Ou, si vous n'êtes pas un fan de longue lecture, regarder 9-11 la chaine manquante .
Déterminer exactement comment le 9/11 a été fait est le travail des enquêteurs de la criminalité ou des amateurs de complot qui vont sans cesse continuer à discuter et à débattre sur chaque minuscule détail de l'événement. On n'a pas besoin d' être ingénieur en structures pour vous dire que la chute libre au sol de deux bâtiments de 110 étages et un gratte-ciel de 47 étages en acier nécessite l'aide d'explosifs. Tout ce dont vous avez besoin ce sont deux yeux qui peuvent voir et un cerveau qui pense pour arriver à cette conclusion solide. C'est pourquoi, à mon avis, l'accent devrait être mis sur le «qui» au lieu du «comment». Il devrait être évident pour quiconque que découvrir l'auteur de cet acte ignoble du 9/11 est infiniment plus important que de découvrir comment ils l'ont fait.
Une prédiction annoncee est verifiee
Nous allons d'abord commencer avec une prédiction étrange et inhabituelle qui a été faite par une personne digne de tout soupçons. Cette prédiction, à l'unisson avec le statut de la personne par qui elle a été faite, est extrêmement indicative et prédisante de ceux qui ont planifié et exécuté 9 / 11.
Isser Harel - Maitre espion des services de renseignement de l'Etat Juif et directeur du Mossad et du Shin Bet de 1952 à 1963.
.Dans un éditorial intitulé "America the Target" (Amérique la cible ) publié dans le Jerusalem Post du 30 Septembre 2001, Evans - un juif khazar se faisant passer pour un chrétien- a demandé à Harel si le terrorisme arabe allait venir en Amérique. Harel a répondu à Evans que les terroristes arabes pourraient probablement viser le plus grand immeuble à New York City à cause du symbole phallique qu'il représenterait. Le fait que l'attaque du 9/11 était planifiée par le Mossad, l'admission d'Isser Harel est bien documentée et apparaît dans un livre écrit par Michael Evans.. . ( net de conviction, au 7e paragraphenet de conviction, au 7e paragraphe )
Les quatre étapes clées du crime:Première Etape Sécurisation du contrôle du Centre Complexe du World Trade par les juifs
La première étape dans la préparation des attentats du 11 septembre a été d'assurer le contrôle des tours du WTC en les plaçant entre des mains privées. Cela a été crucial pour le succès de l'opération du 11/9 parce que, sans un contrôle complet sur ce complexe, il n'y aurait pas d'opportunité ou la possibilité de mettre en place des charges explosives pour porter le coup de grâce et démolir les tours. Il fallait donc placer le contrôle des tours entre les mains d'un juif .
1/Le Juif Mr Larry Silverteim
L'homme qui s'est enrichi sur le sang de milliers de victimes .
Larry Silverstein - Larry est un homme d'affaires juif Américain de New York. Larry a obtenu un bail de 99 années sur le complexe des bâtiments du world Trade Center entier le 24 Juillet, 2001. Les tours étaient à peu près sans valeur, étant remplies d'amiante , mais Larry "senti un besoin impérieux de se les approprier". Larry prenait son petit déjeuner au "Windows on the World», restaurant situe au 107e étage de la Tour Nordchaque matin . Larry était absent de cette réunion de routine au matin le 11 Septembre . Les deux fils de Larry , qui travaillaient également dans le WTC, ont décidé de prendre une journée de congé ce jour là . Larry Silverstein a reçu plus de 4,5 milliards de dollars en assurance à la suite de la destruction de son complexe. Silverstein avait comme amis personnels le sioniste et maniaque des médias Rupert Murdoch, l'ancien prémier Ministere l'Etat juif et infâme criminel guerre sioniste Ariel Sharon, ainsi que le premier juif Benjamin Netanyahu. Silverstein était un très bon amis de Benjamin Netanyahu avec qui il s'entretenait au téléphone tous les dimanches
Dans un documentaire sur PBS Silverstein affirme ceci : Je me souviens avoir reçu un appel de la, euh, du commandant des pompiers qui m'a dit qu'ils n'étaient pas sûrs qu'ils seraient en mesure de contenir le feu. J'ai donc pensé que nous allions avoir des pertes terribles de vie, peut-être la plus intelligente chose à faire était, de tirer sur l'immeuble , et ils ont pris la décision de faire tomber le bulding 7 et nous avons regardé l'effondrement du bâtiment."Il s'est avéré que le département du feu n'a jamais appelé mer Silverteim ".
2) Le Juif Frank Lowy -
Lowy, un juif né en Tchécoslovaquie, était le propriétaire de Westfield America, un des plus grands conglomérats de centres commerciaux dans le monde. Lowy louait la salle commerciale appelée le Mall au World Trade Center, elle était composée d'environ 427.000 pieds carrés de surface de vente au détail.
Frank Lowy a toute une histoire intéressante. Il a été membre de la Brigade Golani et a combattu dans la guerre d'indépendance de l'état juif. Avant cela, il a été membre du Hagana, une organisation terroriste juive. Frank Lowy passe trois mois de l'année à son domicile dans l'état juif et a été décrit par le journal Sydney Morning Herald comme « l'homme qui s'est fait lui même, -un autodidacte- et qui a un vif intérêt pour l'Holocauste et la politique de l'état juif." Il a financé et lancé l' Institut de l'Etat juif pour la Stratégie nationale et la politique , qui opère dans le cadre de l'Université de Tel-Aviv dans l'état juif. Il est également proche ami avec de nombreux hauts responsables de l'Etat juif comme Ehud Olmert, Ariel Sharon, Bibi Netanyahu et Ehud Barak. Il a également été impliqué dans un scandale de la Banque de l'état juif avec M. Olmert. Frank Lowy a pris la précaution d'éviter le WTC le jour des attaques du 9/11. Plus d'informations sur Lowy peuvent être lues ici.
3) Le Juif Lewis Eisenberg
- Cette personnalité juive était à la tête de l'Autorité Portuaire de New York (Port Authority of NY and NJ) à qui appartenait le complexe des tours. Il a autorisé la location et le transfert à ses frères sionistes Larry et Lowy. Eisenberg a été un contribuable important à la campagne présidentielle de Bush-Cheney et est aussi un partenaire dans la banque juive Goldman-Sachs. Eisenberg a été à la fois un membre de la Commission de planification de l'United Jewish Appeal / United Jewish Federation, un groupe pro-état juif de pression sur le gouvernement des Etats-Unis.
4) Le Juif Ronald Lauder
Le milliardaire magnat d'Estée Lauder Cosmetics. Il est la personne clé qui fit pression pour la privatisation du WTC ( Source, 9 p.) - mais il a également obtenu que l'ex base des Forces Aériennes Américaines Stewart soit privatisée. Curieusement, les trajectoires des vols 175 et 11 convergeaient directement sur cet aéroport.
Lauder est actif dans les organisations suivantes : Conférence des présidents des principales organisations juives Américaines, le Fonds national juif, le Congrès juif mondial, American Jewish Joint Distribution Committee, Anti-Defamation League, Jewish Theological Seminary.
Ronald Lauder a été élu président du Congrès juif mondial, le 10 Juin 2007.
Lauder a fondé une école pour le Mossad à Herzliya, dans l'état Juif elle est appelée l' école Lauder de diplomatie et stratégie de gouvernement . C'est une personne importante impliqué dans la préparation de l'attaque de 9 / 11.
Deuxième étape; La sécurité du WTC entre les mains des sionistes
Le deuxième aspect crucial du contrôle qui devait être mis en place afin de réaliser 9 / 11 était de prendre le contrôle de la sécurité du complexe du WTC. De cette façon, des experts en démolition par explosif du Mossad - qui venaient alors de se trouver dans la ville juste avant les attaques du 9 / 11 - pourraient facilement avoir accès aux zones stratégiques des bâtiments en vue de la préparation pour leurs démolitions.
Le contrat de gestion de la sécurité au WTC a été confié à Kroll Associates après l'attentat de 1993 du World Trade Center. Kroll est autrement connu sous le nom "Wallstreets CIA".
Qui leur a donné le contrat?
L'Autorité portuaire de New York leur a payé 2,5 millions de dollars pour réorganiser la sécurité dans le complexe. Les propriétaires de Kroll étaient tous deux juifs sionistes appelés Jules & Jeremy Kroll.
Le directeur général de Kroll à l'époque, était.
Jérôme M. Hauer
Hauer était aussi celui qui était choisi pour diriger le bureau de la gestion des urgences (OEM) du maire New Yorkais Rudy Guiliani de 1996 à 2000. Il est la personne clé qui a poussé l'administration pour qu'elle place ce bureau dans le bâtiment 7 de Silverstein .
Jérôme Hauer est aussi un juif et un sioniste convaincu. La mère de Hauer, Rose Muscatine Hauer, est l'ancienne doyenne de l'école Beth des sages femmes de 'l'état Juif et la présidente honoraire du chapitre de Hadassah de NY, et des créateurs des Filles de Sion qui est une des organisations centrales sionistes impliquées dans la création et l'entretien de l'État juif.
Qui a tué John O'Neil ?( non Juif)
Ancien agent spécial du FBI, John O'Neil, qui a été chargé d'enquêter sur Ben Laden, par hasard ou par coïncidence a été embauché comme chef de la sécurité au WTC par Jérôme Hauer. Étonnamment, O'Neil a été tué son premier jour de travail le 9/11.
Les juifs ont tout simplement embauché cet homme pour prendre fonction le jour même ou ils ont décidé de démolir les tours. Ils voulaient donc se couvrir en plaçant la sécurité entre les mains d'un non juif .
Troisième étape ; Sécurité dans les aéroports aux mains des JUIFS
Le troisième aspect essentiel du contrôle qui devait être mis en place a été de prendre le contrôle de la sécurité de tous les aéroports d'où partiraient les détournements. Le contrôle des passagers devait être traité par leurs agents afin de permettre à certaines personnes à certains postes de laisser passer des éléments (à savoir des armes) à bord des avions. ( je crois plutôt que c'est pour confisquer tous les éléments videos de ces aéroports ou les trafiquer pour tromper le monde, ndlr).
Ce serait ICTS International / Huntsleigh Etats-Unis. Cette filiale était détenue par Harel Esdras etMenachem Atzmon . Tous deux sont Juifs . ICTS est dirigée par des «experts» dans la sécurité et du renseignement, les services de renseignements de l'état Juif. La plupart des employés étaient d'anciens agents du Shin Bet.
La société de sûreté aéroportuaire qui a dirigé la sécurité à l'aéroport de Boston, ainsi qu' à Newark, est elle si mauvaise pour permettre à 19 Arabes de monter à bord de 4 avions différents avec des coupe-coupes et même un fusil, ou y a t-il quelque chose d'autre?
Menachem Atzmon, ancien trésorier du Likoud dans les années 80, a été impliqué dans un scandale politique de l'Etat Juif impliquant Ehud Olmert et d'autres membres du Likoud. Il a été reconnu coupable de fraude et de falsification de documents, ainsi que de violation de la loi de financement des partis politiques.
Richard Reid
ICTS était également en charge de la sécurité de l'aéroport lors de l'histoire de la chaussure piégée. Richard Reid aurait pris l'avion avec une bombe dans sa chaussure. Si Reid est vraiment un terroriste et non pas seulement un innocent utilisé par le Mossad pour inciter plus de peur du terrorisme, alors pourquoi ICTS l'a laissé embarquer dans l'avion en sachant qu'il pourrait être dangereux?
Umar Farouk Abdulmutallab également dénommé «Bomber Underwear)est un citoyen musulman Nigérian
Il est le présumé terroriste qui aurait tenté de faire exploser des explosifs plastiques dissimulés dans ses sous-vêtements à bord du vol 253 de Northwest Airlines, reliant Amsterdam à Detroit, Michigan, le jour de Noël 2009. Abdulmutallab a embarqué à bord d'un avion aux Etats-Unis à destination de l'aéroport de Schiphol à Amsterdam. Kurt Haskell, un avocat de Michigan, était également à bord du même vol et il se rappelle avoir vu Abdulmutallab et un autre homme indien"bizarrement habillé"qui a aidé Abdulmutallab à embarquer à bord du vol . Haskell prétend que Abdulmutallab est monté à bord du vol sans un passeport. La sécurité à l'aéroport de Schiphol est également gérée par la société de l'Etat Juif appartenant à ICTS International .
Quatrième étape.Les éléments de preuve du lieu de Crime rapidement enlevés et détruits
D. Ratner d 'Alan Metals Management et le groupe SIMS étaient responsables de ramasser rapidement les débris d'acier du WTC puis de les expédier à des fonderies asiatiques. Alan Ratner est juif. Ratner a fusionné avec le groupe SIMS Neu société Hugo, et ensemble ils ont fait un joli bénéfice. Ratner a vendu plus de 50.000 tonnes d'acier qui étaient des preuves du lieu du crime à une société chinoise à 120 $ la tonne; Ratner l'avait obtenu pour 70 $ la tonne. Ce criminel n'a pas seulement détruit les éléments de preuve mais a en plus réalisé un bénéfice. Plus d'éléments sur la destruction criminelle des preuves du lieu du crime peuvent être trouvés ici .
Planification découverte mais placée sous silence
1/L'incident du cimetière Gomel Hessed
En Octobre 2000 , environ 11 mois avant le 9/11, un ancien officier retraité des Forces de Défense de l'état Juif (FDI) et vétéran de la guerre du Yom Kippour (1973), était entrain de collecter des boutures de lierre anglais au cimetière de Hessed situé à Gomel McClellan à 245 Mount Olive Avenue, qui est près de la ligne limite de la ville d'Elizabeth et Newark, dans l'Etat de New Jersey. Le Gomel Hessed Cemetery est un cimetière juif. L'homme a entendu un couple de personnes ayant ce qu'il croyait être une conversation parlée en langue de l'état Juif, qui a attiré son attention. Il se cacha derrière un pied de mur haut de 8 pieds et écoutait leur conversation en dessous. Peu de temps après une Lincoln Town Car s'approcha des deux personnes - sans doute des citoyens de l'état Juif - et l'homme sur la banquette arrière est sorti pour les saluer. Après que des banalités furent échangées, le troisième homme dit: "Les Américains vont apprendre ce que c'est que de vivre avec les terroristes après l'effondrement des tours jumelles en Septembre."
Un des hommes qui était appuyé contre le mur a exprimé ses préoccupations quant à savoir si l'élection présidentielle à venir (Novembre 2000) pourrait perturber leurs plans. L'homme qui est arrivé dans la voiture de la ville l'a rassuré au sujet de ses doutes en disant: "Ne vous inquiétez pas, nous avons des gens à des places élevées et peu importe qui est élu, ils prendront soin de tout."
L'observateur qui a entendu cette conversation, l'a à plusieurs reprises rapportée au FBI mais fut ignoré à chaque fois. Rien n'a été fait à ce sujet, et aucune enquête sur l'incident n'a jamais eu lieu.
2/Les Citoyens de l'état Juif sont Prévenus
L'entreprise Juive de messagerie instantanée, Odigo, a admis que deux de ses employés ont reçu des messages instantanés d'alerte d'une attaque 2 heures avant la frappe du premier avion. Cet avertissement n'a pas été transmis aux autorités qui auraient pu sauver des milliers de vies.
Odigo dispose d'une fonctionnalité de son service qui permet la transmission de messages grâce à une application de recherche fondée sur la nationalité, comme l'état Juif. Sachant que ces deux citoyens particuliers de l'état Juif ont été avertis, il est très probable qu'ils ont passé le message à d'autres citoyens de l'état Juif. Considérant que sur les 4000 juifs sensés travailler dans et autour du World Trade Center et le Pentagone ce jour là, seulement cinq sont morts. 5 / 4000 citoyens de l'état Juif. Mathématiquement (si les Israéliens n'ont pas été prévenus) environ 10% (400/4000) au moins seraient morts, et même le chiffre de 200-300/4000 ne serait pas vraiment une indication qu'ils ont été prévenus. Pourtant, seulement CINQcitoyens de l'état Juif sont morts et deux des cinq étaient semble-t-il à bord des soit-disants vols détournés; donc il n'y a eu que trois citoyens (juifs) de l'état Juif qui sont morts au WTC le 9/11. Un exploit. Nous parlons de «juifs de l'Etat juif » ici, pas «les juifs Américains>>. Beaucoup de Juifs Americains sont morts dans le WTC le 9/11.
Odigo a des bureaux à New York, et à Herzliya, Israël. Herzliya se trouve être le quartier général du Mossad. Faites le calcul.
Odigo a été ensuite rachetée par une autre société de l'état Juif appelée Converse. Le PDG de Converse Kobi Alexander a la double nationalité, Américain et Juif de l'état Juif ayant des liens avec le Mossad. Il a été inculpé sur plusieurs chefs de fraude.
3/Goldman Sachs averti
- Le 10 Sep 2001, la succursale de Tokyo de Goldman Sachs a prévenu ses employés Américains de s'éloigner des bâtiments Américains.
4/La compagnie de transport maritime de l'Etat juif
ZIM Integrated Shipping Services a été averti
ZIM, une société de Transport de l'Etat juif, a quitté son siège (10.000 pieds carrés) dans la tour Nord du World Trade Center une semaine avant 9/11, en rupture de son bail. 49% des capitaux de cette société est détenue par le gouvernement de l'Etat juif . Le bail courait jusqu'à la fin de 2001, et l'entreprise a perdu 50.000 dollars en rompant le contrat de location. Plus tard, l'agent du FBI Michael Dick, qui enquêtait sur l'espionnage de l'état juif, avant et après 9/11 et qui regardait de près ce mouvement suspect, a été démis de ses fonctions par le chef du Département de la justice pénale de la division, le juif, Michael Chertoff.
Selon une couverture non-officielle de la CIA, une source qui a travaillé en étroite collaboration avec Dick, les déménageurs étaient des citoyens de l'état juif qui auraient profité de ce mouvement de déménagement pour introduire des matières explosives dans les immeubles. Ce qui a servi à démolir les bâtiments.
Avec la société Zim de l'état juif qui a déménagé juste à temps, la société Clear Forest de l'état Juif est restée avec 19 employés dans le WTC le 9/11. Les cinq employés dans le bâtiment ont tous réussi à s'échapper.
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