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14 juin 2015

L’affaire Sibel Edmonds


L’affaire Sibel Edmonds

Posté par AtMOH le 08/10/2007
L’affaire Sibel Edmonds… Qui s’en soucie de ce côté de l’Atlantique? Et pourtant…  (un article de Marcel Dehaeseleer)
PréalableConnaissez-vous Sibel Edmonds ? Cette femme courageuse, véritable héroïne nationale aux Etats-Unis, s’oppose seule à l’administration Bush. Son combat a fait l’objet d’un documentaire intitulé Kill The Messenger - Une femme à abattre diffusé sur Canal+ France et BeTV (C+ belge). Vu l’audience« confidentielle » des médias (cryptés) précités il y a fort à parier que seuls les affranchis – des dysfonctionnements des enquêtes relatives au 9/11 – connaissent Sibel Edmonds. Une partie du quartier général du FBI a été à plusieurs reprises accusée d’avoir fait obstruction à certaines enquêtes, et ce, tant avant qu’après les attentats du 11 septembre 2001. Le cas qui nous intéresse concerne un événement post 11 septembre 2001, il s’agit de l’affaire Sibel Edmonds … 
Récemment j’ai été contacté par un membre du personnel de l’OTAN à Bruxelles, celui-ci m’a remis des documents officiels attestant que le couple Dickerson, impliqué dans l’affaire Edmonds, a échappé aux enquêtes du FBI grâce à la complicité des plus hautes instances officielles. Les Dickerson n’ont pas été inquiétés par la justice de leur pays, ils ont durant plus ou moins trois ans étés hébergés en Belgique, à Bruxelles, dans le cadre d’une mission à l’OTAN.La fuite orchestrée des Dickerson constitue une indication supplémentaire de la volonté délibérée de dissimulation de preuves de la part d’une des officiels en charge de faire toute la clarté sur les sinistres attentats du 11 septembre 2001.
L’affaire Sibel Edmonds dans les grandes lignes
Une partie du quartier général du FBI a été à plusieurs reprises accusée d’avoir fait obstruction à certaines enquêtes, et ce, tant avant qu’après les attentats du 11 septembre 2001. Le cas qui nous intéresse concerne un événement post 11 septembre 2001, il s’agit de l’affaireSibel Edmonds une jeune femme américaine d’origine turque.
Sibel Edmonds a été engagée par le FBI en tant que traductrice. Suite aux attentats du 11 septembre, il y avait un arriéré colossal de documents en langue arabe en souffrance de traduction. Sibel Edmonds, et d’autres, furent dès lors engagés pour cette tâche. Sibel avait comme collègue directe une certaine Melek Can Dickerson, engagée à la même période qu’elle.
Sibel Edmonds 1 Contre VO/Série 2Sibel ne tarda pas à constater que Melek Can Dickerson avait tendance à systématiquement traduire de manière incorrecte et/ou incomplète des documents relatifs à un organisme étranger pour lequel elle avait travaillé par le passé (American Turkish Council). Melek Can Dickerson avait également l’habitude d’estampiller frauduleusement comme« non relevant«  (non pertinent) certains autres documents. Selon Sibel, Melek était encore contractuelle pour cet organisme et officiait donc au sein du FBI en tant qu’espionne pour l’organisation en question. Melek, avec l’aide de son mari, le major Douglas D. Dickerson, tentèrent d’ailleurs de « retourner » (recruter – en termes d’espionnage) Sibel Edmonds afin qu’elle aussi participe à ce travail de destruction/détournement de preuves. En d’autres termes, d’enrôler Sibel Edmonds au sein de l’ATC, la corrompre pour éventuellement faire du contre-espionnage !
Sibel Edmonds a aussitôt fait part à sa hiérarchie des agissements suspects du couple Dickerson. Contre toute attente sa hiérarchie fera la sourde oreille. Sibel n’en démord pas et fait part de ces faits au Département de la Justice, initiative suite à laquelle elle sera licenciée sur-le-champ !
Sibel Edmonds entame un combat pour faire entendre sa voix et faire valoir ses droits. L’Attorney general John Ashcroft demandera à la Cour de rejeter la plainte d’Edmonds pour raison de « sécurité nationale » et invoquera la protection de « Secrets d’Etat » pour que soit imposée à Sibel une « ordonnance de bâillon juridique ». Cette mesure rarissime empêche Sibel de s’exprimer sur la période durant laquelle elle a travaillé comme linguiste pour le FBI.
Melek Can Dickerson, quant à elle, continua son travail de « nettoyage », et ce, avec l’aide de son superviseur Mike Feghali. À eux deux, ils détourneront des centaines de documents estampillés top-secret. Tous ces faits sont confirmés et ont été portés à la connaissance du FBI, Melek Can Dickerson gardera cependant son accréditation top-secret (« Habilitation à la Sécurité » - terme employé pour un/une linguiste) et continuera sa sombre besogne de destruction de preuves.
Sibel Edmonds a été entendue à huis clos durant trois heures et demie par la Commission sur le 9/11. Le compte-rendu de la Commission ne fera mention d’aucune déclaration de Sibel Edmonds.
Quatre ans après les révélations de Sibel Edmonds sur Melek Can Dickerson, celles-ci sont enfin confirmées par le Congrès des Etats-Unis et en partie relayées par la presse. Sibel, quant à elle, est aujourd’hui encore sous le coup de « l’ordonnance de bâillon juridique ». En 2002 le couple Dickerson, faisant l’objet d’enquêtes de la part du FBI, a précipitamment quitté les Etats-Unis. Aucunes suites/poursuites judiciaires ou recherches soutenues à leur encontre ne semblent se profiler à l’horizon. Le « cas » Sibel Edmonds a fait l’objet d’un documentaire diffusé sur Canal + et BeTV, ce documentaire est le fruit du travail de deux journalistes d’investigation français, Mathieu Verboud et Jean-Pierre Viallet. Vous trouverez un lien vers le synopsis de ce documentaire (format Adobe® pdf) ci-après :

- EXCLUSIF : 11 septembre 2007 -
 
Pour les rares personnes qui ont suivi la tournure des événements, le couple Dickerson semblait avoir pris la poudre d’escampette, tapis dans un endroit loin de toute agitation médiatique, profitant d’une retraite paisible bien méritée? Bien au contraire ! Un membre du Personnel de l’OTAN à Bruxelles, suite au visionnage du fameux documentaire, s’est manifesté pour clarifier la situation des Dickerson, pas encore retraités comme le veut la croyance populaire ! Soucieux de garder l’anonymat pour des raisons évidentes, il vous relate, ci-dessous, les faits précis qui se sont déroulés dans cette période cruciale d’avril à septembre 2002. Ces faits ne sont pas le fruit d’élucubrations fantaisistes, mais sont basés sur des documents officiels émis par le Gouvernement des Etats-Unis !
Déclarations exclusives d’un Membre du Personnel de l’OTAN
 
Pour celles et ceux qui ont eu l’occasion de visionner le documentaire français « Une Femme à Abattre », l’Affaire Sibel Edmonds est devenue une Affaire d’Etat, le grain de sable venu s’immiscer dans les rouages bien rodés de l’Administration Bush! Les révélations de Mme Edmonds quant aux activités d’espionnage, de contre-espionnage, au sein même du FBI, la protection d’agents étrangers, les affinités troublantes avec certaines organisations américano-turques (ATC, ATAA), le bâillon imposé par le Procureur Général Ashcroft, le laxisme du FBI, et affirmer que les événements du 11 septembre est une affaire résolument classée relève d’une ineptie totale.Pour simple preuve, le Rapport de la Commission d’Enquête pour élucider les manquements, déterminer les responsabilités des uns et des autres, fustiger des coupables pour la bonne cause, est une atteinte à l’intelligence du peuple américain (Sibel Edmonds.) Dans le sujet qui nous intéresse, un chapitre nécessite certaines clarifications par rapport au documentaire, le cas du Major Dickerson, et de son épouse Melek Can. Le 08 mai 2002, Sibel Edmonds, par voie juridique, avertit le Procureur Général Ashcroft, et le Directeur du FBI, Richard S Mueller III, que suite aux manquements de l’enquête du FBI quant aux allégations à l’encontre des Dickerson, sa famille se trouve en danger, et fait état de l’arrestation arbitraire de sa sœur en Turquie.A la même date, un mail est envoyé par l’Ambassade US à l’OTAN pour signaler l’arrivée du Major Dickerson à Bruxelles, pour une mission de 3 ans, et ce pour le mois de septembre 2002. Son affectation à la US Mission est confirmée par mail le 31 mai par le responsable du Bureau du Personnel Militaire. Quant au Major, il prit lui-même les premiers contacts avec les Services de l’OTAN fin avril, en vue de préparer son prochain séjour en Belgique, et plus précisément à Sterrebeek. Les autorisations nécessaires, en l’occurrence des Ordres Militaires (AF FORM 899) émis par l’Etat Major de l’Air Force, sont signées le 03 juillet 2002. Le Major arrive officiellement à Bruxelles le 14 septembre 2002, bientôt rejoint par sa famille. Il occupera une fonction majeure à la US Mission, au sein du service ODA (Official Development Assistance), bureau a vocation multiple dans le domaine de la Défense et de l’Armement. Dickerson quitte Bruxelles le 24 septembre 2005, pour la base japonaise aérienne de Yokota. Il sera promu au grade de Lieutenant Colonel, et devient Directeur des Opérations du 374th Logistics Readiness Squadron. Il est déployé en Irak en septembre 2006 pour des opérations du maintien de la Paix. Voilà pour les faits! Plusieurs anomalies, disfonctionnements, sont à relever dans cette courte période d’avril à septembre 2002.  
1. Lorsque Dickerson prend les premiers contacts informels avec l’OTAN, son épouse et lui-même font soi-disant l’objet d’une enquête menée par trois services différents: l’Inspection Générale, le Département de la Défense (Joseph Schmitz) et le Comité du Sénat (Sénateurs Leahy et Grassley).
Quand les actes et les dates prennent toute leur importance:
• 03 juillet 2002, l’Etat Major signe les documents pour l’affectation de Dickerson à Bruxelles, en autorisant son épouse à voyager avec lui (AF FORM 899). • Fin septembre 2002, le Département de la Défense, par l’intermédiaire de Joseph Schmitz, clos le dossier sans aucun motif de poursuite à l’encontre des Dickerson. • 18 octobre 2002, le Procureur Général Ashcroft impose le « Bâillon juridique » à l’encontre de Sibel Edmonds, définitivement réduite au silence le plus strict dans ce dossier!
Le Major Dickerson est affecté à l’OTAN avec l’aval de son Etat Major, bien que son épouse et lui fassent l’objet de plusieurs suspicions: activités d’espionnage et de contre-espionnage, rétention d’informations hautement sensibles pour la Sécurité Nationale, tentative de corruption d’Agents Gouvernementaux, et collaboration avec des Sociétés servant des intérêts étrangers (ATC). Le Département de la Défense innocente les Dickerson uniquement sur base de rapports, et le Procureur Général parachève la supercherie en réduisant au silence le plus total Sibel Edmonds, en utilisant le « State Secret Privilege », ultime moyen juridique aux Etats-Unis! Du travail d’orfèvre!
2. Avant d’être affecté à Bruxelles, Dickerson occupait un poste important au Pentagone, au sein du Service SAF/IA (Secretary of the Air Force/International Affairs), dont les fonctions principales sont l’organisation, l’échange et le commerce d’Armements Militaires Internationaux. Il occupera une fonction similaire à Bruxelles (ODA). De tels postes requièrent une Habilitation de Sécurité (Security Clearance). Les différentes étapes de cette procédure sont la demande d’habilitation par le chef du service employeur et l’instruction du dossier d’habilitation par le ministère de l’Intérieur ou de la Défense. Le retrait de l’habilitation se fait quand l’intéressé cesse de remplir les conditions nécessaires à sa délivrance, ou lorsque des éléments de vulnérabilité apparaissent. Sur le document (AF FORM 899) délivré par l’Etat Major, la date mentionnée pour l’octroi de son Habilitation (DCID 6/4 SSBI) est le 26 septembre 2000, en vue de sa mission au Pentagone! Malgré tous les éléments de vulnérabilité dans le dossier Dickerson et des allégations de Sibel Edmonds, pourquoi dès lors a-t-il pu jouir de ses privilèges grâce à son habilitation lorsqu’il fut muté à Bruxelles? Selon les Règlements Internes, et pour la Sécurité nationale, ne devait-il pas faire l’objet d’une révision de dossier en vue de l’octroi d’une nouvelle Habilitation? La question est posée! 3. Une organisation internationale comme l’OTAN, avec son siège à Bruxelles, a fourni le gîte et le couvert à la famille Dickerson, malgré toutes les implications relatives aux événements du 11 septembre 2001! A ce jour, l’Affaire Edmonds-Dickerson n’a jamais bénéficié de couverture médiatique (pas une seule ligne, pas un seul reportage) dans notre beau Royaume, toutes presses confondues, POURQUOI?
Un groupuscule de Républicains néo conservateurs fait régner l’Omerta sur les événements du 09/11, Sibel Edmonds en est une victime non consentante, qui essaye de faire la lumière sur une Affaire d’Etat, à ses risques et périls, dans un combat inégal, tronqué par les abus de pouvoir d’une Administration! Les faits de corruption concernent tous les niveaux, du FBI au Département d’Etat, au Département de la Défense, et au Ministère de la Justice! Une pétition circule pour soutenir la requête introduite par Sibel Edmondshttp://letsibeledmondsspeak.blogspot.com/ afin d’obtenir des Auditions Publiques devant le Congrès des Etats-Unis.




 
Pour en finir avec le 11 Septembre, franchir le Rubicon…
•« Les événements dans les cinq ans qui suivent les attaques du 11 septembre détermineront le cours de l’histoire de l’humanité pour les 500 ans à venir »… « Je ne suis pas le seul à affirmer que les attaques du 11 septembre ont été facilitées, orchestrées et réalisées par le gouvernement des État-Unis ». Déclaration de Michaël C. Ruppert destinée au Commonwealth Club le 31 Août 2004.
statueUNE 55c80 Contre VO/Série 1 
J’affirme catégoriquement que les politiciens qui ne s’attaquent pas aux causes réelles des problèmes posés aux USA aujourd’hui ne pourront être et ne seront jamais à l’avenir de grands leaders politiques. J’ai toujours dit que, si j’en avais la chance, je marcherais dans le repère du lion ou dans la chambre à coucher du diable pour défendre ma cause et c’est ce que je fais aujourd’hui, ici. Je peux voir, ce soir, une part des élites dont la conscience et le comportement doivent être changés afin que l’humanité puisse affronter les défis cuisants de notre époque. Pour quiconque qui pourrait être lion ou diable, j’espère qu’il a fait un bon repas récemment et en outre que vous avez vérifié vos fourches à la porte. En outre, j’implore que vos oreilles et vos esprits soient ouverts. Vous réalisez qu’une crise mondiale enténébre la planète entière et si vous souhaitez mieux comprendre cette crise, je suis ici pour offrir une part de mon expérience sans aucune complaisance ou allégeance à une politique partisane ou à quelques intérêts économiques que ce soient. Quelle que puisse être l’approche de la situation globale, que ce soit la géopolitique, l’économie, le climat, la guerre, les aérosols dispersés, les ogives de guerre qui menacent de lâcher une orgie mondiale d’effusion de sang, la hausse du prix de l’énergie, les manques d’énergies, les manques d’eau douce, la guerre biologique, la répression des libertés civiles, une conclusion commune saute aux yeux : la planète Terre et tous ses habitants sont en grand danger. Ce n’est pas le temps de penser à la sécurité nationale, c’est le temps de penser à la sécurité planétaire. C’est la survie de la planète qui est en jeu. Indépendamment de la religion, de l’appartenance ethnique, de la nationalité, de la race, des préférences sexuelles, du compte bancaire ou de n’importe quelle autre distinction artificielle, je peux être celui qui « ose » parler pour toute l’humanité. Le temps n’est plus à la timidité révérencieuse. Ce n’est pas une époque où des hommes et des femmes de bonne conscience peuvent se permettre d’être politiquement corrects. Comme je l’ai dit tant de fois pendant ces trois dernières années au cours de 40 conférences sur la vérité et les mensonges du 11/09 et le pic maximal du pétrole, les événements dans les cinq ans qui suivent les attaques du 11 septembre détermineront le cours de l’histoire de l’humanité pour les 500 années à venir ou plus. Depuis de nombreuses années maintenant, des citations et des preuves ont été présentées dans mes conférences et ma vidéo « Vérité et Mensonges sur le 11/09 ». Je ne demande pas que les gens me croient sur parole, je demande que des experts continuent à me défier s’il le faut en évaluant mes recherches, travaux et documents accumulés toutes ces années afin qu’ils puissent en tirer leurs propres conclusions. À ce jour le sérieux et la crédibilité de mes travaux m’ont ouvert les portes du Commonwealth Club. Je ne suis pas le seul à affirmer que les attaques du 11 septembre ont été facilitées, orchestrées et réalisées par le gouvernement des État-Unis. Cependant, il y a beaucoup de malentendus. En tant qu’ancien officier de police, détective et à présent journaliste je m’en tiendrai aux strictes normes probatoires d’investigations. Les attaques du 11/09 sont le résultat de la planification délibérée et d’efforts orchestrés par des leaders identifiables aux USA. Le gouvernement et les groupes de l’énergie et de la finance ont tout fait pour obtenir une attaque comme celle de Pearl Harbor qui puisse fournir à l’empire américain un prétexte pour la guerre, l’objectif étant la confiscation des réserves de pétrole de gaz et la clé des voies de transport par oléoduc. Le 11/09 a été un meurtre prémédité. Je nommerai ce soir certains des suspects qui ont commis le crime. Je vous montrerai l’évidence accablante de leur culpabilité, ce dont je suis fier. Je suis prêt et confiant pour répondre devant un procureur ou un jury de district. Historiquement, l’affirmation que le gouvernement des États-Unis serait capable d’orchestrer une attaque contre des intérêts américains a plusieurs précédents. En 1962 déjà, les chefs interarmées avaient approuvé un plan secret appelé « Opération Northwoods » qui était une opération secrète pour abattre un avion américain et lancer une attaque contre des équipements militaires américains, avec l’intention de rejeter le blâme sur Fidel Castro, incitant ainsi les États-Unis à envahir et occuper Cuba. Il en fut de même pour Pearl Harbor dont les dates et plans d’attaque étaient connus de Roosevelt lui-même ; l’histoire fournit aujourd’hui aux USA une documentation abondante sur la complicité du gouvernement américain à des degrés variables dans de tels événements. Le livre « Le jour de la duperie » et d’autres enregistrements aux archives nationales ont prouvé aux USA que l’administration Roosevelt avait bien déchiffré les codes japonais avant le 7 décembre 1941 et que la décision de laisser faire l’attaque sur Pearl Harbor a été prise en toute conscience. Cette décision a été mise en place pour fournir l’impulsion nécessaire à l’entrée en guerre des USA, à un moment où la Grande-Bretagne faiblissait sous les bombardements et la guerre navale du Troisième Reich. Le livre que je vais publier, « Traverser le Rubicon », pénètre les arcanes les plus secrètes des attaques du 11 septembre 2001. « L’ouvrage « Traverser le Rubicon » place le 11/09 au centre d’une nouvelle Amérique désespérée, menée par des individus spécifiquement nommés pour gérer le pic maximal du pétrole (insuffisance mondiale des stocks de pétrole et déclin naturel de la production de pétrole) : une crise économique comme le monde n’en a jamais vue. La demande en hydrocarbures des USA, des pays industrialisés et des pays en voie de développement accélère rapidement l’arrivée du pic maximal de pétrole, point de non retour pour cette ressource limitée. L’impact économique et environnemental deviendra insoutenable dans les trois années à venir. Étant donné les choix peu judicieux des 30 dernières années, une fin brutale de l’ère du pétrole constitue la plus sérieuse menace pour l’humanité dans toute son histoire. La planète Terre est plus ou moins à un an de la crête de production énergétique des hydrocarbures. Plus simplement, nous avons utilisé la moitié du pétrole que Dieu a placé sur cette planète. Chaque baril extrait dorénavant deviendra progressivement plus cher, de moindre qualité et beaucoup plus dur à obtenir. Comme en conviennent tous les experts, le pic est quelque chose que nous validerons comme une certitude quand nous le regarderons dans nos rétroviseurs. Les attaques du 11 septembre 2001 ont été le prétexte pour l’empire américain et à un degré moindre pour la Grande-Bretagne et pour Israël, de s’emparer par la force des sources d’approvisionnements en énergie, pour soutenir leur puissance hégémonique (régionale ou mondiale) et maintenir l’équilibre de leur économie dans les prochaines années de pénurie. Les attaques du 11/09 ont été accomplies avec une orchestration étonnante de logistique et de personnels. L’ancien conseiller du contre-terrorisme à la Sécurité Nationale, Richard Clarke, a suggéré qu’une telle conspiration ne pourrait jamais être maintenue secrète. Trop de gens auraient été impliqués, a-t-il dit. Sur ce point, je suis complètement en désaccord avec Clarke ; je rappelle le projet Manhattan qui a développé la bombe atomique et le projet de l’avion furtif. Le secret de ces deux projets a été parfaitement gardé. Or, le nombre de personnes impliquées dans ces deux projets a de loin dépassé le nombre de personnes utilisées par le gouvernement des États-Unis pour exécuter le 11/09. Rien dans la prétendue commission indépendante, la Commission Kean, qui a étudié les attaques du 11 septembre, ne peut ou ne devrait être accepté sans un débat contradictoire. Cette commission reprend la chronologie des événements publiée par le Norad (armée de l’Air). Or, plusieurs témoignages faits devant la Commission démentent cette chronologie. La chronologie officielle indiquait que la FAA (surveillance aérienne) avait sollicité le Commandement de l’Armée de l’Air pour une aide militaire alors que trois avions commerciaux de ligne piratés étaient toujours en vol. Des témoignages devant la Commission affirment au contraire que la FAA a informé l’armée de l’air trop tard, après que les avions se soient écrasés. Un escadron d’avions de combat du Norad est en effet bien parti mais il a été envoyé au dessus de l’Océan Atlantique à plus de 200 km à l’Est de Washington DC, alors que le troisième engin heurtait le Pentagone. Un second escadron était sur l’Alaska pendant qu’un troisième sillonnait au dessus du Canada. Devant de telles incohérences, il est certain que les militaires ont menti aux Américains, menti au Congrès et menti à la Commission du 11/09. Le rapport de la Commission a été remanié pour tenter de maquiller au mieux toutes ces incohérences chronologiques et donner au public une version édulcorée. Pourquoi tant de partialité ? C’est assez simple à comprendre quand on étudie le curriculum vitae des membres de cette commission. Les membres de la commission indépendante d’enquête sur le 11 septembre Thomas Kean (Président) est aussi directeur et actionnaire d’Amerada Hess Corporation, en lien avec la Delta Oil of Saudi Arabia détenue par les clans de Ben Khalid Mahfouz et de Al-Amoundi. Cette compagnie a été impliquée dans la planification et la mise en œuvre d’un pipe-line de pétrole afghan, juste avant le 11 septembre. Ben Khalid Mahfouz, autrefois haut dirigeant de la légendaire banque du crime organisé BCCI, est le plus grand banquier de l’Arabie Saoudite et ses clients comprennent la famille royale saoudienne et le groupe des compagnies du saoudien Ben Laden. Il est à noter que Georges W. Bush a été en affaire avec Khalid Ben Mahfouz quand il était dans les affaires de pétrole au Texas. Khalid Ben Mahfouz et Georges W. Bush ont été également impliqués dans le scandale de la BCCI étroitement lié au scandale de l’Iran-Contra et à ceux de l’Épargne et des Prêts. D’autres liens entre Bush et Mahfouz peuvent être trouvés par leurs investissements dans le groupe Carlyle, une société américaine de placements de valeurs mobilières contrôlée par un conseil dans lequel siégeaient autrefois l’ancien président Georges Bush Senior et des membres de la famille Ben Laden. Lee Hamilton (vice-président). En 1987, le porte-parole Jim Wright (qui a démissionné plus tard de la Chambre dans le déshonneur) a nommé Hamilton à la présidence d’une Commission d’Enquête sur l’affaire Iran-Contra. Lorsqu’une question a été soulevée au sujet de la contrebande de drogue CIA/Contra, la réponse a été rejetée par Hamilton, lors d’un examen superficiel qui a conclu qu’il n’y avait là aucune charge. La CIA a publié un rapport en octobre 1998 (Volume II du Rapport de l’Inspection Générale de la CIA sur le trafic de drogue Iran/Contra). Celui-ci n’a reçu presque aucune publicité mais il a pourtant admis le lien avec la drogue et la participation directe de la CIA dans le transbordement de milliers de kilos de cocaïne. Hamilton a aussi joué un rôle majeur dans la prétendue surprise d’octobre 1980-81 dans laquelle il a été démontré que l’équipe de campagne de Reagan-Bush était en pourparlers secrets avec le gouvernement révolutionnaire d’Iran pour retarder la libération des otages américains détenus à l’ambassade des Etats-Unis à Téhéran. Le contrat était que les otages ne seraient libérés qu’après l’élection présidentielle, de sorte que Jimmy Carter ne bénéficie pas de cette libération pendant la campagne présidentielle. Dans l’affaire Iran/Contra, des armes avaient été fournies au gouvernement iranien en échange de sa coopération. L’affaire fit scandale et donna lieu à des auditions au Congrès qui furent présidées par le démocrate Hamilton. Ce dernier fut nommé plusieurs fois président ou vice-président de Commissions pour étouffer des affaires touchant au trafic d’armes et de drogues ; c’est un spécialiste du genre, soutenu aussi bien par John Kerry que Georges W. Bush.Philip Zelikow (Directeur exécutif) Zelikow a conseillé l’administration Bush sur les nouveaux plans des services de renseignement. Il eut de nombreuses discussions au sujet de Ben Laden et d’Al-Quaïda en 2000-2001 avec Richard Clarke. En toute logique, il devrait être un témoin attestant sous serment devant cette Commission au lieu d’en être le Directeur Exécutif. Quand plusieurs familles de victimes du 11/09 ont appris cela, elles ont demandé sa démission. Malgré tous les appels à démission, Zelikow est resté solidement en place au sein de la Commission Kean. Jamie Gorelick Cette dernière a des liens avec le lobby pétrolier dans des sociétés de forage. Mme Gorelick siège dans le conseil d’administration de la première société d’extraction de pétrole au monde, Schlumberger. Gorelick était parmi les quatre membres de la Commission autorisés à consulter les dossiers présidentiels du renseignement. Richard Ben-Véniste Ben-Véniste est un mandataire très en vue à Washington et un courtier du pouvoir démocrate. Il était avocat conseil au Sénat dans les investigations de Whitewater où il a bloqué les enquêtes du dossier Webster Hubbell’s impliquant un certain Truman Arnold (qui se trouve être un ami de Wally Hilliard, propriétaire de l’école de pilotage en Floride où, selon les comptes-rendus officiels, ont été formés quatre des pilotes islamistes des missions kamikazes des terroristes du 11 septembre 2001). La Commission Kean a délibérément été constituée de personnalités impliquées dans les événements de 11/09 et les organismes gouvernementaux chargés de protéger les Américains ce jour-là. Tous auraient dû témoigner plutôt que de diriger et rédiger les rapports d’une telle commission. Un seul membre était vraiment impartial : il s’agit d’un sénateur de Georgie, Max Cleland. Après avoir déclaré que tout cela était une vaste mascarade, il a démissionné de la commission Kean avant la fin des investigations. Que s’est il passé le 11 septembre 2001 ? Nous allons démontrer qu’un suspect (ou plusieurs) possédait les moyens, les motifs et l’opportunité de commettre le crime. Jusqu’ici, l’affaire du 11/09 aurait été commise par Oussama Ben Laden et Al-Quaïda. Cela n’a jamais été prouvé. En fait, environ 35 mois après les attaques du 11/09, de toutes les poursuites judiciaires dans le monde concernant cette affaire, aucune n’a abouti. La seule affaire qui aurait dû aboutir fut la poursuite judiciaire allemande contre Monir el Motassadeq, chargé de faciliter la prétendue cellule de Hambourg appelée du nom de Mohamed Atta. La Justice allemande a dû abandonner ses poursuites en 2004 car le gouvernement US a refusé de produire les témoins principaux tels que Khalid Shaihh Muhammad ou Ramzi Ben al-Shibh ainsi que d’autres évidences et preuves matérielles. Pour le grand public et la communauté officielle des investigateurs du 11/09, l’échec des moyens de défense aérienne des USA est un mystère. La Commission Kean et la version gouvernementale des événements ne laisse apparaître aucune explication plausible. Le fait qu’aucune défense aérienne efficace ne se soit manifestée ce jour-là reste incompréhensible… Des preuves incontestables démontrent la complicité directe du gouvernement US dans la gestion des attaques du 11 Septembre 2001. Ces éléments figurent en détail dans mon livre « Traverser le Rubicon ». 1°) Cheney est le principal suspect dans les meurtres de masse du 11/09. J’affirme qu’il a été un planificateur du 09/11 et que le jour même des attaques il gérait un centre de contrôle totalement séparé du système de communications militaires et capable de brouiller les transmissions ou ordres émanant d’autres centres de commandement. Pour parvenir à ses fins, il a relié un système de communication au central principal des services secrets américains, dans le Centre de Secours des Opérations Présidentielles – le bunker où lui et la conseillère à la Sécurité Nationale, Condolezza Rice ont soi-disant été précipités après que le vol 175 ait frappé la tour Sud du World Trade Center. Je démontrerai qu’en réalité Cheney n’a jamais quitté ce poste et qu’il avait des informations en temps réel, meilleures que celles disponibles au Pentagone. 2°) Je démontrerai cela en expliquant ce que sont les Services Secrets des Événements Spéciaux de la Sécurité Nationale Américaine, une agence de contrôle opérationnel suprême supplantant d’autorité toutes les agences civiles et militaires. 3°) J’établirai qu’en mai 2001, par décret présidentiel, Cheney a été placé au commandement et au contrôle directs de toutes les formations de stratégies militaires, des terrains d’exercices d’entraînement et de l’établissement du programme de plusieurs agences, particulièrement la Fema. Qu’en outre, il a ordonné tous les exercices militaires aériens incohérents du 11 Septembre 2001. Je démontrerai que l’exercice Trépide II, installé le 10 septembre à Manhattan, a été directement piloté par Cheney en prévision du chaos du 11/09 qu’il préparait. 4°) Je prouverai qu’un certain Suite en page 3 nombre d’officiels de la ville de New York City, dont le maire Rudolph Guilani, se sont rendus compte pendant 20 minutes, que le vol 175 visait Manhattan. Ils n’ont rien fait pour ordonner l’évacuation ou avertir les occupants du World Trade Center. Seul un officier militaire a quitté son poste pour appeler en privé son frère qui travaillait au WTC, le sommant de sortir au plus vite. 5°) Je prouverai également que les gouvernements israéliens et britanniques ont agi en tant qu’alliés au plus haut niveau du gouvernement américain pour aider à la préparation et très probablement, à l’exécution des attaques du 11/09. Tous ces éléments sont présentés et documentés sur 850 pages dans « Franchir le Rubicon » qui prouve que Georges Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Condi Rice, le Général Ralph Eberhart, le Général Meyers, le Directeur du FBI Robert Muller, John Ashcroft et Georges Tenet ont menti au peuple américain. Le mobile des attaques du 11 septembre 2001 : gérer le pic maximal du pétrole Le pic maximal du pétrole n’est un secret pour personne. Le pétrole et le gaz naturel sont indispensables à notre mode de vie. Le monde consomme dix calories d’énergie d’hydrocarbure pour chaque calorie de nourriture mangée. Tous les engrais commerciaux sont faits à partir du gaz naturel. Tous les pesticides sont faits à partir du pétrole. Toutes les irrigations, labourages, moissons et transports sont accomplis par l’électricité produite par des machines à hydrocarbures ou gaz naturel. Il y a entre 600 et 700 millions de véhicules à essence sur la planète et la demande augmente de manière exponentielle, particulièrement en Chine. J’ai suivi deux conférences internationales au sujet du pic maximal de pétrole et de ses implications pour notre civilisation : une à Paris en 2003 et l’autre à Berlin, cette année. Depuis, la grande presse anglo-saxonne n’a cessé de publier des articles sur la fin de l’ère du pétrole : (« La fin du pétrole économique » – National Geographic juin 2004, « Que faire quand le pétrole ne sera plus là ? » – BBC 22 avril 2004, « Adios pétrole économique » – Interpress News Agency 27 avril 2004, « G7, le prix du pétrole menace l’économie mondiale » – Moscow Times 26/04/04, « La crise mondiale du pétrole surgit » – Jane 21/04/04, « USA, obtenir le pétrole mondial » – Focus de la Politique étrangère, janvier 2004, « Manquons-nous de pétrole ? » – ABC News du 11/02/04, « Sang, Argent et pétrole » – US News du 18/08/03, Wall Street Journal US du 22/03/04, « Contrôle du pétrole » – Washington Post du 14/11/03, « La fin de l’ère du pétrole » – Économist du 23/10/03, etc…) De grands gisements de pétrole sont sur le déclin depuis 1962. Une étude publiée dans la Petroleum Review suggère que la production ne pourra pas suivre la demande d’ici 2007. L’étude est un aperçu des méga projets visant à produire plus de 100.000 barils de pétrole par jour. La planète consomme un milliard de barils de pétrole tous les onze jours et demi ; or les découvertes de grands champs pétrolifères sont en nette diminution. En 2000, il y eu 16 découvertes ; en 2001, 8 découvertes, en 2002, seulement 3, en 2003 aucune. Environ le tiers de la production de pétrole dans le monde provient de champs en baisse. La capacité globale de production se contracte d’un peu plus de 1 million de barils par jour chaque année. A partir de 2007 ce déclin sera compensé par de nouveaux projets de production mais à consommation égale ; or la consommation augmente et la demande commencera alors à être supérieure à l’offre. En prenant le pétrole de l’Irak et en contrôlant l’Afghanistan le gouvernement US pense pouvoir retarder les effets du pic du pétrole pour les États-Unis et assurer ainsi son hégémonie sur le reste du monde qui manquera alors de pétrole. Tel est le mobile du crime du 11 Septembre 2001.La cinquième révolution Charles Galton Darwin déclarait en 1952 : « La cinquième révolution viendra lorsque nous aurons épuisé les stocks de charbon et de pétrole qui s’étaient accumulés dans la terre pendant des centaines de millions d’années… Il faut espérer que d’autres sources d’énergies auront été développées… Mais sans en considérer le détail, il y aura de profonds changements dans notre manière de vivre… Qu’un produit de substitution commode pour remplacer les carburants actuels soit trouvé ou non, il ne peut exister aucun doute qu’il y aura de grandes modifications dans les façons de vivre. Ce changement peut juste s’appeler une révolution mais elle différera de toutes les précédentes. Il n’y a guère de probabilités qu’elle mène à une augmentation de la population mais plutôt à l’inverse ». Dans mon ouvrage j’explique comment et pourquoi le système économique actuel du monde s’accélère, décline et dégénère dans des proportions inimaginables. Tout ceci, pour moi, a commencé il y a 27 ans quand, en tant que jeune policier, j’ai découvert que la CIA était lourdement impliquée dans le trafic de drogue. J’ai déjà prouvé tout cela en utilisant des enregistrements d’auditions au Sénat et des documents de la CIA elle-même. Un des facteurs essentiels de la suprématie économique américaine fut le trafic de drogue. Tous les ans près de 660 milliards de dollars de narco-profits ont alimenté les marchés financiers et les institutions des États-Unis. L’invasion de l’Afghanistan n’avait d’autre but que de produire plus de drogue pour maintenir les flux financiers de narco-profits qui alimentent l’économie américaine. Outre le trafic de drogue qui alimente États et Institutions de nombreux pays, nous menons une guerre perdue d’avance. L’ensemble de l’économie mondiale mise sur une croissance infinie dans un monde de ressources finies. Ce manque de réalisme global nous mène à une crise généralisée mettant en péril l’humanité même. Les solutions actuelles de guerres permanentes pour maintenir la croissance ne préparent qu’une chute encore plus brutale. Franchir le Rubicon À la fin d’une convention constitutionnelle, Benjamin Franklin fut interrogé sur le type de gouvernement qu’il souhaitait pour le pays. Il a répondu : « Une République, si vous pouvez la garder ». En 49 avant Jésus Christ, Jules César, auréolé d’une récente victoire en Italie centrale a ordonné à ses légions de traverser un petit ruisseau appelé le Rubicon. En vertu des lois de la République romaine, on ne permettait pas à l’armée d’entrer dans la capitale. Quand Jules César a franchi le Rubicon, la République romaine est morte et l’empire romain est né. Notre tâche, si notre civilisation humaine veut survivre, n’est pas de garder notre République à tout prix mais de la régénérer ». Extraits choisis traduits du discours du journaliste et conférencier Michaël C. Ruppert pour le Commonwealth Club à San Francisco le 31 août 2004 . Sources : www.fromthewilderness. com vidéo :Truth and lies of the 9/11 de Michaël Ruppert Frédéric Morin
© publié dans Morphéus n°6 – 2004
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