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14 juin 2015

L’attentat fasciste du 11 septembre 2001


La Parenthèse enchantée (1/11) : Un certain 10 septembre 2001

De la conquête de l’Ouest à l’invasion de l’Irak, en passant par l’incident du Golfe du Tonkin, une bonne part des historiens et des journalistes des médias traditionnels est disposée à reconnaître et à explorer certaines déviances de l’appareil d’État américain AVANT le 11-Septembre et APRÈS le 11-Septembre. Mais étrangement, cet événement spécifique survenu en 2001 semble pour eux s’inscrire dans une parenthèse enchantée. En effet, selon le rapport officiel sur les attentats, il ne fait aucun doute que, ce jour-là, tous les responsables de l’administration américaine étaient par défaut vertueux, ou a minima, animés des meilleures intentions démocratiques et patriotiques. Et dans leur immense majorité, les médias occidentaux cautionnent sans réserve ce récit qui fut délivré à l’époque par le gouvernement Bush.
Pourtant nous constaterons, sur la base de documents de l’administration des États-Unis et de déclarations officielles d’élus américains, plusieurs anomalies spectaculaires au sein de l’appareil d’État de la première puissance mondiale, en lien étroit avec les crimes du 11-Septembre. Et nous observerons nombre d’indices ostensibles indiquant une implication dans les attentats de 2001 de membres haut placés de l’administration au pouvoir. Ces révélations permettront aussi de mieux comprendre pourquoi la Commission d’enquête sur le 11-Septembre et les grands médias n’ont pas jugé utile de produire un travail élémentaire d’investigation sur ces déviances majeures, emprisonnant ainsi le peuple américain et le reste du monde dans l’illusion de cette parenthèse enchantée.
  

Un certain 10 septembre 2001
Chaque semaine cet été, du mardi 3 juillet au mardi 11 septembre 2012, ReOpen911 publie un extrait du livre de Lalo Vespera, La Parenthèse enchantée (à paraitre en 2013).
« Durant les années 1990, l’industrie pétrolière états-unienne et le Pentagone ont contribué à répandre l’idée selon laquelle les États-Unis auraient besoin d’une domination totale afin de garantir leur accès au pétrole ainsi qu’aux autres ressources dans le reste du monde. Ce programme aurait dû engendrer d’énormes dépenses, potentiellement des milliers de milliards de dollars, une somme que le Congrès ne pourrait accorder – sauf dans le cadre d’une réponse à une attaque aussi vaste et effrayante que celle de Pearl Harbor. Cela nous incite à rappeler que les entrées en guerre des États-Unis ont fréquemment été déclenchées par des attaques douteuses à l’image des incidents du Golfe du Tonkin au Vietnam. Au re-gard des événements du 11-Septembre, il est clair que le but que s’était fixé l’administration Bush-Cheney – envahir l’Irak – nécessitait qu’une telle attaque se produise. Ce dont nous avons été témoins, pour reprendre les termes d’Ola Tunander, un chercheur basé à Oslo, est “l’utilisation du terrorisme dans la construction de l’ordre mondial”. » 
Peter Dale Scott, "La route vers le nouveau désordre mondial", éditions Demi Lune [1]
Régime d’exception
Le 7 juillet 2011, la Chambre des représentants des États-Unis approuvait un amendement, proposé par un membre démocrate du Congrès, Peter DeFazio, exigeant que le Pentagone soit en mesure de produire des états financiers vérifiables. En effet, bien qu’il soit amplement financé par le contribuable américain, le Département de la Défense (DoD) n’a pas été sérieusement contrôlé sur ses dépenses depuis plus de vingt ans, et cette exonération s’est transmutée en usage convenu et permanent[2]. Dans sa présentation de l’amendement, Peter DeFazio est revenu en particulier sur les 2300 milliards de dollars dont le Pentagone a "perdu la trace" dix ans plus tôt, ainsi que le déclarait en public le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, un certain 10 septembre 2001. Le lendemain même, les attentats spectaculaires détruisant le World Trade Center et une partie du Pentagone, permettaient aux États-Unis d’envahir avec une impunité déconcertante l’Afghanistan et l’Irak, pour le plus grand bénéfice d’une industrie de guerre très influente au sein du pouvoir américain.
En juillet 2007, Peter DeFazio avait déjà fait valoir son indépendance d’esprit sur la scène politique américaine en sollicitant à deux reprises un accès à la version classée secrète du plan de l’administration Bush sur la Continuité de Gouvernement (COG) [1b]. Ce plan avait été imposé par le "Homeland Security" – le Département de la Sécurité Intérieure des États-Unis créé à l’initiative du Président Bush en réponse aux attaques du 11-Septembre – afin de garantir la continuité du pouvoir en cas de crise majeure, et ce malgré un risque de dérapage hors du cadre démocratique prescrit par la constitution des États-Unis [3]. Or, en tant que membre du Comité spécial du Congrès sur le "Homeland Security", DeFazio était supposé avoir accès aux informations gouvernementales confidentielles, mais George Bush avait finalement refusé de lui accorder le droit d’examiner ces informations qui restent encore à ce jour inaccessibles aux représentants du peuple américain[4].
George W. Bush 
Au cours de l’été 2011, la crise de la dette est revenue en force au cœur de l’actualité économique des États-Unis. S’imposant dans les médias, cette crise a fait bouger les lignes. Ainsi l’opinion publique américaine s’est trouvée davantage consciente des incohérences budgétaires et de la dette colossale qui pèse sur les États-Unis[5]. De plus, en contrepoint des dépenses militaires sans cesse croissantes depuis dix ans, le congrès s’est agité sur les réductions substantielles prévues dans les programmes d’aides aux familles de classe moyenne. C’est dans ce contexte qu’en juillet 2011, en prenant la parole devant la chambre des représentants pour soutenir l’amendement qu’il déposait, Peter DeFazio est revenu sur le budget astronomique qui s’est égaré une décennie plus tôt dans le labyrinthe des jeux comptables du Pentagone. Dans son discours, le représentant démocrate confirmait de façon claire et catégorique : « Nous ne savons pas où sont passés ces 2300 milliards de dollars. » [6]
  
Peter DeFazio – Chambre des représentants, le 7 juillet 2011 [6] 
Auparavant, DeFazio a retracé dans ce même discours les circonstances de l’affaire : « En 1990, le Congrès a adopté une loi qui exigeait que tous les organismes fédéraux, y compris le ministère de la Défense, devait avoir des états financiers vérifiables chaque année. Depuis cette date, le Pentagone a dépensé 10 000 milliards de dollars et cependant, aucune vérification n’a été menée. En fait, il y a de nombreux problèmes avec la comptabilité au Département de la Défense, et sa gestion financière a été classée en "risque élevé" par le GAO [l'organisme du Congrès en charge du contrôle des comptes publics]. Malheureusement le Pentagone, ne pouvant tolérer les contrôles, a sollicité une exemption de vérifications. » [7] A défaut d’être contraint par un audit annuel indépendant, le DoD, à la fois juge et partie, ne délivre chaque année qu’un état financier sommaire de quelques pages, composé en interne. Ce contrôle est particulièrement léger au regard du fait que les contribuables américains financent le DoD pour un budget fédéral annuel qui est monté de 350 à 800 milliards de dollars entre la fin des années 1990 et 2011 [8].
Suite aux pressions du Congrès, le Pentagone a fini par accepter le principe d’un audit indépendant sur ses comptes. Mais en 2017, seulement. Ce qui implique qu’entre-temps, le ministère de la Défense sera tout de même en mesure de dépenser à nouveau 4000 milliards de dollars sans aucun contrôle. Et DeFazio pointe l’arrogance décomplexée des responsables du Pentagone en précisant que cet accord a été l’occasion pour eux de solliciter une nouvelle rallonge budgétaire afin d’assumer cet audit… « C’est incroyable ! » s’insurge le représentant du Congrès qui réclame la suspension immédiate du régime de privilège et d’exception dont bénéficie le Département de la Défense [7].
Budget américain de la défense (ajusté sur l’inflation) 1940 – 2010 • New York Times [9] 
"Les États-Unis dépensent aujourd’hui environ l’équivalent des deux tiers du budget annuel
le plus élevé durant la seconde guerre mondiale."
   
Le jour d’avant
Cette question sensible de la comptabilité du Pentagone n’est pas nouvelle. Dix ans plus tôt, en 2001, elle avait donc été traitée à sa façon par Donald Rumsfeld qui tenait depuis quelques mois les rênes du ministère. Lors d’une conférence à l’attention des bureaucrates de la défense américaine, il exhorta les cadres de son département à mener une guerre vigoureuse contre le "gaspillage" (sic) des dépenses, faisant déjà état de ce montant de "2,3 Trillion" soit 2300 milliards de dollars de transactions que les analystes budgétaires du département ne parvenaient pas à identifier [10].
 Reportage de CBS News sur le discours du 10 septembre 2001 [11] 
Ce qui est singulier dans la chronologie de cet épisode est le fait que cette conférence délivrée par Donald Rumsfeld se soit tenue le 10 septembre 2001, c’est-à-dire la veille des attaques qui détruisirent une partie du Pentagone lui-même, la veille d’un événement qui donna l’occasion aux États-Unis de faire valoir une nouvelle donne stratégique et militaire impliquant prioritairement le DoD et qui permit au secrétaire à la Défense de se concentrer bien davantage sur de nouvelles rallonges budgétaires à faire voter au Congrès pour les conflits à venir en Afghanistan et en Irak, plutôt que sur d’ennuyeux examens comptables.
Principe de précaution
La Défense est un département que Rumsfeld connait bien pour en avoir déjà été le patronsous l’administration Ford de 1975 à 1977, et le secrétaire américain est fin politique [12]. Quand, le 10 septembre 2001, il prend acte publiquement du gouffre comptable de 2300 milliards de dollars, et en rend responsables les bureaucrates du Pentagone, d’une part il assure ses arrières en jouant brièvement la transparence, d’autre part il désigne avec un jour d’avance un coupable parfait pour cette forfaiture, d’ores et déjà en cohérence avec le futur récit du gouvernement, stigmatisant l’incurie des agences de renseignement pour justifier l’incapacité des États-Unis à mettre en échec les attaques terroristes sur son sol.
Mais plus stupéfiant encore, plusieurs informations rendues publiques officiellement démontrent que la zone endommagée du Pentagone et la profession d’un nombre important des fonctionnaires tués durant l’attaque présentent des liens manifestes avec le gigantesque préjudice comptable. Nous y reviendrons.
Malgré cela ni les médias, ni les politiques, ni la justice, ne manifestèrent un quelconque intérêt envers ce faisceau de "coïncidences" extrêmes. La couverture de presse fut presque inexistante. L’ampleur inédite des attaques sur le sol américain balaya avec force l’ordre des priorités de la nation pour des mois, voire des années, et le Congrès, tétanisé par la peur conjuguée du choc terroriste et de l’anthrax [13], ajoutera, malgré les milliers de milliards déjà évaporés des coffres, des centaines de milliards de crédits supplémentaires pour faire la "Guerre contre la Terreur".
Quant à la Commission d’enquête, rien de tout cela n’affleure dans son Rapport final[14] pourtant caractérisé en préambule par ses auteurs comme « le récit le plus complet possible des événements du 11-Septembre, ce qui s’est passé et pourquoi. » (En fait, il s’agit là d’une des nombreuses anomalies que présente le rapport final[15].
Un milliard de dollars en billets de $100 (œuvre de Michael Marcovici) [16] : 
 En 2001, le Pentagone prétend, sur une seule année comptable, ne pas être en mesure de justifier
ses dépenses, pour un montant financier équivalent à 2300 fois cette masse d’argent.
  
  
Puissance douze
Avant de s’enfoncer dans les arcanes du Pentagone, il est utile de remettre en perspective l’ampleur de la somme dont il est question ici, car le chiffre annoncé est si monumental qu’il en devient plus ou moins abstrait ou suscite l’incrédulité, quand il n’est pas tout simplement amputé de trois zéros à cause des différences entre les systèmes de comptage américain et européen (voir encadré).
En octobre 2001, la SEC, l’autorité de tutelle de la Bourse américaine, lance une enquête sur la société Enron suite à la perte trimestrielle de 618 millions de dollars [17]. Et un mois plus tard, Enron s’effondre après avoir reconnu, à la stupeur générale, avoir dissimulé plusieurs milliards de dollars grâce à des opérations ne figurant pas dans son bilan[18]. Le scandale ébranle les places boursières et éclabousse le monde politique. La France connaîtra en 2008 l’affaire Kerviel faisant perdre à la Société Générale 5 milliards d’euros (6,2 milliards de dollars) [19]. Ces catastrophes financières sont colossales. Et pourtant, l’ordre de grandeur utilisé pour appréhender la masse financière qui a disparu des caisses du Pentagone est tout autre, mille fois supérieur. Comparés aux transactions fantômes dans la comptabilité du DoD, les montants du scandale Enron ou de l’affaire Kerviel prennent soudain la consistance de quelques pièces jaunes au fond du porte-monnaie.
Par exemple, 2300 milliards de dollars en 2001 représentent un montant bien supérieur au PIB de la France cette année-là (1320 milliards de dollars sur 2001 en taux de change courant) [20]. Le sénateur américain Robert Byrd emprunte une métaphore pour caractériser cette somme : En deux mille ans se sont écoulées environ un milliard de minutes. La perte dont il est question ici est donc plus ou moins équivalente à 2300 dollars par minute depuis la naissance du Christ [21]. Il est aussi éloquent de visualiser ce que représente concrètement cet argent en coupures de 100 dollars (80 euros) :
  
Mais à quoi ressemblent 2300 milliards de dollars ? [22]  
Si le volume des transactions sans traçabilité est ainsi envisagé, alors quelques questions viennent à l’esprit :
  • D’autre part, dans une démocratie moderne comme les États-Unis, comment est-il concevable que d’une année sur l’autre, la comptabilité d’une institution telle que le DoD notifie puis révèle que l’équivalent de deux millions trois cent mille mallettes contenant chacune un million de dollars est "tombé du camion", et qu’au lieu de braquer leur attention sur cet accident sensationnel, les élus et les médias détournent pudiquement le regard, comme c’est le cas ici (même avec l’excuse du contexte catastrophique du 11-Septembre) ?
Courte échelle
Si l’incrédulité est manifeste par rapport à cette perte subie par le Pentagone, il s’ajoute, en particulier pour les européens, une certaine confusion due au système de comptage différent d’un côté et de l’autre de l’Atlantique pour les sommes dépassant l’échelle du million (1.000.000). En effet, un milliard ici équivaut à un billion aux USA (1.000.000.000) mais un billion ici équivaut à un trillion là-bas (1.000.000.000.000). Un trillion ou un billion n’ont donc pas du tout le même sens et la même valeur si on se trouve aux États-Unis (où est utilisée l’échelle "courte" de comptage) ou en Europe (où est utilisée l’échelle "longue") [24]. En clair :
  • 106 = 1 000 000 = 1 million aux USA et en Europe
  • 109 = 1 000 000 000 = 1 billion aux USA = 1 milliard en Europe
  • 1012 = 1 000 000 000 000 = 1 trillion aux USA = 1 billion en Europe (1000 milliards)
  • 1015 = 1 000 000 000 000 000 = 1 quadrillion aux USA = 1 billiard en Europe
  • 1018 = 1 000 000 000 000 000 000 = 1 quintillion aux USA = 1 trillion en Europe 
La confusion suivante est régulièrement observée : 1 trillion = 1 billion = 1 milliard, laissant supposer que le Pentagone a perdu "2,3 milliards de dollars". Et bien que cela représente déjà une somme énorme, elle est sans commune mesure avec les 2300 milliards de dollars dont il est question en réalité. Pour éviter toute confusion, mieux vaut donc éviter l’usage de 2,3 trillion (USA) ou 2,3 billion (Europe) et nous emploierons uniquement les "milliers de milliards" pour désigner ce type de somme.
En effet, à l’apparition de ce rapport mentionnant les pertes de l’année fiscale 1999, les représentants politiques tout comme la presse restent étonnamment discrets. Et à l’exception d’une ou deux têtes brûlées, les commentaires sont rares. De ce fait, ce chiffre démesuré, « $2,300,000,000,000 », n’a-t-il pas toutes les chances de rester une entité abstraite ? Et dans ces conditions, comment les contribuables américains auraient-ils les moyens de prendre conscience de la forfaiture commise à leur endroit, et de son ampleur ? Par ailleurs, peu de citoyens ont l’opportunité de jongler au quotidien avec une somme aussi astronomique et il est possible que ce chiffre reste un concept qui défie l’entendement. Ainsi, peut-être ce chiffre trop vaste est-il devenu étrangement invisible, condamné à l’incrédulité ou à l’indifférence des citoyens américains, comme bien d’autres aspects liés au 11-Septembre.
Lire l’article suivant : Le trésor enseveli du Pentagone
Lalo Vespera
La Parenthèse enchantée
Parution du livre en 2013

En lien avec cet article
Autres articles extraits de La Parenthèse enchantée :
Sites Internet de l’administration américaine
U.S. Government Printing Office
Bureau de Diffusion du Gouvernement américain
• Transcription des interventions de Peter DeFazio, les 2 août 2007 et 7 juillet 2011, devant la Chambre des représentants des États-Unis, qui dénonce les dissimulations de l’administration concernant la COG (2007) ou les finances du Pentagone (2011).
U.S. Department of Defense
Département américain de la Défense
• Biographie de Donald Rumsfeld
• Transcription du discours intégral de Donald Rumsfeld le 10 septembre 2001, faisant état des 2300 milliards de dollars "perdus" dans les méandres de la comptabilité.
Documents officiels ou administratifs
Federal Continuity Directive 1
Directive de la Continuité Fédérale
Publication : Février 2008
Organisme : FEMA – Homeland Security
Présentation de la Continuité de Gouvernement (COG) prévue en cas de crise, dans sa partie accessible aux citoyens. Les dispositions qui compromettent l’intégrité constitutionnelle des États-Unis restent inaccessibles, même aux représentants du Congrès. 
 
The 9/11 Commission Report
Rapport de la commission sur le 11-Septembre
Publication : 22 juillet 2004
Organisme : National Commission on Terrorist Attacks Upon the United States
Rapport final de la Commission d’enquête présidentielle sur les attentats du 11-Septembre aux États-Unis. Seule la version en langue anglaise est en ligne sur Internet, à la disposition du public.  
  
 Organigramme
Cliquer sur l’image ci-dessous pour accéder à l’organigramme en haute résolution
 
Sources et références
1. Peter Dale Scott "La route vers le nouveau désordre mondial" (The Road to 9/11)
Editions Demi Lune (Publié aux États-Unis en 2007).
1B. Ibid. Chapitre 10, pages 253 : Structures parallèles et plans pour la continuité de gouvernement
2. OPB News "Defazio Amendment Seeks Pentagon Audit" par April Baer (8 juillet 2011)
Peter DeFazio est représentant de l’État d’Oregon. Le site d’OPB News (Oregon Public Broadcasting) résume la portée de l’amendement présenté par DeFazio.
3. FEMA – Homeland Security – Federal Continuity Directive 1 (février 2008)
Rapport officiel du Homeland Security sur la continuité de gouvernement.
Peter Dale Scott "La route vers le nouveau désordre mondial" (The Road to 9/11)
Editions Demi Lune (Publié aux États-Unis en 2007).
« Il n’existe aucun moyen de déterminer combien de changements constitutionnels survenus depuis le 11-Septembre peuvent trouver leur source dans la planification de la COG. Nous savons cependant que de nouvelles mesures de planification de la COG furent une nouvelle fois instaurées en 2007, lorsque le Président Bush a émis la National Security Presidential Directive 51 (Directive Présidentielle de Sécurité Nationale, ou NSPD-51/HSPD-20). Cette directive formulait ce que la FEMA a appelé ultérieurement "une nouvelle vision pour assurer la continuité de notre gouvernement". » Peter Dale Scott interviewé en 2011.
4. The Oregonian "DeFazio asks, but he’s denied access" par Jeff Kosseff (20 juillet 2007)
Article à propos du refus de George Bush d’accorder à Peter DeFazio un accès au contenu classifié de la directive NSPD-51.
GPO (U.S Government Printing Office) – Congressional Record – House “America needs a plan to provide for Continuity of Government” (2 août 2007)
Transcription de l’intervention de Peter DeFazio devant la Chambre des représentants.
5. Le Monde "Crise financière, dette et avenir" par Radu Vranceanu (5 septembre 2011.
  
6. C-SPAN – Peter DeFazio – Discours sous-titré en français – 7 minutes (7 juillet 2011)
Vidéo du discours complet de Peter DeFazio devant la Chambre des représentants à propos de l’amendement sur le contrôle des finances du Pentagone.
7. GPO – Peter DeFazio – Discours devant la Chambre des représentants (7 juillet 2011)
Transcription du discours
8. Le Point "En 2011, les États-Unis dépenseront plus de 800 milliards de dollars pour leurs armées" par Jean Guisnel (1er février 2010)
9. New York Times "Pentagon Faces Growing Pressures to Trim Budget" par Thom Shanker et Christopher Drew (22 juillet 2010)
10. CBS News "The War On Waste" par Aleen Sirgan
Transcription du reportage diffusé par CBS News en 2002
11. CBS News (sous-titres français)
Ce reportage télévisé de CBS News sur le discours de Rumsfeld la veille du 11-Septembre a été diffusé en 2002. Circulant ensuite sur internet, il a contribué à faire connaître les propos du secrétaire à la Défense sur la perte de 2300 milliards de dollars par le Pentagone.
12. DoD – Biographie de Donald Rumsfeld sur le site du Département de la Défense
13. ReOpen911-Prison Planet “Affaire de l’anthrax : un comité d’experts indépendants remet en cause les conclusions du FBI” par Steve Watson (16 février 2011)
14. The 9/11 Commission Report – Final Report of the National Commission on Terrorist Attacks upon the United States (2004)
Rapport final de la Commission d’enquête Kean-Hamilton-Zelikow sur les attentats du 11-Septembre aux États-Unis
15. David Ray GRIFFIN "Omissions et manipulations de la Commission d’enquête" Editions Demi Lune (ouvrage publié aux États-Unis en 2005 et en France en 2006).
16. Michael Marcovici - One Billion Dollars 
10 millions de billets de $100 rangés sur 12 palettes / Oeuvre de M. Marcovici
17. Le Point Enron : faillite de la septième société américaine” par Chloé Durand-Parenti (29 janvier 2008)
18. L’Express “Punis pour l’exemple” (27 mai 2006)
19. Le Point “Un trader fait perdre 5 milliards à la Société Générale” par Mélanie Delattre (24 janvier 2008)
20. Wikipédia – Produit intérieur brut de la France
21. C-SPAN – Audition pour la nomination du secrétaire à la Défense (11 janvier 2001)
(Version intégrale de l’audition de Donald Rumsfeld – Durée totale 6 heures.
L’intervention de Robert Byrd dure 12 minutes de 3h33’30" à 3h45’30")
22. But what does 2.3 Trillion dollars look like? 
Extrait de “Jesse Ventura – Conspiracy Theory”
23. DoD – Discours de Donald Rumsfeld (10 septembre 2001)
Transcription intégrale du discours
24. Wikipédia – Ordre de grandeur (nombres)
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