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Blog VOM : Géopolitique - Mondialisation - Société- Religions - Spiritualité - Actualité...
13 juin 2015

Témoignages : Personnalités politiques



Personnages politiques - Bob Kerrey et Bob Graham

 
  http://www.reopen911.info/News/2012/03/05/11-septembre-deux-anciens-senateurs-us-deposent-sous-serment-et-mettent-en-cause-larabie-saoudite-video/

11-Septembre : Deux anciens sénateurs US déposent sous serment et mettent en cause l’Arabie Saoudite (+ Vidéo)

Deux ténors politiques américains, les anciens sénateurs Bob Kerrey et Bob Graham, viennent de témoigner sous serment dans le cadre d’un procès intenté par les familles de victimes du 11-Septembre contre l’Arabie Saoudite. Et leur déposition fait la Une de la presse car tous deux remettent publiquement en question les conclusions des rapports officiels sur les attentats, et notamment l’exonération de l’Arabie Saoudite de toute implication dans le 11-Septembre. Et d’appeler à l’ouverture d’une nouvelle enquête. Mais cela sera-t-il suffisant ?
Les ex-sénateurs US Bob Kerrey et Bob Graham
mettent directement et officiellement en cause l’Arabie Saoudite
pour les attentats du 11-Septembre.

Un membre de la Commission sur le 11/9 et le coprésident de l’enquête conjointe sur le 11/9 déclarent sous serment que le gouvernement saoudien est lié aux attentats du 11-Septembre
paru dans le WashingtonsBlog, le 2 mars 2012
Traduction GV pour ReOpenNews
Deux sénateurs bénéficiant de l’accès aux informations classifiées affirment que le gouvernement saoudien a aidé aux attentats du 11/9.
Les deux anciens sénateurs US – l’un était membre de la Commission d’enquête sur le 11/9, l’autre a coprésidé l’enquête conjointe du Congrès sur le 11/9 – ont déclaré sous serment que le gouvernement saoudien avait apporté un soutien aux attentats du 11-Septembre.

Pendant plus d’une décennie, des questions ont perduré sur le possible rôle du gouvernement saoudien dans les attentats du 11 septembre 2001, même si le régime a tenu le rôle de principal partenaire dans la lutte contre le terrorisme aux yeux des diplomates américains.
Aujourd’hui, lors de déclarations faites sous serment qui semblent en mesure de rouvrir le débat, les deux anciens sénateurs qui ont accès à des informations top-secrètes sur les activités des Saoudiens affirment que selon eux, le gouvernement saoudien a vraisemblablement joué un rôle direct dans les attentats terroristes.
« Je suis persuadé qu’il existe un lien direct entre certains des terroristes auteurs des attentats du 11-Septembre et le gouvernement d’Arabie Saoudite, » explique l’ancien sénateur démocrate de Floride, Bob Graham, lors d’une déposition dans le cadre d’une plainte déposée contre le gouvernement saoudien et une douzaine d’institutions de ce pays par des familles de victimes du 11/9 entre autres. M. Graham avait conduit une enquête conjointe du Congrès US sur les attentats.
Le coprésident de l’enquête conjointe du Congrès sur le 11/9 et ex-directeur du Comité du Renseignement au Sénat, Bob Graham, avait déjà affirmé qu’un informateur du FBI avait accueilli et hébergé deux pirates de l’air en 2000 et que lorsque pour son enquête, il avait demandé à interroger cet informateur, le FBI avait refusé tout net et l’avait caché dans un endroit secret, et qu’un haut responsable du FBI avait déclaré que ces manœuvres de dissimulation avaient été ordonnées par la Maison Blanche elle-même (confirmé ici).
Aujourd’hui, Graham appelle à une nouvelle enquête sur le 11/9. Comme l’écrit Raw Story :
Lundi dernier, Graham a appelé le gouvernement US à rouvrir son enquête sur le 11/9 du fait qu’un rapport montrant les liens entre l’Arabie Saoudite et les pirates de l’air n’a jamais été communiqué par le FBI au Comité du Renseignement du Sénat US qui a enquêté sur ces attentats en 2002.
« Dans le rapport final de l’enquête conjointe figurait un chapitre qui était consacré essentiellement au rôle des Saoudiens dans le 11/9 et qui a été totalement censuré ; chacun des mots de ce chapitre a été caché au public, » a déclaré Graham à MSNBC lors du Dylan Ratigan Show.
« Les autres questions que nous devrions nous poser sont par exemple, si les Saoudiens qui vivaient à San Diego et apparemment ceux de Sarasota également, ont reçu une aide substantielle, alors qu’en est-il des Saoudiens qui se trouvaient à Phoenix en Arizona, ou ceux d’Arlington en Virginie ? Que s’est-il passé dans ces deux villes ?
Je pense qu’il existe des réponses claires à ces interrogations, mais que le peuple américain et leurs représentants élus ont, pour une grande part, été privés de ces informations.»
Le Times continue ainsi :
Son ancien collègue au Sénat, Bob Kerrey, du Nebraska, qui fut membre de la Commission officielle d’enquête sur le 11/9, a déclaré sous serment que « des questions importantes restent sans réponse » sur le rôle des institutions saoudiennes. « Des éléments de preuve sur la probable implication d’agents du gouvernement saoudien dans les attentats du 11-Septembre n’ont jamais été exploités, » a affirmé M. Kerrey.
Leurs dépositions, qui ont été enregistrées ce vendredi et n’avaient pas encore été rendues publiques, s’inscrivent dans le cadre d’un procès portant sur plusieurs milliards de dollars qui s’éternise devant les cours fédérales depuis 2002. Une cour d’appel, prenant le contrepied d’une précédente décision, a déclaré en novembre dernier que les pays étrangers n’étaient pas à l’abri de poursuites dans certains cas de terrorisme, ouvrant ainsi la voie à un nouveau passage devant la Cour de justice du district de Manhattan de certaines affaires impliquant les Saoudiens.
* * *
Les Saoudiens demandent à classer ces affaires, arguant du fait que les enquêtes américaines – dont celles auxquelles ont participé MM Graham et Kerrey – les ont totalement exonérés. Un document récemment soumis à la justice par les Saoudiens fait expressément mention du rapport « final » de la Commission d’enquête sur le 11/9, qui n’avait trouvé «aucune preuve du financement d’al-Qaïda par le gouvernement saoudien en tant qu’institution, ou par des responsables saoudiens au niveau individuel. »
Mais MM Kerrey et Graham ont indiqué que ces conclusions ne devaient pas être prises pour une exonération et que de nombreuses questions importantes sur le rôle des Saoudiens n’ont jamais réellement été examinées, en partie parce que les membres de ces commissions n’avaient ni le temps ni les ressources pour le faire, compte tenu du cadre relativement vaste de leur enquête.
Terry Strada, de New Nernon (New Jersey), dont le mari est décédé dans le World Trade Center, a déclaré qu’il était « tellement absurde que c’en était ridicule » d’entendre les Saoudiens dire que les enquêtes fédérales les avaient exonérés.
Bob Graham a expliqué lors de sa déposition sous serment que parmi les questions restées sans réponses figuraient celles sur le travail d’un certain nombre d’organisations saoudiennes de charité ayant des liens avec al-Qaïda, et celles concernant le rôle d’Omar al-Bayoumi, un citoyen saoudien qui vivait à San Diego au moment des attentats, et qui était en relation à la fois avec deux des pirates de l’air du 11/9 et des responsables saoudiens.
Comme nous l’avons souvent répété :
En effet, alors que tout le monde a encore en mémoire les fausses allégations sur l’Irak et ses armes de destruction massive, la plupart des gens ont oublié que l’autre argument fort pour justifier cette guerre était les soi-disant liens entre l’Irak et le 11/9.
L’échec à enquêter réellement sur le 11/9 nous a emmenés dans une guerre désastreuse… qui a pratiquement ruiné notre économie.
Malheureusement, les guerres sans fin au Moyen-Orient et en Afrique du Nord concernent le pétrole, et non la sécurité nationale (et regardez ceci).
Et nous avons des abrutis comme Joe Scarborough sur MSNBC qui disent que même si le gouvernement saoudien a aidé aux attentats du 11-Septembre, le pétrole saoudien est bien trop important pour faire quoi que ce soit contre eux. [Voir vidéo plus haut - NdT]
Traduction GV pour ReOpenNews


Personnages politiques - Cynthia McKinney

 
http://www.reopen911.info/News/2011/12/03/cynthia-mckinney-bush-et-blair-condamnes-pour-crimes-contre-la-paix/ 

Cynthia McKinney : Bush et Blair condamnés pour crimes contre la paix

George W. Bush et Tony Blair reconnus coupable de "Crimes contre la Paix" par une Cour de justice en Malaisie : quelles conséquences cela peut-il avoir sur leur sort, sur la géopolitique et sur l’histoire telle qu’elle a été écrite ces dix dernières années ? Peut-être aucune… mais ce qui restera de cette courageuse décision de justice, ce sont les arguments mis en avant par la défense des accusés : "ce qui s’était produit était le résultat d’une erreur humaine et que finalement l’information ayant servi à déclencher la guerre était incorrecte". Et d’utiliser devant la Cour les images de l’attentat contre les Tours Jumelles, dans le droit fil de la propagande visant à associer Saddam Hussein au 11-Septembre ! Comme l’écrit ici  l’ex-candidate du Green Party Cynthia McKinney, cela ne fait que souligner la nécessité de faire la lumière sur les attentats de 2001, pour que les responsables des massacres qui ont suiviarrêtent d’en exploiter le mythe et la charge émotionnelle, toujours aussi puissants dix ans après.

Bush et Blair condamnés pour «crimes contre la paix»
Jugement historique du Tribunal de guerre de Kuala Lumpur
par Cynthia McKinney, mondialisation.ca, le 30 novembre 2011
Traduction Julie Lévesque pour Mondialisation.ca
Tribunal de guerre de Kuala Lumpur
La défense de Bush et Blair repose sur le 11-Septembre 2001, voilà pourquoi une enquête indépendante sur le 11/9 est nécessaire
Il a fallu deux jours à la partie poursuivante pour présenter sa plaidoirie dans la poursuite contre le président George W. Bush et le premier ministre Tony Blair pour crime d’agression et crime contre la paix, en raison de l’importante quantité de preuves, dont celles incluses dans leurs livres écrits après la guerre en Irak. La défense a pour sa part (par amicus curiae) cherché à conclure sa plaidoirie en faisant appel au sentimentalisme de la tragédie qui a eu lieu le 11 septembre 2001. Bien que le juge en chef ait demandé fréquemment à la défense d’éviter le sentimentalisme, celle-ci n’a pu s’en empêcher.
L’avocat principal de la défense a affirmé : « Si George W. Bush avait dit "nous savons qui vous êtes, nous savons ce que vous avez fait et nous vous pardonnons" le monde aurait été bien différent. Au lien de cela, il y a eu l’Afghanistan, l’Irak et Guantanamo. Nous sommes des êtres humains faillibles. Nous commettons des erreurs. » La défense a par la suite déclaré que les accusés Bush et Blair plaidaient pour leur défense qu’ils « sont humains ».
Les juges ont indiqué à cet instant qu’il aurait été peut-être plus approprié pour la défense d’invoquer la « folie passagère » ou la « provocation  » puisque la poursuite avait déjà déclaré que le 11/9 était un prétexte pour déclencher la guerre souhaitée par certaines personnes et que cela remontait à aussi loin que 1998.
La défense a noté que ce qui s’était produit était le résultat d’une erreur humaine et que finalement l’information ayant servi à déclencher la guerre était incorrecte.
Lorsque la défense a commencé à faire jouer la vidéo des avions frappant les tours jumelles, le professeur Boyle s’est objecté en disant qu’il s’agissait d’un prolongement de la campagne de propagande de l’administration Bush contre l’Irak. Il a ajouté : « Non seulement ce n’est pas pertinent, mais il est pathétique de la part de la défense de susciter des émotions sur le 11/9 alors que l’Irak n’avait rien à y voir. Cette vidéo est complètement hors de propos, sans importance, préjudiciable à cette procédure et je demande respectueusement à la Cour de l’arrêter immédiatement. »
Le procureur principal, le professeur Nijar, a fait remarquer que les rapports des services de renseignement soumis au Tribunal par les États-Unis et la Grande-Bretagne démontraient très clairement que le 11/9 avait fourni plus qu’un prétexte, car le plan d’invasion de l’Irak datait de 1998. « Les gens au sein de l’administration – les accusés – ont fait savoir bien avant que leur objectif était de se débarrasser de Saddam. »
La défense a alors déclaré que la procédure judiciaire en entier avait été partiale dès le jour un, et avant même la première session du Tribunal, en raison de l’exposition qui se tient à l’étage inférieur et de l’autre côté du couloir. (Le coût humain de la guerre est présenté dans une exposition se tenant dans le même édifice que le Tribunal. On trouve dans ce genre de musée macabre de la guerre des répliques en papier mâché de bébés iraquiens déformés, la salle de torture et des démonstrations de waterboarding (simulation de noyade).)
Les procureurs ont souligné que l’exposition n’avait rien à voir avec la question de savoir si la guerre contre l’Irak était un crime d’agression. De plus, ils ont traité le président Bush de « criminel de guerre devenu fou furieux » qui devait venir nous expliquer ses intentions.
Le juge Webre a ensuite emprunté une voie que le Tribunal devrait peut-être suivre par la suite. Il a parlé des allégations selon lesquelles le 11/9 était une opération sous faux pavillon et que les témoins experts devraient être assignés à témoigner devant le Tribunal à propos de la véracité des explications de l’administration Bush sur ce qui s’est produit ce jour-là.
La défense a demandé un délai, mais la Cour a finalement statué que la partie poursuivante avait convaincu la Cour qu’il existe une preuve prima facie que la guerre contre l’Irak était un crime contre la paix. Le juge en chef a demandé à la défense pourquoi Bush n’avait pas demandé de résolution au Conseil de sécurité.
Les juges ont prononcé un verdict unanime vers 17 h, heure locale de Kuala Lumpur.
« Le Tribunal en est venu à la conclusion unanime qu’il existe une preuve prima facie » que le président George Bush et le premier ministre Tony Blair ont commis un crime contre la paix en décidant d’envahir et de conquérir l’Irak, ainsi que de renverser Saddam Hussein.
Les juges ont mentionné le rôle du Project for a New American Century(Projet pour un nouveau siècle étasunien) dans la politique préconisant d’aller en guerre contre l’Irak et les événements du 11-Septembre 2001.
Dans la Charte des Nations Unies, rien ne permet les actions entreprises par le président Bush et le premier ministre Blair. Par ailleurs, l’idée que les États-Unis ou le Royaume-Uni étaient menacés par l’Irak est « absurde ». « Nous croyons que la doctrine de frappe préemptive est une doctrine sans limites. » De plus, et les États-Unis et le Royaume-Uni ont été complices des abus commis par Saddam Hussein contre les droits humains. Une attaque contre l’Irak en raison de sa possession d’armes de destruction massive n’a aucun fondement dans le droit international. « Les États-Unis, malgré toute leur puissance, n’ont pas le droit de changer le droit international. » L’invasion de l’Irak était un acte d’agression illégal et constitue un crime international. L’avenir de l’ONU est également en jeu. Les deux accusés se sont arrogé la loi, ont agi avec malhonnêteté, et, par conséquent, sont déclarés coupables.
Il est recommandé que des plaintes contre les deux accusés soient déposées devant la Cour pénale internationale; que leurs noms soient inscrits au registre des criminels de guerre de la Commission des crimes de guerre de Kuala Lumpur et qu’ils soient publiés en conséquence. L’Assemblée générale des Nations Unies doit par ailleurs envisager une résolution visant à mettre fin à l’occupation de l’Irak. Les États-Unis et le Royaume-Uni ont commis un génocide, des crimes de guerre et contre l’humanité à l’endroit du peuple irakien.
Il est triste pour l’humanité que des crimes si graves aient été commis, mais le fait de reconnaître ces crimes constitue une victoire pour la justice.
Aujourd’hui, Kuala Lumpur a entrepris sa mission consistant à devenir la capitale mondiale de la paix.
Le Tribunal des crimes de guerre de Kuala Lumpur est basé sur la vérité, la justice, la paix et la dignité.
Cynthia McKinney
P.S.  À cette date en 1963, le président John F. Kennedy était assassiné le premier tir d’un coup qui a changé l’histoire des États-Unis. Je recommande fortement toutes ces vidéos. Elles contiennent des informations incroyables :


Personnages politiques - Député Yukihisa Fujita

 
  http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-premier-parti-d-opposition-34991

parOnegus(son site)mercredi 30 janvier 2008
Le premier parti d’opposition japonaise attaque la version officelle du 11-Septembre 2001
Malgré le mutisme obstiné et criminel de l’ensemble des organes de presse et de la quasi-totalité de la communauté journalistique, la remise en question de la version "officielle" des attaques du 11-Septembre 2001 continue de progresser inéluctablement dans les populations occidentales.
La quantité astronomique d’incohérences factuelles et d’impossibilités scientifiques entourant le mythe du complot islamiste entretenu par les autorités américaines apparaît d’emblée à toute personne qui se repenche sur le détail de cet événement historique et hors du commun.
Que ce soit au détour des forums, d’une soirée entre amis ou d’une conversation au restaurant, nous rencontrons aujourd’hui chaque jour plus de gens qui ne croient plus à la théorie d’un complot islamiste ourdi par Oussama Ben Laden et qui n’hésitent plus à le dire sans craindre de se faire traiter de révisionnistes ou de "conspirationistes"...
La raison en est que, malgré le black-out entretenu par des grands médias sous contrôle, le questionnement sur le 11-Septembre 2001 n’a jamais cessé de progresser, principalement grâce aux espaces de diffusion encore libres sur le net.
Ces espaces de libertés ont permis la distribution de travaux de fonds, comme les enquêtes citoyennes effectués par de nombreux documentaristes (9/11 Press for truth9/11 Mysteries et la dernière mouture deLoose Change, dite Final Cut), le regroupement systématique de tous les éléments de presse opéré par Paul Thomson avec sa 9/11 Timeline ou, encore, le collectif Patriots Question 911 qui regroupe les personnalités officielles remettant en question la version servie par les autorités américaines des attaques du 11-Septembre 2001...
Les films comme 9/11 Press for Truth ne sont pas d’obscurs travaux de "conspirationnistes" bidouillant sur le net, mais de véritables documentaires au budget souvent conséquent, et dont la seule raison de leur non-diffusion tient à leur objet : un retour en détail sur l’ensemble des événements de cette terrible journée du 11 septembre 2001.
Pourtant, il ne faut pas croire que la situation de ces films soit partout la même dans le monde. Si l’ensemble des réseaux de distribution et de diffusion de masse français les boycotte, il faut savoir que le film 9/11 Mysteries, qui met en lumière l’évidence scientifique de la démolition contrôlée du World Trade Center, a été diffusé à une heure de grande écoute sur la première chaîne nationale autrichienne à l’occasion du sixième anniversaire des attaques, ainsi sur une chaîne nationale japonaise, pays où la remise en question du 11-Septembre vient tout simplement d’atteindre le débat à l’Assemblée nationale...
Le 11 janvier 2008, durant 30 minutes retransmises en direct par la télévision japonaise, le députéYukihisa Fujita, membre du principal parti d’opposition nippon, égraine les questions sans réponse autour du 11-Septembre : au sujet du Pentagone, de l’effondrement des tours, de la non-interception des avions détournés, du WTC7, du rapport de la commission d’enquête et des délits d’initiés...
La scène est surréaliste, un certain "questionneur" en parle ainsi sur le forum de France 5  :
"Imagine t-on en France un parlementaire de l’opposition à l’Assemblée nationale questionner le Premier ministre sur l’appui militaire que la France apporte aux Etats-Unis pour leur guerre en Afghanistan en mettant en cause la version officielle des événements du 11-Sseptembre 2001, images à l’appui montrées à tous les parlementaires ? Evidemment pas. Pourtant l’équivalent de cette chose invraisemblable vient de se produire au Japon."
Voici l’intégralité de l’intervention du député Fujita (sous-titres français) :
La retranscription complète en français est sur le forum du site ReOpen911.info.
A peu près au même moment, à l’autre bout du monde, un chroniqueur de la chaîne MTV Canada passe en revue la dernière mouture du film Loose Change, dite Final Cut, un vrai travail de professionnels du film, cette fois, extrêmement bien documentés et chapeauté par les leaders les plus sérieux du Mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre comme David Ray Griffin.
Dans un montage nerveux autour de larges extraits du film, le chroniqueur pose les questions que tout journaliste qui se respecte devrait se poser à propos du 11-Septembre : la culpabilité de Ben Laden est-elle concrètement prouvée ? Où sont les débris de l’avion supposé s’être écrasé sur le Pentagone ? Qu’est-il arrivé au WTC7 cette troisième tour de 200 mètres qui s’est effondrée, elle aussi, le 11-Septembre 2001 sans avoir été atteinte par aucun avion ? Etc.
Si le sujet reste encore tabou dans certains médias de masse, aux mains de puissances financières dont l’implication directe ou indirecte dans le "coup" du 11-Septembre 2001 apparaît chaque jour plus évidente, le lien entre la crise qui secoue aujourd’hui le système capitaliste globalisé et la révélation progressive de cette abominable manipulation ne fait aucun doute.
L’émergence inéluctable de la vérité au crépuscule d’une administration américaine criminelle et les facteurs de déstabilisation majeurs qu’elle contient contribuent largement à la panique des hautes sphères de la finance où l’on est, généralement, très bien informé... Sept ans après l’effondrement des tours, va-t-on assister en 2008 à l’effondrement du mythe destructeur qu’elles ont servi à fonder ? L’avenir immédiat de l’humanité en dépend certainement pour partie...





Personnages politiques - L’ex-sénateur américain Mike Gravel

 
 http://www.reopen911.info/News/2011/11/03/il-fatto-quotidiano-conference-de-presse-de-mike-gravel-et-ferdinando-imposimato-sur-bush-et-le-11-septembre/

Il Fatto Quotidiano : Conférence de presse de Mike Gravel et Ferdinando Imposimato sur Bush et le 11-Septembre (+ VIDEO)

L’ex-sénateur américain Mike Gravel continue sa tournée européenne de promotion pour sonprojet de nouvelle Commission d’enquête citoyenne sur le 11/9. Il fait étape aujourd’hui, 3 novembre 2011, à Rome pour une conférence de presse commune avec le haut magistrat italien Ferdinando Imposimato, celui-là même qui s’apprête à dénoncer George W. Bush pour crime devant la Cour pénale internationale de La Haye. Voici un article de Giulietto Chiesa, journaliste italien et auteur du film "Zéro – Enquête sur le 11/9", paru lundi sur le Blog de l’excellent journal italien "Il Fatto Quotidiano".
Le haut magistrat italien Ferdinando Imposimato, et l’ex-sénateur US Mike Gravel

Pour une nouvelle enquête sur le 11 septembre 2001
par Giulietto Chiesa, sur le Blog de Il fatto Quotidiano, et sur Megachip, le 31 oct, 2011
Giulietto Chiesa est journaliste. Il fut correspondant de presse d’El Manifesto et d’Avvenimenti, et collaborateur de nombreuses radios et télévisions en Italie, en Suisse, au Royaume-Uni, en Russie et au Vatican. Auteur du film "Zéro – Enquête sur le 11-Septembre" et de divers ouvrages, il a notamment écrit sur la dissolution de l’URSS et sur l’impérialisme états-unien. Ancien député au Parlement européen (Alliance des démocrates et libéraux, 2004-2008), il est membre du Bureau exécutif du World Political Forum
Traduit de l’italien par GV pour ReOpenNews
Mike Gravel, ex-sénateur de l’Alaska (connu pour avoir révélé au public les Pentagon Papers, qui documentaient le médiamensonge du Golfe du Tonkin, par lequel l’Amérique entra en guerre contre le Vietnam) et Ferdinando Imposimato, haut magistrat chargé des enquêtes italiennes parmi les plus importantes contre la subversion terroriste, annoncent deux initiatives sensationnelles :
  • Le premier avec le lancement d’une procédure judiciaire qui pourrait permettre d’instituer, aux Etats-Unis, une Commission d’enquête pour rouvrir  « l’affaire » du 11-Septembre, laquelle commission serait dotée de pouvoirs d’investigation, et pourrait exiger des dépositions sous serment ;
  • Le second pour appeler l’Administration Bush à se défendre, entre autres, de l’accusation de « complicité de crime » (concorso in strage) devant la Cour pénale internationale de la Haye.
Ils feront cette annonce publique ensemble, à Rome, le 3 novembre à 11h00, dans la Salle des drapeaux  (Sala delle Bandiere) des locaux de l’Union européenne à Rome, rue du 4 novembre, invités par Gianni Vattimo, par Ferdinando Rossi l’ex-sénateur, et par moi-même (les 3 seuls parlementaires italiens à voir déclaré ces dernières années ne pas croire à la version officielle sur cette tragédie).
Afin d’anticiper les inévitables jérémiades à base de « complotisme » (cela dit, qualifier ainsi Gravel et Imposimato ne sera pas facile), je voudrais rapporter ici quelques-unes des citations de personnages que l’on ne peut pas qualifier de « complotistes » :
Le gouverneur Thomas Kean, président de la Commission officielle sur le 11-Septembre : « Nous pensons que la Commission, sous bien des aspects, fut constituée de façon à ce qu’elle échoue. Car n’avions pas assez de budget, pas assez de temps, et nous avons été nommés par les personnes les plus partisanes de Washington. »[1]
Le membre du Congrès Lee Hamilton, coprésident de ladite Commission : « Je ne crois pas une seule minute que nous ayons obtenu toute la vérité (…) la Commission fut instituée pour échouer (…) les gens devraient commencer à se poser des questions sur le 11-Septembre (…). »[2]
Le commissaire Timothy Roemer : « Nous étions extrêmement frustrés par les fausses déclarations que nous entendions.»[3]
Le Sénateur Max Cleland (qui démissionna de la Commission en signe de protestation) : « C’est un scandale national. »[4]
John Farmer, ex-procureur général du New Jersey, qui supervisa l’équipe d’investigation [de la Commission sur le 11/9] : « À un certain niveau du gouvernement, à un moment donné (…) il y eut une entente pour ne pas dire la vérité sur ce qui s’est passé (…) Je fus stupéfait par l’énorme différence entre la vérité et la façon dont elle nous a été relatée (…) les enregistrements décrivaient une histoire totalement différente de celle qui nous a été racontée, à nous et au public pendant deux ans. (…) Il y eut des témoignages faits [par des personnes travaillant] au centre de la Federal Aviation Administration (FAA) de New York le soir du 11-Septembre, mais ces bandes ont été détruites. Les enregistrements des interrogatoires faits par le CIA ont également été détruits. L’événement du 11/9 a été déformé, c’est un doux euphémisme, et [son récit] est totalement différent de la façon dont les choses se sont réellement passées. » [5]
La rencontre de Mike Gravel et Ferdinando Imposimato avec les journalistes et les parlementaires, italiens et européens, est ouverte au public.
Giulietto Chiesa
Traduit de l’italien par GV pour ReOpenNews

Notes ReOpenNews :
  1. (VIDEO) Le président de la Commission Thomas Kean : l’enquête "fut mise en place pour échouer"
  2. (VIDEO) 9/11 INSIDE JOB: Commissioner Lee Hamilton Interview
  3. 9/11 panel distrusted Pentagon testimony (en anglais) | CNN, 2 août 2006
  4. 9/11 Commission Report Questioned by Senior Military, Intelligence, and Government Officials | sur WantToKnow.info
  5. Un avocat de la Commission sur le 11 septembre déclare : le gouvernement a accepté de mentir | par Paul Joseph Watson pour Prison Planet.com, le 14 avril 200. Lire aussi le très complète revue de presse sur le 11/9 "Major media articles on 9-11 raise questions"

ENTRETIEN DE GIULIETTO CHIESA AVEC FERDINANDO IMPOSIMATO
 
Le haut magistrat Ferdinando Imposimato sur PandoraTV.it(en italien, non encore sous-titré)
"11-Septembre : toujours pas de procès ni de vérité. Nous, nous allons essayer"

En lien avec cet article :




Personnages politiques - Paul Craig Roberts

 
 parMarcomercredi 19 septembre 2007
Le 11 septembre, six ans après - par Paul Craig Roberts
Six ans après le 11 septembre 2001, le Dr Paul Craig Roberts, ancien sous-secrétaire au Trésor américain sous Reagan, fait le point sur le silence médiatique qui entoure la contestation de l’histoire officielle du 11 septembre, sur les défaillances de l’enquête officielle et sur les qualifications des contestataires. Enfin, il pose la question : “À qui profite le crime ?”

Dans un article intitulé 9-11, Six Years Later publié le 10 septembre 2007 sur internet, le Dr Paul Craig Roberts, sous-secrétaire au Trésor dans l’administration Reagan, économiste et ancien éditorialiste au Wall Street Journal et à Business News, dénonce le blocage médiatique qui entoure la contestation de la version officielle du 11 septembre.
Les grands médias, comme à leur habitude depuis six ans, évitent soigneusement de mentionner le mouvement citoyen pour la vérité sur le 11 septembre qui dénonce les absurdités de la version officielle. Parmi les personnalités de ce mouvement, le Dr Paul Craig Roberts, qui a publié de nombreux articles sur internet sur le sujet, articles jamais repris par les grands médias, aussi bien anglophones que francophones.
La censure médiatique semble avoir atteint le comble de l’absurde le 11 septembre 2007, jour où le quotidien français Le Monde a publié un article citant le Dr Paul Craig Roberts pour ses propos sur... l’économie, sans un mot sur ceux concernant le 11 septembre 2001 !
Dans la traduction suivante, réalisée par mes soins, de l’article du Dr Roberts, des hyperliens ont été rajoutés pour faciliter la compréhension des lecteurs non américains. Cette traduction peut être reprise sur d’autres sites.
Bonne lecture.


LE 11 SEPTEMBRE, SIX ANS APRÈS
par Paul Craig Roberts
Le 7 septembre 2007, National Public Radio (NPR) [une radio nationale à financement semi-public écoutée par 26 millions d’Américains, ndt] annonçait que les musulmans du Moyen-Orient commençaient à croire que les attaques du 11 septembre 2001 sur le World Trade Center (WTC) et le Pentagone étaient en fait des opérations false flag commises par certaines parties du gouvernement américain et/ou israélien.
Que de telles croyances puissent avoir un fond de vérité dépassait l’entendement du journaliste et du producteur de la NPR. Ces croyances furent imputées à l’influence de livres d’auteurs américains et européens en vente dans les librairies égyptiennes.
La NPR s’inquiétait de ce que ces livres remettant en question l’origine des attentats du 11 septembre aient pour résultat néfaste de déculpabiliser les musulmans.
La journaliste de la NPR, Ursula Lindsey, déclara que « ici au États-Unis, la plupart des gens n’ont guère de doute quant à ce qui s’est passé lors des attentats de 2001. »
La NPR, en supposant que la version officielle du 11 septembre était le mot de la fin, était bien mal informée. Des sondages indiquent en effet que 36 % des Américains, et plus de 50 % des New-Yorkais, ne font pas confiance au rapport de la commission officielle sur le 11 septembre. De même, de nombreuses familles de victimes du 11 septembre jugent la version officielle insatisfaisante.
Pourquoi les médias américains ne sont-ils pas troublés par le fait qu’il n’y ait pas eu d’enquête indépendante sur le 11 septembre ?
Pourquoi les médias sont-ils si peu préoccupés par le fait que les règles gouvernant la préservation des preuves matérielles sur la scène d’un crime n’aient pas été respectées par les autorités fédérales ?
Pourquoi les médias qualifient-ils systématiquement ceux qui doutent de la version officielle de « théoriciens du complot  » ou de « farfelus » ?
Qu’y a-t-il de mal à débattre et à entendre les arguments pour et contre sur un événement d’une telle importance pour notre époque ? Si la ligne officielle est si correcte et si défendable, qu’a-t-elle donc à craindre des sceptiques ? 
À l’évidence, beaucoup quand on voit le rideau de fer érigé pour protéger cette ligne officielle d’un examen indépendant.
Certains pensent peut-être que le rapport de la commission sur le 11 septembre était une enquête indépendante, et d’autres protesteront que nous avons l’analyse du National Institute of Standards and Technonology [NIST dans la suite de l’article, ndt] qui explique l’effondrement des tours jumelles du World Trade Center par l’effet combiné de l’impact des avions et du feu qui s’ensuivit.
La commission sur le 11 septembre était une commission politique dirigée par Philip Zelikow, un proche de l’administration Bush. Le NIST est une agence du département du commerce des États-Unis à la tête duquel siège un membre du cabinet présidentiel de Bush.
Zelikow fut membre du comité conseillant le président Bush en matière de renseignement étranger, un fief des néoconservateurs. En février 2005, Zelikow fut nommé conseiller du département d’État des États-Unis. À l’évidence, il n’y avait aucune chance pour que la commission sur le 11 septembre tienne une partie de l’administration Bush pour responsable des nombreuses défaillances des agences gouvernementales le jour du 11 septembre, et encore moins pour que la commission envisage une complicité.
Si l’on compare les diplômes et compétences des sceptiques à ceux des tenants de la version officielle, il est impossible d’écarter les premiers d’un revers de manche en les qualifiant de « farfelus ». Il y a certes beaucoup de gens avec une imagination débridée sur internet, mais les sceptiques sérieux s’en tiennent aux faits établis, aux violations avérées des procédures standards et aux lois de la physique. La vaste majorité des personnes qui traitent les sceptiques de « farfelus » sont eux-mêmes ignorants de la physique et ont peu de compréhension de l’improbabilité qu’une telle attaque ait pu réussir sans la complicité ou la défaillance totale des agences gouvernementales.
Au cours des six dernières années, de nombreuses personnalités respectées sont venues gonfler les rangs des sceptiques contestant le scénario officiel du 11 septembre. Ces rangs incluent d’éminents scientifiquesdes ingénieurs et des architectesdes agents du renseignement, des contrôleurs aériens, des généraux et des officiers militaires de haut rang dont le général [major general Albert Stubblebine, ndt] anciennement à tête du "United States Army Intelligence and Security Command",d’anciens hauts responsables et membres de la Maison-Blanche sous divers gouvernements républicains, des pilotes militaires et des pilotes de ligne chevronnés qui affirment qu’eux-mêmes auraient été incapables de réaliser les manoeuvres aériennes attribuées aux pirates de l’air le 11 septembre, et enfin des dignitaires étrangers.
Le Dr Andreas von Bülow, ancien ministre allemand de la Recherche et de la Technologie et ancien secrétaire d’État à la Défense, a déclaré  : « La planification des attaques était un chef-d’oeuvre de technique et d’organisation. Détourner quatre avions de ligne en quelques minutes et les conduire en moins d’une heure jusque dans leur cible après avoir exécuté des manoeuvres aériennes compliquées ! C’est impensable sans le soutien pendant plusieurs années de l’appareil secret de l’État et de l’industrie. »
Le général Leonid Ivashov, chef d’état-major des armées russes [au moment des attentats du 11 septembre, ndta quant à lui déclaré  : « Seuls les services secrets et leurs chefs actuels ou retraités - mais ayant conservé de l’influence à l’intérieur des structures étatiques - sont capables de planifier, organiser et gérer une opération d’une telle ampleur. ...Oussama ben Laden et « al Qaïda » ne peuvent être ni les organisateurs ni les exécutants des attentats du 11 septembre. Ils ne possèdent ni l’organisation requise pour cela ni les ressources intellectuelles ni les cadres nécessaires.  »
Les Américains pourraient reconnaître qu’il est inhabituel que les contrôles de sécurité des aéroports américains aient été défaillants quatre fois en quelques minutes, que la défense aérienne des États-Unis ait totalement échoué à intercepter les avions détournés et que des pirates de l’air qui étaient de piètres pilotes aient réussi des manoeuvres aériennes exotiques que même des pilotes de chasse chevronnés se déclarent incapables d’accomplir. Certes, il reste la possibilité, aussi improbable soit-elle, qu’Allah ait doté les pirates de l’air d’une chance inouïe.
En revanche, pour l’effondrement des tours jumelles du World Trade Center, la version officielle n’a aucune chance d’être vraie. Les architectes, ingénieurs et physiciens savent que les bâtiments soutenus par une puissante charpente en acier ne s’effondrent pas soudainement à la vitesse de la chute libre, ou de la quasi-chute libre, simplement parce qu’un avion les a heurtés et qu’ils ont été soumis à des feux limités de courte durée et de faible intensité.
Les physiciens savent également qu’il n’y avait pas suffisamment d’énergie gravitationnelle pour pulvériser les énormes quantités de béton en fines poussières, pour cisailler les colonnes d’acier en sections justes de la bonne longueur pour être chargées et évacuées sur des camions, et pour éjecter à l’horizontal de la poussière et des poutres en acier à des centaines de mètres. Les physiciens savent également que s’il y avait vraiment d’intenses feux partout dans les tours au point d’affaiblir l’acier et de provoquer leur effondrement soudain, ces feux n’auraient pas laissé les centaines de milliers de morceaux de papier non brûlés, pas même noircis, qui flottaient partout au-dessus de Manhattan.
Des physiciens ont demandé pourquoi l’explication officielle négligeait les lois établies de la physique, mais ils n’ont toujours pas reçu de réponse. Récemment, le Dr Crockett Grabbe, chercheur en physique appliquée à l’université de l’Iowa et diplômé de Caltech, a fait les observations suivantes : « En appliquant deux principes de base, la conservation de l’énergie et la conservation de la quantité de mouvement, l’explication du gouvernement se délite rapidement. Le NIST a visiblement ignoré ces principes dans ses rapports. Le NIST a également ignoré la torsion observée des 34 étages supérieurs de la Tour Sud avant qu’elle ne s’écroule. Cette torsion viole clairement à la fois la conservation de la quantité de mouvement et la conservation du moment angulaire, sauf si cette torsion a été causée par une violente force extérieure. D’où provenaient donc les énormes quantités d’énergie nécessaires pour provoquer l’effondrement total des parties inférieures encore intactes de chacune des tours ? Les volumineuses études du NIST ne répondent pas à cette question. »
Les rapports du NIST sont même contestés par ses propres scientifiques. Le Dr James Quintiere, ancien chef de la division science du feu au National Institute of Standards and Technology, a déclaré récemment que « la conclusion officielle à laquelle le NIST est arrivée est douteuse  », et il a demandé l’ouverture d’un réexamen indépendant de l’enquête du NIST sur les effondrements des tours du World Trade Center.
Le Dr Quintiere a attiré l’attention sur de nombreux problèmes de l’enquête du NIST et de ses rapports : l’absence de chronologie détaillée des événements, l’incapacité à expliquer l’effondrement du WTC7 [le bâtiment 7 du World Trade Center, un immeuble de 47 étages qui s’est écroulé sur lui-même à la vitesse de la quasi-chute libre sept heures après les tours jumelles, ndt], la destruction des preuves matérielles sur la scène du crime, l’utilisation de modèles informatiques douteux, l’absence de la moindre preuve de l’existence des températures qui selon le NIST étaient nécessaires pour causer une défaillance de l’acier, et enfin la structure juridique du Département du commerce qui, au lieu de contribuer à rechercher les faits, « fit le contraire et bloqua tout. »
Le 27 août 2007, un éminent membre de l’Académie nationale des sciences des États-Unis, décoré de la National Medal of Science, le Dr Lynn Margulis, a rejeté la version officielle du 11 septembre, la qualifiant de “fraude” et a appelé à une nouvelle enquête complète et impartiale.
Le 5 septembre 2007, l’as de l’aéronavale américaine et pilote de ligne chevronné, Ralph Kolstad, a déclaré que les manoeuvres aériennes attribuées aux pirates de l’air dépassaient ses propres capacités de pilotage.« Quelque chose pue jusqu’aux sphères supérieures du paradis », a déclaré Kolstad.
Face à des événements inhabituels, les Romains posaient la question Cui bono ? À qui profite le crime ? Cette question a été la grande absente de l’enquête officielle.
Qui sont donc les bénéficiaires du 11 septembre ? Réponse : le complexe militaro-industriel, qui a accumulé des dizaines de milliards de dollars de bénéfices ; les compagnies pétrolières, qui espèrent mettre la main sur le pétrole irakien, et peut-être iranien ; le Parti républicain, qui a sauvé un président, George W. Bush, fraîchement élu et vulnérable, considéré par beaucoup comme illégalement élu par une voix de majorité à la Cour suprême, en en faisant un “président de temps de guerre” drapé dans la bannière étoilée ; la Republican Federalist Society, qui s’est servi du 11 septembre pour atteindre son objectif de concentration du pouvoir au sein de l’exécutif ; le vice-président Dick Cheney et les néoconservateurs, qui ont utilisé le “nouveau Pearl Harbour” pour mettre en oeuvre leur “Projet pour un Nouveau Siècle Américain” et pour étendre l’hégémonie américaine sur le Moyen-Orient ; et enfin les sionistes israéliens de droite, qui ont utilisé avec succès le sang et l’argent des Américains pour éliminer des obstacles à une expansion territoriale israélienne.
Au-delà des victimes parmi les troupes américaines et parmi les populations civiles irakiennes et afghanes, la « guerre contre le terrorisme » des néoconservateurs a fait une autre victime : les libertés civiles qui protègent les Américains de la tyrannie. Le président Bush et son Département de la Justice (sic) corrompu ont déclaré que nos protections constitutionnelles sont nulles et non avenues selon le bon vouloir de l’exécutif.
Les plus grands bénéficiaires du 11 septembre sont les personnalités autoritaires qui, selon John Dean[qui fut le premier membre de l’administration républicaine à témoigner contre Nixon dans le scandale du Watergate, ndt], ont pris le contrôle du Parti républicain.
hibou ecrit Cette petite Emma est autiste mais a une voix merveilleuse


Personnages politiques - Roland Dumas

 
  http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/roland-dumas-le-11-septembre-je-n-86328

parOlivier Bonnet(son site)jeudi 23 décembre 2010

Roland Dumas : "le 11 septembre, je n’y crois pas". Et vous ?

Karl Zéro, Jean-Marie Bigard, Marion Cotillard, Mathieu Kassovitz… Jusqu’ici, les personnalités qui avaient osé remettre en question le dogme de la version officielle du 11 septembre, hormis le cas atypique du trublion mi journaliste mi amuseur public, appartenaient au milieu du spectacle. Or voici qu’une nouvelle voix s’est élevée, venue cette fois de la sphère politique, et pas à un petit niveau : ancien ministre des Relations extérieures (1984-1986) puis des Affaires étrangères (1988-1993), avant d’occuper la présidence du Conseil constitutionnel – où il s’est entre autres illustré en poussant à la validation des comptes de campagne illégaux de Jacques Chirac et Edouard Balladur, mais c’est une autre histoire -, Roland Dumas a fait son coming out lors de l’émission de débat Ce soir ou jamais sur France 3 jeudi dernier. « Moi, je vous dirai ce que je pense sur le 11-Septembre : je n’y crois pas »a-t-il lâché. S’ensuit un brouhaha – imaginez, il vient de blasphémer en direct ! – d’où s’échappe « Vous vivez du 11 septembre », adressé sans doute collégialement à ses trois contradicteurs, les très atlantistes Pierre Lellouche, secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur, la philosophe Thérèse Delpech et l’essayiste Guy Sorman, puis, en réponse à un indigné « Il y a des limites » : « Les limites sont celles que vous fixez, ce ne sont pas les miennes. Moi, j’ai horreur de cettetentative de dictature intellectuelle, qui n’a pas de raison d’être ».
Il s’explique pour Oumma.com : « Vous avez déclaré hier soir dans l’émission de Frédéric Taddeï ne pas croire au 11-Septembre. Que voulez-vous dire par là ?
Eh bien, je crois qu’on ne peut pas faire plus clair ! Je ne crois pas à ce qui a été raconté à ce sujet.
A quoi faites-vous allusion précisément ?
Il y a énormément de faits anormaux dans la version officielle. J’ai lu et étudié de nombreuses recherches faites sur la question. Beaucoup d’éléments ne tiennent pas : il suffit de se pencher, par exemple, sur le cas du trou de l’avion dans le Pentagone, beaucoup trop petit, ou sur d’autres aspects moins connus.
La version officielle vous semble-t-elle davantage mensongère ou lacunaire ?
Encore une fois, il suffit de se pencher sérieusement dessus pour se faire une idée. Je ne veux pas, pour l’instant, revenir là-dessus et commenter un commentaire personnel mais, effectivement, la version officielle ne tient pas. »
Au fait, dans l’indifférence médiatique générale, le site Reopen 9/11 a publié en novembre l’interview en vidéo d’un chimiste qui, après analyse de la poussière du World trade center (WTC), a mis en évidence la présence de nanothermite, après cinq autres chercheurs parvenus avant lui à la même conclusion. Nanothermite qui est un ingrédient utilisé pour les démolitions contrôlées.
Et le 7 décembre, le même site a mis en ligne, sans plus d’écho, un passionnant article du Foreign Policy Journal qui explique comment les enquêtes sur les délits d’initiés autour du 11 septembre(spéculation par exemple contre les compagnies aériennes et les assureurs touchés), évalués par l’ancien ministre allemand Andreas von Bulow à 15 milliards d’euros, ont été un modèle de déni. En voici la conclusion :
« Dans les premiers jours qui ont suivi le 11/9, des régulateurs financiers dans le monde entier ont fait part d’éléments sans précédent montrant l’existence de délits d’initiés en lien avec les attaques terroristes de ce jour-là. Le président d’une banque centrale (Welteke) a expliqué qu’il y avait des « preuves irréfutables » de telles opérations financières. Ces preuves ont conduit les régulateurs américains à faire le serment, devant le Congrès, de traduire ces responsables en justice. Ces promesses n’ont pas été tenues, comme le montre l’attitude de ceux en charge des investigations, qui ont dégagé la responsabilité des suspects par des enquêtes superficielles, et ont conclu que des délits d’initiés ne pouvaient pas avoir eu lieu, puisqu’ils n’avaient pas été effectués directement par Oussama Ben Laden ou par al-Qaïda.
« Les enquêtes approfondies » conduites par le FBI, sur lesquelles s’appuie le rapport de la Commission sur le 11/9, étaient clairement biaisées. Le FBI n’a pas entendu les suspects et n’a pas semblé vouloir se rapprocher de la Commission sur le 11/9 pour l’étude comparative de notes afin de déterminer lesquelles parmi les personnes interrogées étaient susceptibles d’entretenir des rapports avec al-Qaïda. La synthèse du mémorandum de la Commission suggère que le FBI a simplement pris des décisions de son propre chef pour ce qui concerne les relations possibles entre les suspects et les organisations terroristes présumées. Ces décisions unilatérales n’étaient pas appropriées, étant donné qu’au moins trois des cas potentiels de délits d’initiés (celles de Walker, du trader Viisage et celle de Wellington Management) impliquaient logiquement des liens avec Oussama Ben Laden ou sa famille. Un autre suspect (Elgindy) était un criminel sur le point d’être reconnu coupable, et qui avait des liens directs avec des employés du FBI, arrêtés plus tard pour violations de la sécurité…
Le FBI a aussi défendu en août 2003 le fait qu’il n’avait aucune connaissance des disques durs restaurés provenant du WTC, ce qui avait [pourtant] été publiquement annoncé en 2001. D’après ceux qui ont récupéré les données correspondantes, les disques durs ont révélé l’existence « de répugnantes transactions du jugement dernier » (dirty doomsday dealings).
Les indices de délits d’initiés autour du 11/9 mettent en jeu de nombreux circuits financiers, des actions aux bons du Trésor, en passant par des transferts par cartes de crédit faits au WTCjuste avant sa destruction. Aujourd’hui, nous savons que des experts financiers dans le monde entier ont fourni des éléments solides, au moyen de techniques statistiques éprouvées et fiables, montrant que les premiers soupçons des experts étaient justifiés, et que les délits d’initiés du 11/9 ont vraiment eu lieu.
Des gens connaissaient à l’avance les crimes du 11/9 et ils en ont tiré profit. Ces gens sont parmi nous aujourd’hui, et nos familles et nos communautés risquent de subir de nouvelles attaques terroristes et de nouveaux délits financiers si nous ne tenons pas compte de ces éléments de preuve. Il est temps d’ouvrir une enquête indépendante et internationale sur les délits d’initiés et sur les traders qui ont profité des actes terroristes du 11 Septembre. »
Et sur les attentats du 11 septembre eux-mêmes ! En réalité, l’attitude des tenants de la version officielle, qui excommunient tous leurs contradicteurs en les taxant de « complotistes », est parfaitement résumée par l’illustration ci-dessous.
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